Coffee Shop Map

Decouvrez notre toute nouvelle carte des Coffees Shop hollandais

Hanfparade 2015

Hanfparade 2015, Le 08 aout Juin 2015 Berlin

Ministry Of Cannabis Seeds

Les meilleurs graines féminisées et autoflorasion.

Cannabis Infos Articles

Decouvrez nos articles exclusifs sur l'actualité cannabique mondiale

Evenements Cannabiques 2015

Calendrier des evenements cannabiques Européen 2015

Genetiques

Les Differentes genetiques de cannabis ainsi que divers liens

mardi 30 septembre 2014

Un coup d'œil à MassRoots: Le Réseau Social pour amoureux du cannabis


Un réseau social pour les amateurs de cannabis? Il y a une application pour ça : MassRoots est venu en ligne en 2013 comme un espace de réunion semi-anonyme pour les amateurs de marijuana, et l'application a depuis plus de 130.000 utilisateurs qui postent sur quoi, où, et comment ils fument. La société a levé plus d'un demi-million de dollars et jusqu'à récemment, aurait été inaccessible pour les entrepreneurs de l'industrie , les bailleurs de fonds et les investisseurs accrédités.

Pourquoi tant de gens se ruent au service.

Sans doute le plus cool sur MassRoots est sa languette «Discover». Où de nombreuses applications laissent ses utilisateurs un peu perdus,mais les fonctions de MassRoots sont quand meme assez limpide. Les utilisateurs peuvent voir ce qui se passe dans leur patelins ou un «Global Feed» qui montre une activité dans le monde entier. Les utilisateurs postent des photos de blunts fabriqués à la main ainsi que leurs souches préférés. Ils écrivent des mises à jour de statut sur leur cannabis et ce qu'elle signifie pour eux. L'application sert comme un bien commun pour les vrais amateurs ainsi qu'une mine d'information sur les différentes variétés de cannabis dans le monde.

Similaire à Twitter, MassRoots montre une tendance hashtags et permet ainsi de trouver d'autres personnes intéressées à des sujets similaires (bien sûr, tout le monde partage un intérêt fondamental ici).

Pourquoi ça marche
Les réseaux sociaux de bases doivent suffisamment avoir d'utilisateurs actifs pour faire que le service soit précieux (un principe connu sous le nom 'The Network Effect »), que ce soit de la valeur à un annonceur ou de la valeur pour l'utilisateur moyen.

MassRoots semble fonctionner en raison à la fois ; à la promotion du mouvement mondial du cannabis et les stigmates qui l'ont tenu dans l'ombre depuis si longtemps. en général la moyenne des utilisateurs de Facebook et Twitter peuvent craindre d'afficher leurs «buds» préférés sur les méga-réseaux. Si un employeur voit une photo d'un travailleur en train de prendre une défonce au Bang..., il pourrait y avoir de graves répercussions. MassRoots nécessite seulement un nom d'utilisateur, mot de passe et la confirmation que l'on est de l'âge et dans un endroit légal. De plus il est entièrement anonyme et sur simple Pseudo

Les fondateurs du réseau ont bien compris l'importance d'obtenir une attraction suffisante pour lancer ce reseau et ils n'ont pas l'intention d'introduire de la publicité à l'application jusqu'à ce qu'il y ait un million d'utilisateurs.
Source Internal : cannabis-infos
Application : Cliquez ici

Read More

Marijuana médicale: le Collège des médecins de famille donne ses directives

Le Collège des médecins de famille du Canada formule des directives aux plus de 30 000 médecins de premier recours du pays pour qu'ils puissent déterminer quels patients devraient se voir prescrire ou pas de la marijuana à des fins médicales.

À cause du trop petit nombre de recherches sur la question, plusieurs médecins de famille ne savent pas si le cannabis peut apporter des bienfaits à leurs patients, a déploré la directrice générale et chef de direction du Collège, Francine Lemire. L'incertitude existe aussi quant à la dose devant être prescrite.
«Nous sommes conscients que la demande pour du cannabis séché à des fins médicales existe, a-t-elle déclaré, lundi. Nous sommes aussi conscients du relatif manque de preuves, de preuves solides, pour déterminer quand nous pouvons autoriser ou pas (le traitement par le cannabis).»

L'organisation affirme qu'il n'y a aucune preuve soutenant les bénéfices de l'usage du cannabis pour la douleur au bas du dos ou la fibromyalgie, mais qu'elle peut être envisagée pour la douleur en lien avec des lésions à un nerf, causée par des conditions telles que le cancer métastasique, le zona et des blessures. Dans le cas d'un patient souffrant de douleurs neuropathiques, le médecin doit d'abord faire l'essai adéquat d'autres thérapies pharmacologiques et non pharmacologiques et de cannabinoïdes pharmaceutiques
Le Collège mentionne que «l'autorisation de cannabis séché doit être envisagée exclusivement pour les patients souffrant de douleur neuropathique réfractaire aux traitements classiques».

Les directives soulignent que les patients de moins de 25 ans, ceux qui ont des maladies cardio-vasculaires ou des problèmes de dépendance, les femmes enceintes, celles qui planifient une grossesse ou qui allaitent, ne devraient pas se voir prescrire de la marijuana.

Les médecins de famille devraient surveiller régulièrement la réaction de leurs patients au traitement et cesser l'autorisation pour l'usage du cannabis si l'herbe est clairement inefficace ou cause du tort.
Santé Canada a modifié sa réglementation en avril pour remettre entre les mains des médecins la prescription du cannabis, pendant que la fourniture de l'herbe sèche a été déléguée à des producteurs munis de permis pour la distribution aux patients. Cette décision place un grand nombre de médecins dans une situation difficile car ils détiennent trop peu de renseignements sur l'utilisation du cannabis à des fins médicales.
«Il est important pour les médecins ne de pas autoriser la marijuana à des fins médicales uniquement parce que le patient le demande», a dit Mme Lemire.
Source :  http://www.lapresse.ca

Read More

lundi 29 septembre 2014

La 3e édition du colloque de l’Union Française pour les Cannabinoïdes en Médecine sera à Strasbourg en octobre 2014

L’édition de cette année se déroulera donc dans la Faculté de Médecine de la ville de Strasbourg, tout comme le fut l’édition de 2013. L’UFCM, ou « Union Française pour les Cannabinoïdes en Médecine », sera l’hôte de l’évènement, et offre un programme plus qu’intéressant à ses visiteurs, avec plus de 150 experts incluant chercheurs, professionnels de la santé, et patients.

L’une des éléments phares du colloque sera la présence et participation de M. Raphael Mechoulam, professeur en Chimie Médicinale à l’Université Hébraïque de Jérusalem en Israël.

La réputation de M. Mechoulam le précède au sein de la communauté du cannabis dans son ensemble, qu’elle soit portée sur l’aspect récréatif ou médicinal de la plante, puisqu’il est responsable de l’isolation et de la synthèse de la molécule Δ9-tetrahydrocannabinol, soit le THC, le principe actif dominant du cannabis.

L’édition 2014 du colloque, incidemment, marque également le 50e anniversaire de la synthèse de la molécule du THC par M. Mechoulam et son partenaire, M. Yechiel Gaoni, en 1964. C’est donc avec gratitude et de grands espoirs pour le futur de la médecine moderne que les participants et visiteurs pourront se remémorer les découvertes scientifiques faites depuis ce moment historique, et qui ont toutes contribué aux récentes évolutions dans les politiques internationales, et dans la Santé.
Sensi Seeds a soutenu le colloque de l’UFCM depuis sa création, et c’est avec un plaisir doublé d’une grande satisfaction que chacun peut désormais être témoin de la montée de cette organisation portant sur le cannabis, et ce en France, un pays connu pour avoir une politique du cannabis parmi les plus restrictives d’Europe.


A propos de l’UFCM iCare

Contact Presse :

Bertrand Rambaud – Co-fondateur
Bertrand est le président de l’UFCM iCare. Séropositif au VIH depuis 30 ans, Bertrand milite pour l’accès au traitement à base de cannabinoïdes. D’abord engagé auprès d’iCare, une association de patients ayant pour but de faciliter l’accès au soin, son rôle chez UFCM iCare est de faire le lien entre les patients qui ont besoin de cannabis pour mieux supporter les douleurs liées à des maladies graves, et les médecins qui prescrivent du cannabis médicinal.

Sébastien Béguerie – Co-fondateur
Sébastien est un chercheur spécialisé dans le cannabis médicinal. Il est diplômé d’un Master en science des plantes, et a été l’auteur d’une thèse sur le cannabis médicinal. Fort d’une expérience de plus de 9 ans, Sébastien a été publié dans plusieurs dizaines de médias TV et presse écrite. En 2009, il a créé l’association Union Francophone pour les Cannabinoïdes en Médecine (UFCM). En 2011, il a lancé AlphaCAT, un test permettant d’analyser du cannabis (taux de THC, CBD, etc…).

Websitehttp://ufcmed.org/

Read More

Roderick Walker : Une vie derrière les barreaux pour du LSD

Roderick Walker a été injustement emprisonné pour du LSD qu'il ne possédait même pas ; et il a besoin de votre aide pour sortir de prison. 

Pouvez-vous imaginer passer le reste de vos jours en prison à cause du LSD ? Eh bien, pour Roderick “Rudd” Walker, c'est la triste réalité. Il y a plus de dix ans, Roderick a été poursuivi pour « conspiration au LSD », une charge à laquelle il a dû faire face même s'il n'a jamais été trouvé en possession de drogue. C'est bien vrai, il a été condamné à la prison à VIE alors qu'il ne possédait même pas les substances que les autorités recherchaient.

