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dimanche 31 août 2014

[Insolite] Une batterie à base de cannabis ?

Pas un jour ne se passe sans que nous apprenions une nouvelle méthode pour que nos smartphones possèdent une meilleure autonomie. Après la batterie au sable ou la batterie au lithium pur, voici la batterie au chanvre. Oui, oui vous avez bien lu. Explications.

Le critère numéro un dans le choix d’un smartphone par les Français est désormais l’autonomie. Plus personne ne souhaite se trimbaler avec son câble de recharge et chercher des yeux la moindre prise de courant. Certains constructeurs semblent plus concernés que d’autres, en témoignent les diverses publicités Samsung se moquant d’Apple. Pourtant c’est l’ensemble de l’industrie de la téléphonie mobile qui est concernée. Ahh il est loin le temps où nos téléphones tenaient une semaine éloignés de la prise secteur. Il faut dire que nos mobiles sont devenus de véritables couteaux-suisses mais les batteries n’ont pas autant progressé. Les chercheurs planchent pourtant dessus et divers projets sont en cours d’élaboration. Parmi ceux-ci un très étonnant puisque celui-ci reposerait sur des batteries en chanvre.

Une batterie qui se fumera moins vite

Un professeur de l’Université de Clarkson a eu l’idée de remplacer le graphène qui habille les supercondensateurs des batteries par du chanvre. Le chanvre est capable de stocker autant voire plus d’énergie que les solutions actuelles. Bien entendu ce serait du chanvre industriel débarrassé de ses psychotropes, inutile donc de vous imaginer vous approvisionner en batteries ou de les fumer au narguilé. David Mitlin, à l’origine de la découverte, a monté sa propre société Alta qui va continuer de développer cette idée pour peut-être un jour la retrouver sur nos smartphones. Dans tous les cas des solutions devraient être industrialisées et commercialisées prochainement. Reste à savoir laquelle. Voilà qui devrait enfin faire de la téléphonie mobile, une vraie technologie sans fil.
Source :  http://actu.meilleurmobile.com
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samedi 30 août 2014

Les overdoses d’opiacés diminuées d’un quart dans les États américains qui légalisent le cannabis thérapeutique


Le taux annuel d’overdoses d’opiacés est diminué de 25 % dans les États américains qui ont légalisé la consommation de cannabis thérapeutique, selon une étude américaine parue dans le « JAMA Internal Medicine ». Ces résultats suggèrent que l’introduction du cannabis au côté des opiacés dans l’arsenal de lutte contre les douleurs chroniques liées aux cancers ou à la sclérose en plaques limite bien les risques de mésusage d’antalgiques.

Marcus Bachhuber, de l’Université de Pennsylvanie, et ses collègues, sont parvenus à ces conclusions en compilant les données des Centre for Disease Control and prevention américains (CDC) de 50 États. Leurs travaux concernent la décennie écoulée entre 1999 et 2010, période au cours de laquelle le nombre d’États autorisant la prescription de marijuana est passé de 3 (Californie, Oregon et Washington) à 13, 10 autres États ayant adopté une législation similaire depuis la fin de l’étude, dont le District de Columbia. Les États ayant une législation en faveur de la prescription de marijuana, avaient un taux annuel de mortalité par overdose d’opiacé inférieur de 24,8 % par rapport à ceux qui n’avaient pas adopté de telles lois. En outre, cette diminution était d’autant plus importante que la loi était ancienne. Une baisse était également observée dans les états qui n’autorisent pas le cannabis thérapeutique mais qui ont recours à un programme de contrôle des prescriptions d’opiacés.

Le cannabis thérapeutique autorisé dans 23 États sur 50

En 2010, on dénombrait dans les États ayant légalisé la marijuana 1 700 overdoses d’antalgiques opiacés de moins que ce qu’ils auraient connu sans cette nouvelle législation. Les analystes expliquent qu’ils ont pris en compte les efforts de régulation des prescriptions d’opioïdes consentis par les divers États, mais aussi des facteurs sociaux comme les taux de chômage. L’étude précise cependant que 60 % des patients morts d’une overdose récensés dans les bases de données des CDC étaient en possession d’une prescription valide pour des antalgiques opioïdes. « L’adoption de lois autorisant le cannabis thérapeutique ne pourrait rien pour les 40 % restant », concèdent les auteurs.