Fan absolu des Grateful Dead et bon père de famille, Rudd aimait étendre les frontières de sa conscience et n'en faisait pas un secret. Cependant, aucunes substances n'ont jamais été retrouvées en sa possession, et pourtant il a été condamné à la prison à vie.

Il n'y a jamais eu de LSD

Le fait qu'il n'ait jamais été trouvé en possession de LSD ne semble pas peser lourd aux yeux de la loi, ce qui est probablement l'aspect le plus terrible et injuste de la situation. Ce cas est encore un exemple tragique qui montre la façon dont la guerre contre les drogues est détournée comme instrument légal pour détruire les vies de ceux qui pensent différemment. La condamnation de Rudd s'est basée uniquement sur des déclarations de témoins, témoins qui pour la plupart négociaient des remises de peines en échange de favoriser la condamnation de Rudd. Même en imaginant que Rudd ait réellement été en possession de LSD, une condamnation à vie est une peine qui ne peut venir que d'un régime profondément disfonctionnel, draconien et quasi fasciste. La sévérité de cette peine la réserve en général aux meurtries et autres criminels sévères, ici elle montre comment les gouvernements ont peur des substances psychédéliques.

Aidez à rétablir la justice

C'est le message que les amis et la famille de Rudd essayent de faire passer à ceux qui font les lois aux États-Unis, et ils ont besoin de votre aide. En signant cette pétition pour la libération de Rudd, vous pouvez ajouter votre nom au flot grandissant des voix s'élevant pour combattre cette injustice.
Le LSD fait à présent l'objet de recherches actives sur son potentiel en tant que médicament futur. Notre compréhension de la substance a fait des pas de géant depuis l'incarcération de Rudd il y a plus de dix ans et il devient de plus en plus évident que la guerre contre les drogues est un échec complet. Le fait que cet homme non-violent passe sa vie derrière des barreaux est inacceptable. Il est grand temps de mettre fin cette situation démente:
http://www.change.org/p/clemency-for-roderick-walker-life-for-lsd

Read More

Charleroi: distribuer de l'héroïne pour mieux la réguler!

Le centre urbain de Charleroi est particulièrement exposé à la présence de toxicomanes et de dealers, au grand dam du comité de riverains de la ville haute qui est venu s’en plaindre au dernier conseil communal. La lutte contre les trafiquants, c’est l’affaire de la police et du bourgmestre.

Voici quelques jours, Paul Magnette (PS) a annoncé son intention d’en faire une priorité du plan zonal de sécurité et obtenu un appui de la police fédérale.

Quant à l’accompagnement des usagers de drogue, cela ressort du champ de l’action sociale. Le président du CPAS Eric Massin vient d’emboîter le pas au bourgmestre. Au travers de deux dispositions: la première vise à renforcer les moyens de la division prévention drogues. Sous le signe de la cohérence des approches et des économies d’échelle, cette mission incombant à la ville a été transférée au CPAS.

Sous la responsabilité du CPAS

Depuis le 1er septembre, les cellules «Recherche et concertation», «Carolo rue» et «Carolo contact drogues» sont placées sous son autorité. De même, la division prévention des assuétudes a intégré le service de santé mentale du CPAS. Objectif: augmenter l’efficacité opérationnelle sur le terrain. Cela se concrétisera grâce à un renforcement de la pluridisciplinarité des équipes de rue.

En pratique, les éducateurs ne seront plus seuls à aller à la rencontre des consommateurs dans les lieux où ils zonent. Ils seront accompagnés de professionnels de la santé: médecins, infirmières, psychologues afin de prendre en charge de manière optimale les assuétudes dans le cadre d’une véritable offre sanitaire mobile.

Distribuer de l’héroïne?

Deuxième mesure: elle s’inscrit dans une proposition de loi qu’Eric Massin vient de redéposer à la Chambre des députés parmi lesquels le bourgmestre de Liège Willy Demeyer. Il s’agit de rééditer dans les cinq grandes villes belges l’expérience de «Tadam» menée en Cité ardente. Tadam, c’était ce centre pilote de traitement des héroïnomanes réfractaires à la méthadone. Si le projet a pris fin en décembre dernier, l’équipe de l’université de Liège chargée de son évaluation en avait recommandé la prolongation, au vu des résultats obtenus.

La proposition déposée à la Chambre vise à en étendre le champ d’action à Charleroi, Gand, Bruxelles et Anvers. «L’idée, c’est en quelque sorte de légaliser des lieux de consommation à moindre risque, sous contrôle public, selon Eric Massin. Cela existe notamment en Suisse et au Luxembourg.»
Source : http://www.lanouvellegazette.be/

Read More

dimanche 28 septembre 2014

[Reportage] Barils et cocaïne


Les célèbres cartels mexicains diversifient leurs activités. En plus de leurs divers trafics et de leurs extorsions, ils travaillent maintenant à l'exploitation de la première ressource du pays : le pétrole. Chaque jour, à travers des robinets illégaux susceptibles de provoquer des accidents meurtriers, pas moins de 10 000 barils sont volés à la compagnie pétrolière nationale Pemex. 

Celle-ci estime que les pertes dues aux vols s'élèvent à 5 milliards de dollars par an et qu'une partie de cet or noir est ensuite revendue à des stations essence de l'autre côté de la frontière avec les États-Unis. Alors que les autorités combattent sans merci les cartels, le nombre de victimes ne cesse de grimper.

Suroosh Alvi, fondateur de VICE, s’est rendu au Mexique afin d’enquêter sur ce business d’un nouveau genre. Dans ce premier épisode, il a patrouillé en compagnie de soldats mexicains chargés de protéger les employés de Pemex.

Partie I 

Partie II

Partie III

Read More

samedi 27 septembre 2014

Étape majeure pour le programme de marijuana médicale en Pennsylvanie

Cette semaine, la Pennsylvanie a franchi une étape importante en vue de devenir le 24ième etat à permettre le cannabis médical. Le Sénat de l'Etat à Harrisburg a adopté le projet de loi du Sénat 43-7 1182 qui fournira des produits de cannabis médical admissibles aux patients.

Pour les enfants qui souffrent de crises mortelles , pour les anciens combattants et pour les patients cancéreux, cela marque une victoire importante, mais les modifications apportées à ce projet de loi dans la politique finale pour faire que le projet de loi soit adopté,etait de limiter sensiblement les conditions requises pour l'accès et éliminer le tabagisme et favoriser vaporisation comme méthodes d'administration.

En dépit de ces changements de dernière minute au projet de loi, il s'agit d'une victoire importante dont beaucoup de personnes dans un premier temps n'avaient pas donné beaucoup de chance d'avoir le nombre de votes requis et encore moins de passer le Sénat avec une large majorité . L'équipe bipartite peu probable ainsi que les efforts très passionnés des sénateurs Daylin Leach et Mike Folmer alimentées par les mamans et les familles des enfants épileptiques ( the Mama Bears, comme les Heather Shuker,et mother of Hannah Pallas). Leur passion associée à la base scientifique du Dr Jahan Marcu et un aspect de l'audience de Irv Rosenfeld, la plupart des législateurs conservateurs qui ne soutiennent pas le projet de loi à l'origine ont changé leur position après avoir été informés et instruites du réel projet. En conséquence, des milliers de patients et leurs familles bénéficieront prochainement des soins qu'ils ont besoin, c'est le début d'une nouvelle ère dont nous avons besoin en s'appuyant sur la science qui fournissent de nouvelles connaissances en réfutant les années de faussetés et de mensonges sur le cannabis et le chanvre.

Le grand État de Pennsylvanie , l'État Keystone, le berceau de la liberté et où les agriculteurs de l'époque coloniale de William Penn ont été imposés de ne pas cultiver du chanvre, sera 24ième etat d'une grande nation pour commencer la fin de cette interdiction absurde sur la base des réflexions d'un imbécile d'une époque sombre de l'histoire.Une pensée spéciale aux sénateurs Leach et Folmer pour avoir écouté et entendu le message de plus de 85% de vos électeurs et pour l'ensemble de votre travail acharné, de la coopération et de la passion sur cette question à faire adopter par le Sénat de l'État. Le projet de loi est maintenant à au senat, il ne reste plus que la signature du gouverneur a apposer pour que le projet prenne vie.

A suivre prochainement ........
Source Internal : cannabis-infos

Read More

Anne Armstrong une candidate au poste de gouverneur pas comme les autres

Les politiciens sont occupés au maximum dans cette période de l'année flamboyante due à la campagne électorale et le jour des élections approche. Mais une candidate : Anne Armstrong, inscrite dans la course au poste de gouverneur de Rhode Island donne de l'espoir car elle à vraiment quelque chose est différent par apport aux autres candidats.

Extrait de ses déclaration


  • «Nous avons été longtemps trompé par notre gouvernement , qui nous ment», affirme Armstrong dans sa vidéo YouTube. "Et quelque chose qui a été essentiel à notre santé a toujours été ecartée loin de nous."

Armstrong, qui est un fournisseur de soins médicaux de marijuana et en cours d'exécution en tant que membre du Parti "Rhode Island Compassion", affirme qu'elle consomme du cannabis tous les jours.

"Oui, je fais de la fumée de cannabis, et oui, je ne m'en cache pas», dit-elle. "Il m'aide , Il me permet de me concentrer, et contribue à faciliter la communication avec les autres ".

Avant son travail en tant que soignant, Armstrong était un ingénieur électrique pour Raytheon entreprise.