Les mécanismes derrière cette tendance restent peu clairs et, de l’aveu même des auteurs, il n’est pas encore certain qu’il existe un lien direct de cause à effet entre accès au cannabis médical et risque d’abus d’antalgiques prescrits aux patients. Ils estiment néanmoins que leurs résultats montrent, a minima, l’existence d’un lien, et qu’il faut explorer la manière dont la prescription de marijuana influence le comportement les patients souffrant de douleurs chroniques.

Des lois très hétérogènes

Dans les États américains qui l’autorisent, le cannabis est indiqué dans le traitement symptomatique du cancer et de la sclérose en plaques. Les lois en vigueur dans ces différents États sont très hétérogènes, avec notamment des profils de patients éligibles très divers. Ces différences rendent délicate l’interprétation des résultats publiés dans le « JAMA Internal Medicine ».

« Des lois encadrant la prescription de marijuana médicale constituent une approche prometteuse pour réduire le risque d’accident lié à la prise d’opioïdes », estiment tout de même Marie Hayes de l’université du Maine, et Mark Brown, du centre médical de l’est du Maine, dans un commentaire associé à l’article. Ces deux contributeurs rappellent que « la prescription d’opioïdes aux patients souffrant de douleurs chroniques est problématique. Ils provoquent des effets secondaires quand ils sont utilisés pendant de longues périodes comme l’habituation, l’hyperalgésie ou des complications gastro-intestinales ».

Source : http://www.mensquare.com

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CannaBiz, la nouvelle économie de la fumette

Alors qu'une nouvelle application livrant la weed à domicile a vu le jour à San Francisco, la dépénalisation croissante du cannabis aux États-Unis, à usage thérapeutique ou récréatif, entraine une multiplication de nouveaux services changeant l'herbe en oseille.

Autoproclamé le « Uber du cannabis », Eaze est une nouvelle application lancée à San Francisco le 29 juillet, proposant un service de livraison de ganja à domicile. Selon le site de la star-up, les utilisateurs peuvent recevoir leur achat chez eux en moins de 10 minutes, soit plus rapidement qu’une pizza. Les détenteurs de l’application peuvent également suivre en temps réel l’avancée de leur commande. Les seules conditions pour en bénéficier, pour l’instant, sont d’être résident de San Francisco, et surtout de disposer d’une ordonnance. Car en Californie, seul l’usage médical du cannabis est autorisé. Flairant le bon filon de l’économie légale de la fumette en plein développement, Ezae compte bien s’étendre dans les 20 autres états où le cannabis thérapeutique est autorisé, mais aussi et surtout au Colorado et à Washington, les deux seuls états américains à avoir franchi le cap de la légalisation de l’usage récréatif de la weed.

Une véritable manne pour le Colorado et Washington qui perçoivent des taxes sur le cannabis, un produit aussi réglementé que l’alcool. Le gouvernement du Colorado a ainsi relevé en avril 3,5 millions de dollars (soit 2,6 millions d’euros) liés au commerce du cannabis. Outre le côté industriel de cette économie, qui voit se développer des producteurs à grande échelle, un ensemble de nouveaux services émerge autours du cannabis, dont certains renverraient le bon vieux spliff aux méandres de la ringarditude.

Car tirer sur un joint n’est plus aujourd’hui la seule manière de consommer le chanvre. Désormais, il se cuisine. A Seattle par exemple, la société Magical Butter est à la tête de food trucks où l’on vend toutes sortes de plats assaisonnés à la marijuana. A Denver, 3D Cannabis Center produit des sucreries au THC, tandis que Dixie Elixirs & Edibles, une PME du Colorado, fournit les détaillants en chocolat et autres huile d’olive à la marijuana.

S’envoyer un paquet de biscuits à l’herbe, se rouler un tarp en toute tranquillité … ce genre d’activités attire également un tourisme d’un nouveau genre dans ces états où  légalisation est en œuvre. Des tour operators comme My 420, Green Tours ou Weed Tours l’ont bien compris et proposent depuis peu des circuits shopping adaptés, ou renvoient à de bonnes adresses comme des clubs fumoirs qui fleurissent un peu partout pour contourner l’interdiction de consommer la drogue dans les boutiques.

Alors que le cannabis est toujours interdit au niveau fédéral, le Colorado et Washington représentent deux cas uniques de transition d’une économie noire à une économie légale. Bien conscients d’être au bon moment au bon endroit, les nouveaux investisseurs du cannabusiness présents dans ces deux états ne prennent pas la chose à la légère. Loin du cliché du gros hippy de retour de vacances à Katmandou, ce sont de véritables entrepreneurs, pas toujours eux-mêmes consommateurs, et dont certains se forment même sur les bancs de l’université dans des cours dédiés à ce nouveau secteur.