Les adversaires d'Armstrong sont Démocratique dont le trésorier général Gina Raimondo et le maire républicain de Cranston, Allan Fung qui lui sont farouchement opposés
nous reviendront sur ce personnage politique américain hors norme prochainement....
En attendant voici sa vidéo promotionelle :


Source Internal : cannabis-infos

Read More

Une drogue inconnue fait des ravages en Sibérie


Six personnes sont décédées et près d'une centaine d'autres ont été intoxiquées dans une ville de Sibérie après avoir consommé une "substance synthétique inconnue", ont rapporté vendredi les autorités locales de lutte anti-drogue. 

"Dans notre région, près de 100 personnes ont été intoxiquées. Six autres habitants de 18 à 35 ans sont décédés après avoir utilisé une substance synthétique", a indiqué à l'agence Itar-Tass une porte-parole du Parquet régional, ajoutant que 36 personnes étaient toujours hospitalisées.

Selon les autorités locales, les victimes sont toutes originaires de Sourgout, une ville de 330.000 habitants en Sibérie occidentale. Les autorités russes ont ouvert une enquête et la substance en question, achetée sur Internet, a été envoyée en laboratoire pour des tests. La toxicomanie est l'un des problèmes de santé publique les plus importants en Russie. L'usage de drogues dans le pays a explosé à la chute de l'URSS et a atteint un pic dans la seconde moitié des années 1990, avant de diminuer progressivement depuis le début des années 2000 avec le redressement économique du pays.

Les autorités russes éprouvent toutefois des difficultés à contrôler l'usage de substances synthétiques en provenance de Chine notamment car le changement constant de leurs formules chimiques rend leur interdiction difficile.
Source :  http://www.dhnet.be

Read More

vendredi 26 septembre 2014

Luxembourg: Une coalition pour légaliser le cannabis

Cinq organisations de jeunesse de partis politiques ont décidé de former une alliance pour militer en faveur de la légalisation du cannabis, avec pour leitmotiv que la politique actuelle en la matière est un échec.

L'alliance aspire à provoquer un large débat au sein de la société par le biais de tables rondes qui seront tenues dans les semaines à venir.

Qui se ressemble, s'assemble. Après certaines prises de position isolées de la part d'organisations de jeunesse politiques, voilà le premier front pro-légalisation du cannabis qui s'unit et monte au créneau pour faire de la consommation de cannabis une activité légale et encadrée par l'État.

Déi Jonk Gréng, la Jeunesse démocrate (JDL), les Jonk Lénk, les Jonk Kommunisten et les Jonk Piraten ont ainsi présenté, vendredi, leurs arguments pour la mise en place d'un projet global destiné à faire évoluer les mentalités, mais avant tout pour voir les pouvoirs politiques se pencher une bonne fois pour toutes sur la question. Dans ce contexte, la première «Cannabis Bündnis Luxembourg» revendique le fait que fumer du cannabis est «une réalité qui échappe au contrôle de l'État». Pourquoi, dès lors, ne pas impliquer l'État, s'interroge l'alliance? Jean-François Delaporte, du parti Jonk Lénk, relève que le produit actuellement consommé échappe à certaines règles sanitaires, et qu'il «n'existe pas de protection des consommateurs en la matière». Les consommateurs sont bien souvent forcés de se tourner vers le marché noir. Et qui dit marché noir dit criminalité organisée. L'alliance souhaite d'ailleurs aller plus loin que le modèle néerlandais descoffee shops, ceux-ci se fournissant eux-mêmes, bien souvent, auprès de réseaux criminels ayant leurs propres plantations illégales.


Question de santé publique

Le produit vendu en fin de circuit a des chances d'être «coupé». Paraffine mêlée au haschisch, ou du verre pilé mélangé à la marijuana afin d'en augmenter le poids et donc le bénéfice à la vente : le ministère de la Santé avait d'ailleurs communiqué à cet effet, il y a quelques années, lorsque du cannabis contenant des morceaux de verre – visibles uniquement au microscope – avait circulé au Luxembourg.

Planer en toute sécurité d'un point de vue sanitaire, mais également au niveau légal : l'alliance est d'avis que «la politique répressive en matière de drogue est un échec», d'où la nécessité d'adopter un nouveau cadre légal, à l'instar de l'Uruguay. «La vente doit être organisée dans des boutiques gérées et contrôlées par l'État», lance Gina Arvai appartenant au parti déi Jonk Gréng. Contrôle étatique, vente autorisée à partir de 18 ans, taux de THC fixé (molécule active contenue dans le cannabis et qui possède un caractère psychotrope), et vente réglée sur base d'une carte à puce destinée à contrôler l'achat d'une quantité maximale de cannabis. En cas de légalisation, les règles doivent être très strictes, dixit l'alliance.

La consommation, elle, serait légale dans un cadre privé, ainsi que dans les lieux prévus par l'État, alors que les recettes de ce commerce seraient investies dans la prévention, l'éducation, la recherche, et le traitement thérapeutique des concernés.

Les plantations seraient, elles aussi, placées sous contrôle étatique, alors que la culture à domicile pourrait être autorisée uniquement sur une surface limitée par l'État. Notons encore que l'alliance pour la légalisation du cannabis estime que ces substances devront aussi être légalisées à des fins médicales.
Source : http://www.lequotidien.lu

Read More

La controverse du cannabidiol


Dans la majeure partie du monde, le chanvre est légal alors que le cannabis demeure interdit. Même aux États-Unis, où sa culture est encore illégale, la vente et l’utilisation de produits à base de chanvre sont légales dès lors que leur teneur en THC n’excède pas un niveau spécifique – cela peut englober l’huile contenant du CBD, qui est peut-être la molécule présente dans le cannabis revêtant le plus grand intérêt médical.

Les extraits de CBD issu du chanvre inondent le marché

De nombreuses études ont démontré l’excellent potentiel du CBD
Un nombre croissant d’entreprises aux États-Unis et en Europe commercialisent désormais des huiles et des teintures à base de CBD, produit naturel extrait des fleurs de chanvre. Étant donné que les variétés de cannabis à faible teneur en THC (moins de 0,2 % en UE, et moins de 0,3 % au Canada) sont classées en tant que chanvre, et par conséquent légales dans la plupart des pays, la vente de ces extraits de CBD issu du chanvre est également potentiellement légale, bien que cela soit contesté. Dans tous les cas, leur vente pose un certain nombre de questions d’éthique, car ils ne sont soumis à aucune réglementation quant à leur innocuité et leur efficacité.

« Que les aliments soient ton remède, et les remèdes tes aliments » est une citation célèbre attribuée (peut-être à tort) au médecin grec Hippocrate ; de toute évidence, le lien entre la nutrition et la santé est connu depuis l’antiquité, et la médecine parallèle gagnant en popularité ces dernières années, rien d’étonnant qu’il soit de nouveau mis en avant. Le cannabis est un exemple parfait de plante présentant simultanément des propriétés nutritives et médicinales (et, plus important encore, les nutriments qui le composent fournissent leur propre effet curatif ou prophylactique), et le CBD a démontré dans le cadre de nombreuses études différentes son excellent potentiel, tant comme produit pharmaceutique qu’en tant que complément alimentaire. Mais son large éventail d’applications implique également un risque important de mise sur le marché de produits d’origine douteuse, libellés de manière ambiguë, et vendus habituellement comme complément alimentaire, produit cosmétique ou de phytothérapie.


Les huiles au CBD provenant du chanvre sont souvent extrêmement onéreuses, et les recherches et les essais cliniques nécessaires pour justifier leur prix ou leur efficacité revendiquée font souvent cruellement défaut. Ainsi, toutes les conditions sont réunies pour l’avènement d’une nouvelle race de charlatans, et tout porte à croire que certains s’enrichissent déjà de ce genre d’activité.

Statut juridique du cannabidiol

Aux États-Unis, le cannabidiol n’est pas spécifiquement mentionné au tableau des substances soumises à un contrôle, bien que le cannabis lui-même soit repris au tableau I, à l’instar du THC et de plusieurs cannabinoïdes synthétiques. La DEA a indiqué que le cannabidiol était inclus à l’annexe sous le code de substance affecté à la « marihuana » (7360), et que des procédures étaient en cours pour affecter un code unique au seul cannabidiol. Le code 7372 est déjà utilisé à des fins de tenue des registres internes à la DEA. Toutefois, l’utilisation et la vente de produits finis issus du chanvre sont légales, dans la mesure où leur teneur en THC est inférieure à un certain seuil (la plupart des produits sont importés du Canada, qui a fixé un seuil concernant la teneur en THC à 0,3 %).
Par conséquent, il semble que tant que l’extrait de CBD est dérivé de chanvre contenant moins de 0,3 % de THC, il ne soit pas illégal en vertu du droit fédéral américain. La question de savoir si l’extrait de CBD dérivé de variétés à haute teneur en THC est légal ou non dans la mesure où tout le THC a été supprimé reste floue, et maintenant que plusieurs projets de loi relatifs au CBD uniquement ont été votés (comme en Floride), la réponse peut varier d’un État à l’autre. L’association des industries du chanvre (la Hemp Industries Association) a prévenu que les fabricants d’extraits de CBD devaient absolument éviter toute réclamation sanitaire, et que la commercialisation des extraits demeurait une zone d’ombre dans la loi fédérale.
Ailleurs, le CBD est également non réglementé – à l’exception du Canada où il a été inscrit sur la liste des stupéfiants du tableau II. Les premiers traités des Nations unies sur les stupéfiants – la convention unique de 1961 sur les stupéfiants et la convention de 1972 sur les substances psychotropes – ne mentionnent pas le cannabidiol parmi les substances psychoactives.