Face au développement de l’économie du chanvre, de nombreuses voies s’élèvent pour réclamer la légalisation à l’échelle fédérale. Le très sérieux New York Times à comparé dans son éditorial du 27 juillet, l’interdiction actuelle du cannabis à l’époque de la prohibition. Pour le journal, si les effets de la fumette sur le cerveau des ados peut être dangereux, aucune raison en revanche de l’interdire pour les adultes, au même titre que l’alcool ou le tabac. De plus, l’interdiction entraine un coût pour la société, dû aux nombreuses arrestations de détenteurs de marijuanna, sans parler des dérives racistes que cela peut entrainer, alors qu’en revanche, sa légalisation peut rapporter de l’argent, beaucoup d’argent selon le quotidien. Comme dit le sage, « le tabac, c’est tabou, on en viendra tous a bout, la beuh, c’est bien mieux, on en fumera tous un peu ».
Source : http://www.mensquare.com

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Le cannabis est familier pour plus de 42% des jeunes Tchèques


L’Enquête paneuropéenne sur l’alcool et d’autres drogues en milieu scolaire (ESPAD) est réalisée tous les quatre ans depuis 1995 dans près de 40 pays du continent. La République tchèque est en train d’achever son rapport national et comme l’a révélé Ladislav Csèmy du Centre psychiatrique de Prague, on peut constater une légère baisse dans la consommation des drogues, plus particulièrement de la marijuana.

L’enquête ESPAD est réalisée sur la base de questionnaires adressés aux jeunes âgés de 16 ans. Il s’agit à chaque fois de la génération née la même année pour assurer une comparabilité des données à l’échelle européenne. Plus de 5 000 participants tchèques ont répondu pour la dernière fois en 2011 aux questions portant sur leur consommation de l’alcool et de drogues. Interrogé sur les résultats, Ladislav Csèmy commence par les drogues illégales :


« Pour la première fois depuis 1995, nous avons enregistré une baisse de la consommation de la marihuana chez les jeunes âgés de 16 ans. L’usage des autres drogues illégales décroît depuis un peu plus longtemps, il s’agit de l’extasy, de la pervitine, des amphétamines ou de l’héroïne. »

42,3% des jeunes Tchèques interrogés ont plusieurs fois ou régulièrement fumé du cannabis. S’il s’agit d’une légère baisse au niveau national, la République tchèque est toujours largement au-dessus de la moyenne européenne qui est de 17%.

Ladislav Csèmy, photo: Archives du gouvernement tchèqueLadislav Csèmy, photo: Archives du gouvernement tchèque « En ce qui concerne de la marihuana, la situation en Europe est plus ou moins stable. Les fluctuations sont minimes. Il faut se poser la question de comment le cannabis est répandu. Là on voit que c’est à peu près la même situation en République tchèque et en France ou encore en Grande Bretagne. On constate une légère hausse dans les pays baltes. »

En revanche, le taux de consommation de l’alcool reste élevé. 98% des mineurs tchèques disent avoir une expérience avec l’alcool et les trois quarts d’entre eux en ont bu le mois précédent le questionnaire.

« Avec l’alcool, la République tchèque se trouve au sommet du classement européen notamment avec le Danemark. Non seulement les jeunes de 16 ans boivent de l’alcool, mais ils sont aussi nombreux à souffrir des effets de l’addiction. La tendance est toujours à la hausse chez les garçons comme chez les filles mais ces dernières rattrapent les garçons. »

Le questionnaire de l’enquête ESPAD permet également d’en savoir un peu plus sur le profil des usagers des drogues, même si Ladislav Csèmy en reconnaît les limites car il ne peut pas révéler des motivations psychologiques et plus complexes des jeunes :

Photo: Commission européennePhoto: Commission européenne « On constate que les adolescents avec moins d’ambition académique ou qui fréquent les écoles d’apprentissage ont plus de possibilités d’approcher les drogues, ils ont aussi plus de temps. Il semble qu’ils ont davantage tendance à adopter un comportement à risque que leurs collègues des lycées. L’environnement familial joue également son rôle. Les enfants de familles incomplètes ou qui souffre de mauvaises relations humaines sont plus susceptibles d’avoir recours aux drogues dures au-delà de la marihuana. »

Le Centre psychiatrique de Prague prévoit la publication de son rapport national en automne. Il proposera une analyse plus détaillée de la consommation des drogues notamment en fonction des régions et des types d’écoles et il servira de base pour la stratégie nationale de la lutte antidrogue.
Source : http://m.radio.cz

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Un Canada plus riche grâce à la prostitution et au trafic de drogues?