Comment est fabriquée l’huile de chanvre à forte concentration en CBD ?

L’huile de CBD

 Bien que le terme « huile de chanvre » désigne plus probablement l’huile obtenue en pressant les graines de chanvre, le contenu en cannabinoïdes des graines est négligeable (selon l’association des industries du chanvre, les graines contiennent moins de 25 PPM de CBD, contre près de 150 000 PPM dans les fleurs et les feuilles) et elles sont donc inutiles pour la production des extraits de CBD.

L’huile de CBD issu du chanvre est en réalité une infusion de fleurs, de feuilles et de tiges de chanvre dans des huiles végétales naturelles, dont éventuellement de l’huile de graines de chanvre. Les produits au CBD issu du chanvre existent également sous forme de teinture. Dans ce cas, on utilise de l’éthanol comme solvant au lieu de l’huile ; outre du CBD, ces produits peuvent également contenir des traces d’autres cannabinoïdes, notamment du CBC, du CBG, du CBN et même du THC. Ces autres cannabinoïdes peuvent agir en synergie avec le CBD, mais les ratios varient en fonction du cultivar et des conditions de culture, et ne sont pas constants d’un produit à l’autre.

De plus en plus souvent, l’huile de CBD issu du chanvre est fabriquée en utilisant un extrait au solvant comme base. Dans ce cas, les solvants comme l’éthanol ou le CO₂ sont utilisés pour extraire le maximum de résine possible de la matière végétale. Le solvant est ensuite évaporé avant que l’extrait brut ne soit infusé dans une huile végétale pour obtenir le produit final. La composition des extraits de CBD issu du chanvre peut varier considérablement ainsi que le pourcentage global de cannabidiol, et le produit fini peut varier encore plus, en fonction du niveau et de la méthode de dilution. Généralement, il semble que la plupart des extraits contiennent entre 15 et 43 % de CBD avant d’être dilués avec de l’huile ou de l’éthanol, ainsi que des traces d’autres cannabinoïdes. L’extrait est ensuite dilué en fonction de son pourcentage de CBD pour donner un produit fini constant – en d’autres termes, un extrait à 30 % sera dilué deux fois plus qu’un extrait à 15 %.

Le CBD issu du chanvre est-il de qualité inférieure ?

Selon diverses sources, l’huile de CBD issu du chanvre serait inférieure en qualité à celle produite à partir de variétés psychoactives de cannabis. Bien que la molécule de CBD elle-même soit identique d’une variété à l’autre, le ratio global de cannabinoïde varie considérablement entre les cultivars. Si l’on aborde cette question sous l’angle de la simplicité, on peut dire que les variétés psychoactives de cannabis produisent habituellement de fortes concentrations en THC et de faibles concentrations en CBD (avec un ratio de 2:1 ou plus), alors que les variétés de chanvre produisent de fortes concentrations en CBD et de faibles concentrations en THC. Dans l’ensemble, les variétés de chanvre produisent moins de cannabinoïdes, car la production de fibre monopolise davantage d’énergie.

Toutefois, certains cannabinoïdes, au-delà du THC et du CBD, revêtent un intérêt médical bien plus grand et l’on considère que leur présence dans la résine joue un rôle complémentaire crucial dans la détermination du potentiel médical global d’une variété. Les preuves suggérant que le cannabis offre des avantages thérapeutiques notables lorsqu’on l’utilise dans le cadre de traitements basés intégralement sur la plante abondent (c’est grâce à cela que GW Pharmaceuticals a pu obtenir une autorisation de mise sur le marché pour le Sativex, qui est une simple teinture au CO₂ et à l’éthanol extraite de toutes les parties de la plante). Ainsi, tandis qu’une variété de chanvre peut contenir beaucoup de CBD, il est peu probable qu’elle offre un ratio élevé de cannabinoïdes en quantités susceptibles de soulager des patients souffrant de maladies graves telles qu’un cancer au stade avancé ou le syndrome de Dravet.

Rien ne permet d’attester l’efficacité des thérapies à base de CBD issu du chanvre

Les différentes variétés de chanvre 

 Étant donné que le cannabis médical en est encore à ses balbutiements, nous disposons de trop peu d’essais cliniques suffisamment rigoureux pour formuler des conclusions quant à l’efficacité de la phytothérapie à base de CBD. Cependant, les témoignages de réussite de ces traitements sont de plus en plus nombreux et il semble que nous disposions d’une base assez solide pour utiliser des variétés psychoactives de cannabis à forte teneur en CBD comme thérapies ciblées dans le traitement du cancer, du syndrome de Dravet et de diverses autres maladies. Ce dont nous ne disposons pas est une base solide nous permettant de suggérer que l’huile de CBD extraite des variétés de chanvre offre un potentiel médical équivalent.

 En outre, l’huile de CBD issue du cannabis médical n’est pas largement disponible, et il est impossible de s’en procurer sur E-bay ou dans les boutiques de chanvre d’Amsterdam. Le risque d’une telle situation est de voir des personnes concernées, potentiellement désespérées, ayant eu vent des succès remportés par des professionnels du cannabis médical, se lancer à la recherche de ce prétendu remède miracle, ne pas parvenir à en trouver, car il n’est pas disponible, et ne trouver à la place que des produits à base de CBD issu du chanvre à l’origine et à l’efficacité douteuses. À ce jour, rien ne semble indiquer que ces produits à base de CBD issu du chanvre aient permis de remporter un quelconque succès notable.

Les huiles de CBD issu du chanvre pourraient très bien avoir un intérêt en médecine, car il existe diverses pathologies pour lesquelles des traitements à base de cannabinoïdes isolés sont bénéfiques. Toutefois, avant que de tels produits ne soient proposés à la vente, ils doivent être traités et testés conformément à un ensemble de réglementations et normes sectorielles, comme n’importe quel autre médicament. Tant que cela n’aura pas été accompli, la vente d’huiles de CBD issu du chanvre à des fins anodines comme soulager une légère inflammation ou une douleur modérée peut être acceptable, mais vendre ces produits comme des remèdes « miracle » pour des cancers avancés, pouvant coûter des milliers de dollars pour quelques semaines de traitement, s’apparente à du mercantilisme sans vergogne.

La controverse Dixie Elixirs à propos du CBD

 

Tamar Wise
En novembre 2013, Tamar Wise, ancienne directrice scientifique de la société californienne Dixie Elixirs spécialisée dans le cannabis médical, a déclenché une controverse en affirmant sur sa page Facebook que les produits à base de CBD issu du chanvre étaient fabriqués à partir de « pâte de chanvre grossière et sale » contaminée par des microbes, des solvants résiduels et diverses autres toxines.

Elle développait en ces termes : « Je suis fatiguée de voir ces soi-disant sociétés spécialistes du CBD clamer haut et fort que les produits qu’elles fournissent sont des médicaments. Quiconque utilise un produit à base de CBD issu du chanvre doit savoir exactement de quoi il retourne, car ces produits ne sont pas du tout ce que l’on croit [sic] ». Elle affirmait également que l’huile de chanvre Real Scientific vendue par Medical Marijuana Inc. était simplement une pâte de chanvre grossière diluée dans de l’huile de graines de chanvre sans aucun raffinage, et qu’elle rédigerait très prochainement un article faisant toute la vérité à ce sujet. Le texte intégral ne tarda pas à être republié par des personnes préoccupées par cette question sur d’autres pages de réseaux sociaux traitant de ce sujet ; l’article original a été supprimé rapidement, bien que Tamar Wise ait confirmé ailleurs qu’elle en était bien l’auteure.

Ses commentaires contredisaient cependant radicalement des déclarations antérieures rédigées de sa main pendant qu’elle occupait ses fonctions de directrice scientifique, quant à la rigueur des procédures de test de Dixie Elixirs. En juillet 2012, elle écrivait que Dixie Elixirs échantillonnait et testait ses produits à trois reprises au cours de la production : d’abord la matière végétale brute était testée, ensuite l’extrait brut, et enfin le produit fini. Elle indiquait que la chromatographie liquide à haute performance était privilégiée afin d’obtenir les résultats les plus précis possible, et que la présence de contaminants microbiologiques et chimiques était vérifiée, de même que la teneur en cannabinoïdes.
Il reste maintenant à voir si l’article précité devant faire toute la lumière sur cette affaire sera publié, ou si d’éventuelles clauses de confidentialité signées lors de son emploi chez Dixie Elixirs en empêcheront la publication.

Réglementation sur les médicaments, la phytothérapie et les compléments alimentaires

À part le Sativex de GW Pharmaceuticals (et désormais l’Epidiolex), aucun autre extrait de la plante dans son intégralité n’a été homologué comme produit pharmaceutique. Les produits de GW Pharmaceuticals continuent de susciter une vive controverse, mais en tant que produits pharmaceutiques homologués on peut leur accorder une certaine confiance quant à leur constance et leur efficacité.
Malgré les nombreuses questions d’éthique soulevées par le Sativex, ce produit est au moins soumis à des procédures rigoureuses qui garantissent que des doses fixes et des quantités constantes d’ingrédients actifs sont administrées à chaque usage. On ne peut pas en dire autant de la grande majorité des produits à base de CBD issu du chanvre non approuvés et actuellement disponibles.
Partout dans le monde, des entreprises ne cessent de repousser les limites de la légalité en commercialisant des produits de santé en vente libre, et bon nombre de produits à base de CBD issu du chanvre flirtent avec ces limites. Étrangement, il semble que tant qu’une substance ou un produit n’accumule pas une mauvaise presse considérable pour ses dangers apparents (comme le cannabis synthétique, les produits d’éclaircissement de la peau ou les injections de silicone, par exemple) la nécessité de réglementer le produit n’est pas à l’ordre du jour. La probabilité que l’huile de chanvre provoque des effets secondaires graves est extrêmement faible, il y a donc peu de chances pour qu’elle s’attire les foudres de la presse. Pourtant, si des produits pour lesquels des personnes ont dépensé des milliers de dollars ne parviennent pas à les soigner, les vendre en utilisant des histoires à sensation claironnant leur efficacité est tout autant contraire à l’éthique.