Le Canada est peut-être plus riche que vous ne le croyez... à condition d'inclure les revenus générés par le trafic de drogue et la prostitution dans le Produit intérieur brut (PIB). L'économiste François Delorme explique que le PIB du Canada pourrait augmenter de manière significative si ces revenus étaient pris en compte. 

Le PIB est un indicateur économique qui mesure la totalité de ce qui est produit dans un pays, qu'il s'agisse de biens ou de services. Eurostat, l'institut européen de la statistique, suggère aux États membres de l'Union européenne (UE) d'intégrer la plupart des activités illégales créatrices de richesses (dont le trafic de drogue et la prostitution) dans les statistiques nationales, à partir du mois de septembre. Eurostat estime qu'il s'agit de transactions commerciales menées d'un commun accord, explique Le Monde.

En entrevue à RDI économie, M. Delorme, qui est chargé de cours à l'Université de Sherbrooke, estime que cette mesure risquerait de changer les statistiques nationales de plusieurs pays. À titre d'exemple, en 1987, l'Italie avait décidé d'intégrer les revenus générés par le travail au noir dans son PIB: le résultat a été surprenant. « Du jour au lendemain, en 24 heures, le PIB italien a augmenté de 11 %, et l'Italie a dépassé la Grande-Bretagne comme quatrième économie européenne », explique M. Delorme.

Si la prostitution et la drogue venaient à être intégrées au PIB canadien, il augmenterait de 5 %, c'est-à-dire 7500 $ de plus par famille. « On voit que c'est énorme », dit M. Delorme. Toutefois, les revenus de la drogue et de la prostitution sont difficiles à calculer, explique M. Delorme. « Il faut estimer ces transactions-là », estime l'économiste.

D'autant plus qu'il pense qu'il est peut probable que tous les pays de l'UE puissent finalement inclure les revenus de la drogue et de la prostitution dans le calcul de leur PIB respectif.

La France et l'Allemagne ont déjà indiqué qu'elles y étaient opposées. « Ça ne semble pas bien parti pour fonctionner », dit M. Delorme. La France explique notamment que les revenus provenant de la drogue et de la prostitution ne sont pas générés dans un contexte « consensuelle », ce qui n'en fait pas un secteur économique normal. « Les activités de prostitution, ce n'est pas certain qu'elles soient consensuelles [...] Le trafic de drogue, c'est une dépendance à la drogue qui fait que le marché n'est plus consensuel », constate l'économiste.

Source : http://ici.radio-canada.ca/
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Etats unis : Distribution gratuite de cannabis

Les dispensaires de marijuana thérapeutique de Berkeley, en Californie, sont désormais obligés de fournir gratuitement du cannabis aux patients à faibles revenus et aux sans-abri, pour une somme équivalant à 2 % de leurs ventes sur l’année.

L’ordonnance municipale, votée début juillet, concerne tous les patients ayant des revenus inférieurs à 32 000 dollars par an. “Les dispensaires n’auront pas juste à fourguer leurs restes de mauvais cannabis, fait remarquer The Verge, ils devront distribuer de l’herbe d’aussi bonne qualité qu’aux clients payants.”

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[Insolite] Des pirates volent la valeur de 100.000 $ de Bitcoin sur le site Cannabis road

Le site de la marijuana sur le marché noir "Cannabis Road" a été piraté et volé la semaine dernière. Cannabis Road reste maintenant déconnecté après l'attaque qui a extrait 200 BitCoins, ou un peu plus de 100.000 dollars, selon un récent article par Coindesk .

Ironie du sort, le site Cannabis Road était en train de mettre à niveau son architecture de sécurité lorsque l'attaque a frappé. La sécurité accrue est venu à la suite d'un certain nombre de petites attaques ou tentatives d'attaques, vers le portefeuille en ligne.

Crypto, le pseudo de la personne en charge de cannabis Road, a dit qu'il comprend que la sécurité compromise a nui à l'image du site. Il a dit qu'il sera à la hauteur des utilisateurs de la communauté afin de déterminer si oui ou non le site continuera d'exister.