Réglementations de l’UE sur la phytothérapie

 

Depuis 2011, les pays de l’UE sont tenus de mettre en œuvre un système d’enregistrement pour cataloguer les produits de l’herboristerie traditionnelle, et seuls la vente et le marketing des substances inscrites au registre sont autorisés. Une période de transition permettant aux entreprises de vendre leurs produits existants non homologués a pris fin en mai 2014.


Le cannabis et le chanvre ne figurent au registre des substances approuvées dans aucun pays (mais ils ne sont pas pour autant listés en tant que produits prohibés ou interdits) et ne sont pas désignés pour évaluation par le Comité des médicaments à base de plantes de l’Agence européenne des médicaments ; ainsi, les produits utilisant des composés actifs issus du cannabis ou du chanvre ne peuvent légalement être classés en tant que médicaments de phytothérapie.

Dans l’éventualité où les produits à base de CBD issu du chanvre seraient soumis à un examen, nous disposons d’un corpus de recherche conséquent démontrant l’utilisation récurrente du chanvre en médecine traditionnelle, et l’on pourrait facilement démontrer le bien-fondé de son inclusion dans les registres de la phytothérapie. Dans l’intérêt de légitimer cette industrie, il semble que réclamer l’inscription du chanvre sur la liste des produits de phytothérapie approuvés pourrait être un grand pas en avant. Après tout, les utilisations thérapeutiques du chanvre ne sont pas directement liées à la teneur en cannabinoïdes ; la concentration élevée de la graine en acides aminés et en acides gras essentiels est un point en sa faveur. Ensuite, si l’on parvient à prouver que le CBD issu du chanvre est aussi efficace que celui issu du cannabis psychoactif, nous disposerons d’un cadre en place pour le vendre en tant que médicament de phytothérapie conforme à la réglementation.

Quelle est la prochaine étape pour le CBD issu du chanvre et pour le cannabis médical ?

 Dans certains États (comme la Floride, qui vient de voter un projet de loi traitant uniquement du CBD) où se déroule une bataille idéologique sur le droit d’administrer du CBD aux enfants ; par exemple, autoriser « juste » le CBD signifie qu’il n’est nul besoin de légaliser le cannabis lui-même ni le THC ou autre – en particulier si le CBD est issu d’une variété de chanvre ne produisant pas de THC. Tandis que légiférer sur le CBD uniquement peut sembler une solution facile pour les législateurs – et est en tout état de cause préférable à son illégalité pure et simple –, cela ne règle pas la question du cannabis qui demeure injustement illégal, et d’autres médicaments à base de cannabis qui restent inaccessibles.

Dans les États qui ne sont dotés d’aucun programme médical ou qui ont des lois légiférant uniquement sur le CBD, à l’instar des autres pays où le cannabis médical est toujours illégal, on peut s’attendre à ce que l’huile de CBD issu du chanvre gagne en popularité alors que les succès remportés par les produits équivalents issus de variétés psychoactives continuent de donner de l’espoir à des milliers de personnes désespérées. Il se pourrait bien que l’huile de CBD issu du chanvre aide certains, voire la plupart de ceux qui l’utilisent dans une certaine mesure, mais nous ne disposons d’aucune donnée empirique nous permettant d’affirmer que c’est bien le cas. Il est d’une importance capitale que l’industrie du cannabis médical en plein essor reste bien à l’écart de tout charlatanisme, et l’existence et l’omniprésence croissante de ces produits à base de chanvre non testés ne font rien pour la légitimer.
Source : sensiseeds

Read More

Fumer de l'herbe protège-t-il du cancer ?

L'huile de cannabis est largement utilisée pour traiter le cancer, mais est-ce que fumer du cannabis pourrait empêcher la maladie de se développer ? 

L'huile de cannabis fortement concentrée est rapidement en train de devenir un traitement de base contre le cancer, mais il semble à présent que même fumer la plante peut avoir des effets préventifs. Une nouvelle étude à découvert que les fumeurs chroniques de cannabis avaient 62 % moins de risque de développer des cancers du cou et de la tête que ceux qui n'en fumaient pas.

L'étude

Cette recherche, publiée dans le journal Cancer Prevention Research, était une étude à long terme comprenant seulement 1.000 participants : 434 personnes étaient des patients souffrant de cancers du cou et liés à la tête, alors que 547 personnes n'en souffraient pas. Après avoir pris en compte d'autres substances comme l'alcool et le tabac, il a été découvert que fumer du cannabis au moins une fois par semaine réduisait significativement les risques de développer ces cancers, en comparaison avec ceux qui ne fumaient pas de cannabis.

Encore plus intéressant, les résultats ont montré que ceux ayant commencé à fumer de l'herbe plus tard dans leur vie avaient un risque encore plus faible que ceux qui avaient commencé à fumer plus tôt : ceux qui avaient commencé à fumer entre 15 et 19 ans voyaient les risques diminuer de 47 %, alors que ceux qui avaient commencé à fumer après 20 ans avaient une réduction de 61 % des risques.

Pourquoi des cancers du cou et de la tête ?

Pour la même raison qui fait que le tabac augmente le risque de ces cancers : la fumée est en contact direct avec ces zones. La fumée du cannabis regorge de cannabinoïdes qui ont montré avoir une forte action anti-tumeur. Il était donc logique que la gorge et la tête soient les zones à bénéficier de la plus forte protection.
Cette étude s'est donc limitée au développement du cancer dans ces seules zones. Bien que ce soit une bonne nouvelle, il est important de garder à l'esprit qu'il n'a pas été démontré que le cannabis prévenait la croissance de cancers dans d'autres zones, comme les poumons ou les seins. Mêmes des fumeurs chroniques ont rapporté souffrir de cancers. Les forts effets curatifs de l'huile de cannabis ne peuvent pas être comparés à la fumée, car les grandes quantités de cannabinoïdes nécessaires à ces effets curatifs ne peuvent pas être consommés en fumant.

Et vaporiser est toujours meilleur

Même si ce sont de bons résultats, il est important de se rappeler que le processus de combustion du cannabis produit un véritable cocktail d'horribles toxines et de goudron, et même si les composés bénéfiques du cannabis peuvent protéger la gorge et la tête, ces toxines se fraient toujours un chemin vers les poumons et dans l'organisme.

Ce n'est pas un problème quand vous vaporisez. La vaporisation n'entraîne aucune combustion de votre herbe, donc aucune toxine n'est créée. Le résultat est une vapeur non seulement plus propre, mais également plus riche en cannabinoïdes.

Si vous voulez profiter de tous les bienfaits des cannabinoïdes pour votre gorge, votre tête et vos poumons, mais sans toutes les toxines, alors la vaporisation est le seul moyen.

Read More

L'UE rend illégales quatre drogues de synthèse


L’Union européenne a décidé jeudi d’interdire la fabrication et la vente de quatre drogues de synthèse dont une très meurtrière, surnommée «sels de bain», ces quatre drogues étant associées à près de 150 décès en Europe.

Ces quatre substances, 251-NBOM, AH-7921, Methoxetamine et MDPV, substance principale de la drogue surnommée «sels de bains», appartiennent à une famille de produits psychoactifs issus de l’industrie chimique et pharmaceutique surnommés «drogues légales» car ils sont détournés en drogues, en particulier dans les milieux festifs.

Le Conseil de l’Union européenne, qui représente les gouvernements de l’UE, a décidé de leur interdiction en suivant une proposition de la Commission européenne. Leur fabrication et leur vente exposera à des poursuites criminelles dans toute l’UE sous un an, délai laissé aux Etats pour appliquer cette règle, a précisé la Commission.

«Ces drogues sont des loups déguisés en agneaux, elles auront désormais le statut criminel qu’elles méritent. Les drogues légales ne le sont pas, elles sont létales», a souligné la commissaire à la Justice, Martine Reicherts.

Une évaluation de ces substances demandée par l’exécutif européen a conclu au printemps qu’elles ne servaient «aucun objectif légitime médical ou autre» et étaient vendues «comme des alternatives aux drogues illicites».

Détectés dans 23 Etats membres, ces produits, aux effets hallucinogènes ou assimilables à ceux de la cocaïne et de l’héroïne, ont été associés à 147 décès recensés ces dernières années, dont 108 pour le seul MDPV, en particulier en Finlande et au Royaume-Uni.

Cette substance avait été impliquée en 2012 dans l’affaire du «cannibale de Miami», un homme ayant dévoré une grande partie du visage d’un passant dans cette ville américaine.

Quatre autres substances détournées avaient déjà fait l’objet de restrictions à la vente dans l’UE: BZP, mephedrone, 4-MA et 5-IT.

Le boom des drogues de synthèse, accentué par leur diffusion sur Internet, est le «défi de la décennie» pour l’Europe, selon l’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies.