Malgré les attaques à un site similaire, Silk Road 2.0, Cannabis Road est devenu un foyer pour les transactions de marijuana "illégales". Le sort du site reste à voir dans les prochaines semaines.

Comme il n'est clairement pas un site juridique lui-même, Cannabis Road ne bénéficie pas de la protection comme d'autres sites du marché qui seraient, dans une situation similaire.
en deux mots : dans le uc pour tous quoi :(

Source internal : cannabis-infos
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Le groupe terroriste ISIS incendie des champs de cannabis en Syrie


 Mardi, le groupe Etat islamique, aussi connu comme ISIS, a publié une vidéo montrant ses combattants en train de brûler un champ de marijuana dans une ville, dans le nord de la Syrie.

Le clip montre un champ de marijuana dans la ville de Akhtarin être démoli et incendié pendant que les combattants abattent les plants et les mettent en feu.

Selon le Washington Post, les militants ont pris la ville de l'Armée syrienne libre, un groupe rival des combattants de l'opposition en Syrie.

Les agriculteurs syriens se sont tournés vers la marijuana dans un geste désespéré pour faire de l'argent au milieu de la guerre civile qui met la Syrie dans le chaos le plus total depuis le debut des hostilités.

Les agriculteurs sont venus sous la menace des combattants islamistes radicaux, comme les militants de l'État islamique, qui considèrent les médicaments contre la loi islamique ( ils ont été abattus juste après : voir sur le site YNC )

ISIS est connu pour utiliser des interprétations radicales de la loi islamique et la violence mais surtout la terreur pour prendre le contrôle des zones en Irak et en Syrie. Ils ont interdit l'utilisation de tout dont les cigarettes, l'alcool et la drogue .

 Executions de chretiens en Irak par le groupe terroriste ISIS
 Photo de propagande du groupe
 Execution de masse en Syrie
 Execution arbitraire en Irak


Suite à ces attaques, l'Organisation des Nations Unies a publié une commission mercredi en déclarant que "toute attaque systématique contre la population civile» du groupe peut être défini comme "crimes contre l'humanité."  








Source internal : cannabis-infos

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vendredi 29 août 2014

Le soutien au cannabis médical grandit en Australie

Un rapide regard autour du monde entier montre que les États-Unis ne sont pas les seuls dans leurs lutte contre la prohibition de la marijuana. The Age, un journal australien, a rapporté sur son site Web dimanche que la poussée pour la marijuana médicale s'accélère dans tout le pays.

Le rapport vient d'après Daniel Andrews, le chef du Parti travailliste à Victoria,il a promis que son parti demandera le vote sur la "prescription, la fabrication et la distribution" de marijuana médicale dès son arrivée au pouvoir. Comme c'est souvent le cas, le parti qui tiens les promesses est souvent dans l'opposition. Pourtant, Andrews semble passionné par le sujet :

    "Dans certains cas, les parents sont obligés de choisir entre violer la loi et à regarder leur enfant souffrir", a déclaré M. Andrews.

    «Les enfants sont dans la douleur, les familles souffrent, les gens vivent dans la peur, et les lois sont devenues obsolètes concernant la marijuana."

The Age rapporte qu'un groupe "multipartite" des législateurs travaillent à adopter une loi qui permettrait à l'huile de cannabis d'etre associée dans les traitements. Le législateur du Queensland, Warren Entsch, a déclaré au journal qu'il est opposé à la marijuana récréative, mais soutient l'usage médical.

    "Je déteste voir des gens étiquetés comme des criminels parce que nous n'avons pas la possibilité de reconnaître les effets positifs et scientifiquement prouvés de cette substance naturelle," .

La mise à jour permet de souligner non seulement que la guerre contre l'interdiction est un événement mondial, mais que les progrès dans un domaine peut commencer à être vu par les opposants au cannabis dans le du monde.
Source Internal : cannabis-infos

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How High 2 is coming ???


Method Man a déclaré que le scénario du film « How High 2 » produit par Universal, est en processus d’écriture.

En effet, l’acteur et rappeur a révélé qu’ils attendent actuellement que Dustin Lee Abraham leur fournisse le scénario. Method Man a expliqué : « En ce moment mon homme Dustin Lee Abraham, qui a écrit le premier scénario, nous sommes actuellement dans l’attente pour qu’il écrive le deuxième. Si c’est assez bon, nous nous précipiterons dessus. »



Le rappeur a même encouragé une pétition si les fans veulent avoir une suite de « How High ». Il a déclaré : « Si Universal se retire le balais du c**. Il y a beaucoup de gens qui veulent voir ce film. En fait, les gars vous devriez lancer une pétition. Qui veut voir ‘How High 2’ ? »
Method Man a déclaré que le scénario du film « How High 2 » produit par Universal, est en processus d’écriture.