Au total, plus de 300 substances utilisées par l’industrie chimique et pharmaceutique circulent sur le marché et peuvent être acquises par des particuliers depuis 1997.
Source : http://www.sudinfo.be

Read More

jeudi 25 septembre 2014

L' impôt sur le cannabis pourrait rapporter 3 milliards de dollars par an dans tout les etats


Si chaque Etat à travers l'Amérique suivrait les traces du Colorado et de Washington par la création d'une taxe et la réglementation du marché de la marijuana récréative, l'ensemble du pays serait de générer bien plus de 3 milliards de dollars de recettes fiscales chaque année, selon les prévisions du site Web de finances personnelles NerdWallet .

Alors que de nombreux pays restent sur leurs positions négatives en ce qui concerne l'utilisation du potentiel de gain financier et d'aller de l'avant avec la législation de légaliser la feuille, les dernières statistiques indiquent que l'avantage économique peut être plus important que ce que certains législateursavaient prévu au départ.

La Californie à elle seule est l'un des meilleurs soutiens de la nation, l'Etat génére plus de 519 millions de dollars par an, suivie par New York avec une prise annuelle de près de 250 millions de dollars. En outre, sept États seraient remplir leurs coffres fiscales avec plus de 100 millions de dollars par an, tandis qu'au moins 50 pour cent des gouvernements des États de la nation gagnerait pas moins de 20 millions de dollars par année.


 Les statistiques de NerdWallet sont basés sur le taux de la taxe de vente actuelle de chaque État combinée avec une taxe d'accise de 15 pour cent en moyenne sur le cannabis au détail. Cependant, l'étude n'est pas exactement un portrait précis des perspectives post-interdiction, car il ne tient pas compte des nombreuses variables qui sont susceptibles d'apparaître avec le début de la légalisation du pays. Ces données sont plus représentatives de la manne de l'impôt collectif si les Etats-Unis continuent la tendance de permettre aux marchés de marijuana à être établis sur une échelle de l'État.

"La consommation de marijuana est illégale dans la plupart des États, il est donc difficile d'obtenir des chiffres concrets sur la quantité de marijuana achetée et consommée", a expliqué le chercheur principal, Divya Raghavan. «Pour estimer cette valeur, nous avons utilisé les données de la toxicomanie et les services de santé mentale , les Services Administratifs détaillant le pourcentage de fumeurs de marijuana de 25 ans ou plus dans chaque état ​​et multiplié ce pourcentage par la population de l'État des plus de 25 ans pour obtenir le nombre d'utilisateurs dans chaque état. Nous avons ensuite pris les utilisateurs de l'État en pourcentage du nombre total d'utilisateurs de plus de 25 ans aux États-Unis et multiplié que par l'estimation totale du marché de la marijuana (dimensionné à 14 milliards de dollars d'après l'économiste de l'Université de Harvard Jeffrey Miron) pour déterminer la taille du marché dans chaque État. "

Bien que les estimations sont impressionnantes, les chercheurs de NerdWallet admettent qu'ils approchaient de l'étude avec une certaine marge . Des études similaires ont conclu que "l'Américan marijuana business" a le potentiel pour atteindre 10 milliards de dollars en ventes au cours des quatre prochaines années, pourtant il reste illégal aux yeux du gouvernement fédéral et dans certains etats conservateurs.

Pour mettre ces chiffres en perspective , l'industrie de l'alcool aux États-Unis a généré environ 9,5 milliards de dollars en 2008, selon un communiqué des statistique de l'alcool et le tabac par le Bureau du commerce.

Messieurs les politiques : une fois de plus , ne faites plus payer la crise aux pauvres et permettez a tous de trouver sa voie ....
Source internal : cannabis-infos

Read More

Le maire de Chicago pousse à réduire les pénalités dans l'Illinois pour le cannabis

Le maire de Chicago Rahm Emanuel fait pression afin que l'état de l'Illinois réduisent les pénalités pour la possession de petites quantités de marijuana.

Dans son témoignage mardi matin , Emanuel a exhorté les législateurs de l'État de refléter une politique au niveau de la ville de Chicago, qui donne à la police la possibilité de'amendes à la place de l'arrestation des personnes possédant 15 grammes ou moins de marijuana. Il a également exhorté l'adoption de lois pour réduire la peine pour possession d'un gramme ou moins de toute substance réglementée à un délit.

Eric Sterling, chef de la "Criminal Justice Policy Foundation" et un observateur de longue date de la politique de réforme de la drogue à Washington DC, a déclaré que Emanuel, qui était aussi à Washington dans les années 1990 en tant que conseiller de la politique intérieure pour le président Bill Clinton, était "connu pour sa résistance aux réformes des lois notoirement difficiles comme celles envers la drogue."

Quand il était au Congrès, Emanuel a voté trois fois contre des amendements pour arrêter l'ingérence du ministère de la Justice avec les lois de la marijuana médicale de l'Etat (même si à deux reprises il à voté en faveur d'amendements similaires).

Rahm Emanuel

 Maintenant, Emanuel a choisi de se positionner de manière proactive comme un réformateur, et pas seulement l'adoption de changements dans sa propre ville, mais aussi en prenant la lutte pour le capitole de l'État. Face à de faibles nombres d'approbation des électeurs dans le milieu d'une campagne de réélection, peut-être qu'il lorgne sur les sondages qui montrent systématiquement un soutien majoritaire des électeurs pour la réforme de la marijuana.

La politique de côté, Emanuel est clairement engagé sur une politique tangible bénéficiant d'une nouvelle approche à Chicago. Il a déclaré aux parlementaires de l'Etat que le taux d'homicides de la ville est le plus bas jamais vu depuis les années 1960 et que ses taux de cambriolage sont en baisse aussi biende part la meme occasion

Et le maire n'est pas seulement pour un encadrement des changements en termes de sécurité publique. "Il ne s'agit pas seulement de sauver l'argent des contribuables, il s'agit aussi de sauver des délinquants non violents d'avoir un casier judiciaire" qui "peut claquer la porte sur l'avenir d'une personne» et de faire du mal à trouver un emploi ou aller à l'école, Emanuel a témoigné. «Nous devons nous demander si c'est un prix trop élevé pour l'utilisation de cannabis en tant que médicaments."

C'est une question que l'Assemblée générale est susceptible de s'attaquer dans l'année à venir. «J'ai senti le soutien des législateurs clés de l'Illinois," comme le pasteur Alexander E. Sharp, directeur du clergé pour une nouvelle politique des drogues. "La déclaration du maire Emanuel donnera un nouvel élan fort et solide pour l'avenir."

Source Internal : cannabis-infos

Read More

Le programme de la marijuana médicale d'Hawaï face a son destin


Il y a plus de 13 000 patients de la marijuana médicale dans l'État d'Aloha ce qui represente environ 1 pour cent de l'ensemble de la population d'Hawaï. Mais les patients hawaïens ont de la difficulté à obtenir leurs médicaments , grâce à la réglementation qui prete à confusion.

Pour obtenir le certificat agréé par l'Etat, un hawaïen doit être atteint d'une «maladie handicapante médical, 'comme des tumeurs malignes, sclérose en plaques, le VIH / SIDA, etc , et ont leurs conditions confirmées par un médecin. Pourtant, une fois que ces patients reçoivent la clairance de l'Etat à utiliser la marijuana médicale, ils sont tenus soit de cultiver leurs propres plants de cannabis ou se risquer sur le marché noir.

En 2000, Hawaï est devenu le premier et le seul à décriminaliser la marijuana médicale par voie législative, par opposition à des initiatives de vote. Malgré son statut relativement précurseur, la loi laisse les patients de la marijuana médicale hawaïennes avec un accès quasi inexistant au médicament.

Heureusement, armé d'un nouveau groupe de travail soutenu par les législateurs des États, des médecins, des chercheurs et des membres de la communauté, la politique de la marijuana médicale quelque peu illogique à Hawaii peut se diriger dans une direction plus écologique et plus constructive.
 


Répondre à sa finalité

Les objectifs de secteurs de programmes médicaux de la marijuana de la plupart des Etats sont les suivants:

  1.     Retrait des sanctions pénales au niveau de l'Etat pour l'usage médical de la marijuana.
  2.     Connexion des patients qualifiés avec les médecins pour des conseils sur le bon usage,d'expliquer    les effets  et la surveillance de l'efficacité du traitement.
  3.     Des Contrôles établissant à l'accès, la qualité, la quantité, et d'autres facteurs logistiques.

Comme il en est actuellement, la loi à Hawaii satisfait  les deux premiers objectifs, mais ne parvient pas encore à répondre au troisième. Le problème pourrait être enracinée dans le fait que le programme de marijuana médicale de l'Etat a été affecté à la compétence de la Division de l'application des stupéfiants. La majorité des programmes des États relèvent de la compétence de la santé publique.

Si le programme était en sommeil ou infime , ce ne serait pas d'inquiétant, mais ce ne l'est  pas. La population de patients de l'État d'Hawaï se classe parmi les plus élevés dans les pays avec des programmes de marijuana médicale devancé seulement par le Colorado, Washington,la Californie et le Michigan en termes de patients par apport au pourcentage de la population.

Tel que rapporté par le journal local Ouest Hawaii Aujourd'hui, il y a près de 5400 patients inscrits sur la grande île d'Hawaii, suivis par environ 3000 à Maui et une autre de 2750 sur Oahu. L'île de Niihau, avec une population de 130, deux patients inscrits.

Ce n'est pas seulement les patients qui soutiennent la politique plus sensible. Un sondage qmark a révélé que 78 pour cent des électeurs d'Hawaï soutiennent un système de dispensaire; 69 pour cent croient que les peines de prison pour les délits liés a la marijuana sont inapproprié; et 57 pour cent, à quelques points de plus que la moyenne nationale, sont en faveur de la légalisation totale.

Un changement est il en chemin ?

Pour le crédit des militants assidus, la position du gouvernement de l'État a lentement dérivé vers une politique plus pragmatique. Signé en droit au cours de l'été 2013, et entrera en vigueur Le 2 Janvier 2015, Hawaii et ses patients de la marijuana médicale peuvent maintenant posséder jusqu'à quatre onces (113.32gr) de marijuana consommable , à partir de la limite initiale d'une once. Un aspect vague de la loi préexistant en ce qui concerne le nombre de plants mûres et de plants de cannabis immatures a été simplifié à un délai de sept plantes, indépendamment de la maturité des plantes.

En 2013 a également été l'appel du succès des poursuites engagées de l'état envers Geoffrey Woodhall qui avait tenté de transporter deux grammes de sa marijuana médicale dans un sac en plastique transparent, en route vers l'île d'Oahu. En 2010, Woodhall a été retiré d'une ligne de sécurité TSA à l'aéroport international de Kona lorsque les agents ont découvert son médicament d'origine locale. Le tribunal de district avait déclaré Woodhall coupables de promouvoir une drogue dangereuse de troisième degré. La loi ambiguë permet le transport intérieur de la marijuana médicale utilisé pour soulager les symptômes d'une maladie invalidante, mais la police locale selon Woodhall (avec le certificat en main) n'ont pas fourni suffisamment de preuves que la marijuana était à usage médical.

Ces petites victoires ont servi de tremplin à une plus grande réforme. Avec le soutien des législateurs de l'État, notamment le Président de la Chambre d'Hawaï des représentants comme Joe Souki et l'Honolulu Representative Della Au Bellati, un groupe de travail Dispensaire sur la marijuana médicale a été créé pour formuler des recommandations pour le déploiement d'un système de dispensaire ainsi que des licences d'etat et d'autres révisions à Hawaï sur la création d'un programme de marijuana médicale. Si l'équipe réussi à atteindre son objectif, des dispensaires pourraient ouvrir sur les îles en 2016.

Joe Souki note,que la prochaine élection du gouverneur aura un grand impact sur ​​la direction du programme. Le mois dernier,le gouverneur d'Hawaï Neil Abercrombie a perdu la primaire ,c'est  la première fois qu'un démocrate sortant a perdu dans l'histoire de l'état. Si le candidat républicain duc Aiona remporte l'élection générale en Novembre, Souki croitque le programme de marijuana médicale de Hawaii devra faire face à une bataille difficile.



Un moment crucial

Comme la conversation nationale autour de la politique de la marijuana a pris le feu des projecteurs, les réformes des Etats individuels sont plus importantes que jamais.Le programme de marijuana médicale de Hawaii est très illustratif de deux lacunes existantes et de puissants mouvements de la politique de la drogue de notre nation. L'Etat applique actuellement des lignes directrices étroites pour les conditions d'admissibilité. Notamment l'absence de maladies acceptables dont les maladies mentales comme post-traumatique et le stress. Le Symptome de Stress Post Traumatique est une maladie courante chez les anciens combattants, et des études utilisant la marijuana médicale comme traitement palliatif se sont révélés prometteurs.

En Arizona, un État historiquement conservateur avec un programme de marijuana médicale limitée elle-même, dont le responsable de la santé à récemment jugé que les patients atteints du "SSPT" devraient avoir accès à du cannabis prescrits par le médecin. La décision entre en vigueur ce Janvier 2015.

Aujourd'hui, des dispositions absurdes sont prises pour la plupart des patients enregistrés à Hawaii. Même ceux qui ne choisissent pas de cultiver leur propre cannabis sont laissés dans l'ignorance de l'accès légal aux semences , une question sur laquelle l'Etat reste silencieux. Pour ceux qui utilisent un fournisseur de soins recommandé de faire croître leur marijuana pour eux, le transport de la médecine ( marijuana ) reste strictement illégal ( allez savoir pourquoi ?? ).

Nouvellement formé ; le Groupe de travail "Medical Marijuana Dispensaire" d' Hawaii est représentatif d'un large éventail de parties, des législateurs des États mentionnés ci-dessus pour les patients, les responsables de la santé publique, des avocats, des chefs de police, des membres de commerce, des universitaires, et plus encore. De toute évidence, le débat nécessite la participation même de ceux qui ne sont pas directement impliqués dans la marijuana médicale.

Les marées de changement ont basculé en faveur de la réforme de la politique de la marijuana à Hawaii, ainsi que l'ensemble du pays, mais aucun facteur est plus influent et fondamental que l'apport de soi, du militantisme de base. Des années de patience et de dur travail a conduit le mouvement au bord du précipice de la victoire. Maintenant, le sort du programme semble reposer sur les décisions des électeurs ce mois de Novembre.
il vas de soi que nous y reviendrons des que nous avons les resultats.
Source Internal : cannabis-infos

Read More

mercredi 24 septembre 2014

On a discuté avec la journaliste qui a quitté son job en direct pour s’occuper d’un dispensaire de cannabis

À la fin du week-end dernier, après avoir présenté un reportage sur la possible légalisation du cannabis en Alaska, Charlo Green, la présentatrice de KTVA – une chaîne d’infos locale – a démissionné d’une façon très « ». Charlo a arrêté de lire le prompteur et a annoncé à son public alaskien, en direct, qu’elle était la propriétaire de l’unique cannabis social club d’Alaska et qu’elle s’apprêtait en conséquence à laisser le monde des informations derrière elle, afin « d'utiliser toute son énergie dans le mouvement de légalisation du cannabis en Alaska ». Charlo a dès cet instant commencé une nouvelle vie, laquelle consistera à tenir l’unique dispensaire de cannabis de l’État le plus froid des États-Unis. Avant de démissionner, elle a également ajouté, très sobrement : « Rien à foutre. Je démissionne. »

Sans surprise, le mélange de cannabis, de gros mots en direct et l’excitation provoquée par cette démission pour le moins abrupte, a créé une grosse polémique – et un gros buzz – autour de la dernière émission de Charlo. On l’a appelée hier matin pour discuter de sa décision d’abandonner sa vie de star locale, de son cannabis social club et du mouvement de légalisation en Alaska qu’elle vient tout juste de mettre en lumière.

VICE : Raconte-moi comment tu as commencé ton « cannabis social club ».

  • Charlo Greene : Lorsque nous avons acheté une licence d’exploitation le 20 avril 2014 !
Comment se porte le business ?
  • Ça se passe très bien ! Assez bien pour que j’abandonne une carrière que j’ai passé toute ma vie d’adulte à construire.
Pourquoi as-tu décidé de démissionner dans un style aussi extrême ?
  • [Rires] Pour attirer l’attention sur le problème. Toi, en tant que journaliste, tu sais que nous ne sommes pas irremplaçables. Tu ne vas pas manquer aux gens ; ni moi, ou n’importe quel autre journaliste. Alors pourquoi ne pas simplement utiliser la place que j’avais pour être certaine que le prochain chapitre démarre sur de bonnes bases ?
Que s’est-il passé ensuite dans le studio ?
  • Dieu merci, c’était un dimanche soir, donc la plupart des gens étaient dans le studio du bas. Je faisais mon direct dans celui du haut, c’est pourquoi je n’ai pas vu ce qui s’est passé dans la vraie salle de rédaction. J’ai vu que quelques supérieurs à mon étage avaient un peu peur – oui, ils étaient un peu paniqués. Les téléphones n’arrêtaient pas de sonner et j’ai été escortée jusqu’à la sortie. Voilà tout.
Et il n’y a pas eu de répercussions depuis ?
  • La chaîne a supprimé ma biographie et tout ce genre de choses – mais personne ne m’a contactée.
  • Tweet de la part de la chaîne de télé KTVA
C’est cool. Tu as vu  ?
  • [Rires] Oui. J’ai vu ça. C’est idiot.
C’est assez dur, je trouve.
  • [Rires] Oui, et aussi le fait qu’il y ait autant de soutien… si vous allez simplement regarder le tweet qu’ils ont écrit, vous verrez que la seule réponse c’est : « Non, vous avez tort les gars. Elle a simplement démissionné. On l’a entendu. On l’a vu. » C’est cool de voir à quel point les gens se rallient à ma cause. J’ai, en quelque sorte, fait ce que tout le monde, à un moment ou à un autre, a rêvé de faire. Genre, « Et puis merde, j’en peux plus. C’est stupide. Je vais faire quelque chose d’autre. Je vais devenir mon propre patron. »
Comment tu t’es mise à consommer du cannabis ?
  • Je suis Alaskienne. Les Alaskiens fument du cannabis. C’est comme ça, c’est tout. Mais la première fois que j'ai essayé quand j’étais au lycée, je n’ai pas du tout aimé. Donc j’ai arrêté complètement et j’ai commencé à boire, ce qui est également un énorme problème en Alaska. Quand j’étais à la fac, je buvais tellement que j’ai fini par ne plus aller en cours. J’ai raté un semestre entier et j’ai dû rattraper énormément de cours. Sur 7 matières, je les ai toutes ratées, à part le sport, et c’est seulement parce que le prof avait de la peine pour moi.
  • Je savais que l’alcool n’allait pas me laisser devenir la personne que j’étais destinée à être. J’avais besoin de me mettre à un truc moins nocif, et j’ai commencé à fumer de la weed. J’ai eu d’excellentes notes le semestre suivant – et à tous les semestres qui ont suivi. J’ai été diplômée avec la mention bien… parce que je fumais de l’herbe ! Je posais mon cul chez moi et faisais ce que j’avais à faire, et je ne me suis jamais réveillée avec la gueule de bois ; je ne me suis jamais retrouvée à écraser une famille sur la route non plus !
J’imagine que tu fumes seulement dans un « but récréatif » et que tu n’as pas de recommandation médicale particulière.
  • Je trouve le terme récréatif assez drôle. Qui dit que s’asseoir et fumer un joint qui a un effet relaxant sur vous est très différent que de prendre un Zoloft – ou n’importe quel antidépresseur ? Vous ne diriez pas que prendre un Zoloft est récréatif, je crois.
Je crois voir où tu veux en venir.
  • Voilà : pour moi, c’est médical. Je pense que la plupart des gens qui fument du cannabis le font pour des raisons médicales de toute façon.
Pour les gens qui ne sont pas au courant de la situation en Alaska, quelles sont les dernières nouvelles concernant une possible légalisation ici ?
  • Les sondages montrent que le soutien diminue, c’est pour ça que j’ai abandonné ma carrière. Les sondages ont montré que la campagne de terreur de la part de l’État continuait de fonctionner ; j’ai dû partir pour être certaine que les Alaskiens sachent ce qui est réellement en jeu. Et l’opportunité qui s’offre à nous.
Es-tu optimiste ?
  • Oh oui. Si vous pouviez voir nos messages Facebook et nos commentaires, ou les mails que nous recevons – ce sont des gens qui n’avaient jamais eu envie de voter auparavant. On reçoit des trucs genre : « Vous avez du courage, et je m’inscris pour voter, allons-y et faisons-le. Je suis derrière vous. » Nous savons que nous allons dans le bon sens.
Cool. Tu as une variété d’herbe préférée ?
  • Je dirais Jack. La Jack Herer. C’est un classique.
Ç’en est un. Je suppose que ton cannabis social club est uniquement composé d’adhérents privés pour l’instant ?
  • Oui. Jusqu’à ce que nous votions pour la légalisation. L’aspect médical sera – dans un premier temps, du moins – toujours pris en compte. Nous prévoyons d’étendre notre champ d’activité et de commencer la vente au détail pour nos patients. Mais nous devons nous assurer que ces derniers, partisans du cannabis médical donc, ne se fassent pas baiser une fois la légalisation acceptée. Cette initiative ne fait aucune différence entre le cannabis médical et le cannabis récréatif.
  • En Alaska, les électeurs ont décidé de légaliser le cannabis médical dès 1998. 16 ans plus tard, l’État n’a pas mis en place de structure pour que les patients puissent en acheter – ni autorisé le moindre dispensaire. Du coup, ils se sont fait avoir.
D’accord. As-tu un conseil à donner pour quiconque voudrait démissionner de manière spectaculaire ?
  • Faites ça bien. Si vous vous apprêtez à quitter définitivement votre job, faites-le bien. Pourquoi ? Parce que votre job est probablement nul, donc allez-y et récupérez ce que vous pouvez. Si votre job vous donne accès à des informations qui peuvent vous aider dans ce que vous ferez après – eh bien, prenez-les ! Si vous êtes juste un rouage au sein d’une énorme machine, et que vous savez que vous êtes parfaitement remplaçable – laissez-les vous remplacer. Soyez courageux. Et assurez-vous que vous irez bien après ça.
Source : http://www.vice.com/
Voir notre article : Cliquez ici

Read More

L’armée Israelienne autorise l’usage thérapeutique du cannabis par les réservistes


Israel : L’armée a décidé d’autoriser les soldats qui suivent un traitement avec de la marijuana thérapeutique à continuer à prendre leur traitement pendant leur service actif, est-il révélé lundi.

La Deuxième chaîne indique que l’armée n’a pas encore publié de précisions sur cette mesure, qui n’affectera que quelques centaines de soldats, laissant ainsi sans réponse les interrogations sur la possibilité de fumer en uniforme ou en présence d’autres soldats, si un endroit de la base militaire sera prévu à cet effet ou si l’utilisation de la marijuana sera autorisée pendant les opérations.

« Le cannabis employé à des fins médicales est utilisé pour traiter différentes maladies dans le système de santé civil », souligne l’armée. De plus, les aptitudes physiques d’un citoyen soumis au devoir de réserviste sont déterminées par son « état de santé et non par sa consommation de cannabis ».

L’armée est en train d’étudier de manière approfondie l’utilisation de la marijuana parmi les soldats, indique Tsahal. Le reportage souligne que l’utilisation de la marijuana par les soldats non-réservistes, c’est-à-dire ceux qui font leur service actif et les militaires de carrière, n’a pas été approuvée, même si, selon l’armée, la question est étudiée.

La question de l’utilisation de la marijuana par les réservistes a été soulevée lors d’une récente discussion sur le forum « Cannibus », un site israélien sur le cannabis, qui a entraîné une enquête officielle de l’armée.

On considère, généralement, Israël comme étant l’un des pays encourageant une vision progressiste sur l’emploi de la marijuana à des fins médicales. Il développe des programmes de recherches très avancés et la majorité sont menés par des institutions israéliennes. Une étude de l’université de Haïfa, dont les conclusions ont été publiées au début de ce mois, révèle que le cannabis pourrait aider à contrôler les symptômes du syndrome de stress post-traumatique.

Environ 20 000 patients ont une ordonnance pour recevoir du cannabis. Elles sont délivrées pour soigner des cas graves où il a été prouvé que la marijuana avait un effet bénéfique.

Ces dernières années, la popularité des programmes de recherche sur la marijuana thérapeutique n’a cessé de croître. Le ministère de la Santé a annoncé au début de l’année 2014 le lancement d’une étude sur deux ans pour examiner ses effets et ses bénéfices. Il a indiqué en mars que quelque 50 nouvelles ordonnances étaient délivrées chaque semaine.
Source : http://fr.timesofisrael.com/

Read More

Albanie: 102 tonnes de cannabis, estimées à 6,4 milliards d'euros, détruites depuis mars


La police albanaise a annoncé mardi avoir détruit depuis mars dernier 102 tonnes de cannabis d'une valeur de marché estimée à 6,4 milliards d'euro, soit 60% du PIB annuel du pays. 

"La police albanaise a également détruit plus de 2.000 champs de cannabis et plus de 530.000 plants de cette culture", a déclaré le ministre albanais de l'Intérieur Saimir Tahiri lors d'une conférence de presse.
Au cours de ces opérations, 1.762 personnes ont été arrêtées ou interpellées et près de 190 autres sont toujours recherchées par la police.

"Nous sommes décidés à poursuivre notre bataille contre la drogue mais déjà nous pouvons affirmer que l'Albanie ne sera plus une plaque tournante pour le trafic des stupéfiants", a assuré M. Tahiri.
Selon les rapports de différentes polices étrangères, l'Albanie est depuis des années le principal fournisseur de marijuana en Europe.
(Belga) 
Voir aussi : Cliquez ici & ici

mardi 23 septembre 2014

L'Operation Grow4Vets : donne du cannabis à des centaines d'anciens combattants


L'Opération Grow4Vets, a donné de la marijuana et du cannabis comestibles à des centaines d'anciens combattants dans le Colorado le week-end baptisé Denver Cannabis Givewaway événement.

L'evenement, dans un Quality Inn à Denver ce samedi, était ouvert à tous (21 et plus). Selon la loi du Colorado, les adultes peuvent donner jusqu'à une once (28,34gr) d'herbe à d'autres adultes consentants de plus de 21 ans.


Selon les organisateurs, l'objectif était d'aider les anciens combattants à trouver et essayer les médecines alternatives moins dures que les opiacés que l'Administration des anciens combattants préfère leurs distribuer.

Opération Grow4vets Denver
 «Nous sommes vraiment là pour les aider avec leurs problèmes de santé", a déclaré le fondateur de "Grow4Vets" Roger Martin à KDVR-TV. "Il y a une grande variété de maux ; et tout ce qui implique la douleur."
Voir :
http://kdvr.com/2014/09/20/group-provides-cannabis-to-vets-suffering-from-chronic-pain/

Pour Brian Nance, cela signifie traiter la douleur chronique du dos causées par des blessures subies lors de combats ou d'exercices militaire.

  • "J'ai été séparé de mon peloton pendant un combat , j'ai sauté dans un ravin et je suis tombé d'une hauteur de 40 pieds ( 12mètres ) et j'ai cassé mon dos", a déclaré Nance à KDVR . «Je me sers de cannabis et ça m'a aidé. Si je n'ai pas à prendre une pilule pour 4 à 5 heures et etre dans un etat comatique  , pour moi, le traitement au cannabis me convient très bien."

Bien sûr, l'événement a eu droit à la critique de la foule anti-cannabis. Bob Doyle avec le Colorado ont une approche intelligente de la marijuana (un groupe anti-cannabis avec un nom faussement ambigu) dit qu'il avait peur que de donner aux anciens combattants en stress post-traumatique et que le cannabis peut déclencher l'anxiété pour ces anciens combattants.



Actuellement, l'opération Grow4Vets dit qu'ils ont le financement et assez de cannabis stockés ainsi que des médecins rejoignant leurs cause. Leur objectif est de servir au moins 1000 personnes. Afin d'aider ou de faire un don, visitez le site de Grow4Vets.
Source Internal : cannabis-infos

Read More
Articles plus récents Articles plus anciens Accueil