En effet, l’acteur et rappeur a révélé qu’ils attendent actuellement que Dustin Lee Abraham leur fournisse le scénario. Method Man a expliqué : « En ce moment mon homme Dustin Lee Abraham, qui a écrit le premier scénario, nous sommes actuellement dans l’attente pour qu’il écrive le deuxième. Si c’est assez bon, nous nous précipiterons dessus. »

Le rappeur a même encouragé une pétition si les fans veulent avoir une suite de « How High ». Il a déclaré : « Si Universal se retire le balais du c**. Il y a beaucoup de gens qui veulent voir ce film. En fait, les gars vous devriez lancer une pétition. Qui veut voir ‘How High 2’ ? »
Source: http://www.2kmusic.com/fr/rapus/news/method-man-veut-lancer-une-petition-pour-how-high-2/576519
Method Man a déclaré que le scénario du film « How High 2 » produit par Universal, est en processus d’écriture.

En effet, l’acteur et rappeur a révélé qu’ils attendent actuellement que Dustin Lee Abraham leur fournisse le scénario. Method Man a expliqué : « En ce moment mon homme Dustin Lee Abraham, qui a écrit le premier scénario, nous sommes actuellement dans l’attente pour qu’il écrive le deuxième. Si c’est assez bon, nous nous précipiterons dessus. »

Le rappeur a même encouragé une pétition si les fans veulent avoir une suite de « How High ». Il a déclaré : « Si Universal se retire le balais du c**. Il y a beaucoup de gens qui veulent voir ce film.

Voir ici : 
                 http://redmansworld.com/

Le THC peut aider à prévenir la croissance de la maladie d'Alzheimer

Une nouvelle étude montre que de faibles doses de THC peuvent aider à réduire et même interdire la croissance des composés de bêta-amyloïde dans le cerveau ; l'un des éléments clés de la perte de mémoire chez les patients atteints de la maladie d'Alzheimer.

L'étude pourrait représenter une percée majeure dans le traitement de la maladie, un état horrible qui touche plus de 5 millions de personnes qui les prive de leurs souvenirs avec leur capacité à prendre soin d'eux-mêmes. La maladie d'Alzheimer affecte le cerveau à travers l'accumulation de plaques par l'intermédiaire d'acides aminés, connus sous le nom d'amyloïde bêta. le THC , paraît-il,pourrait aider à arrêter l'accumulation de ces plaques.

"les Niveaux diminués de bêta-amyloïde signifie moins d'agrégation,et qui peut protéger contre la progression de la maladie d'Alzheimer. le THC est un inhibiteur de l'amyloïde naturel et relativement sûr, le THC ou ses analogues peut nous aider à développer un traitement efficace à l'avenir,"Affirme Le neuroscientifique Chuanhai Cao , doctorat à l'Institut de la Byrd Alzheimer's à l'Université de Floride.

L'étude a également montré que le THC augmente l'activité du cerveau et de la transmission dans des domaines clés, y compris ceux liés à la conservation du cerveau à fonctionner correctement. Les chercheurs disent qu'ils savaient au sujet des propriétés antioxydantes du THC avant, mais c'est la première fois qu'ils ont été en mesure de démontrer que le THC abaissait les acides aminés formant des plaques associées à la maladie d'Alzheimer .

Non seulement cela, les chercheurs disent que les effets négatifs de la consommation de cannabis, comme la perte de mémoire ou «toxicité» sont largement compensés par les avantages des traitements en THC pour les personnes ayant la maladie d'Alzheimer.

La Byrd Alzheimer déclare :

  • «Préconisons nous que les gens utilisent des drogues illicites pour prévenir la maladie ? Non, mais ces résultats pourraient mener au développement de composés apparentés qui sont sécuritaires, juridiques et utile dans le traitement de la maladie d'Alzheimer."

A suivre ..........

Source Internal : cannabis-infos

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Un politicien pose à côté d'un plant de cannabis


 Le coprésident des Verts allemands a confirmé qu'il avait bien posé à côté d'un plant de cannabis alors qu'il relevait un «Ice Bucket Challenge».

Cem Özdemir a avoué jeudi qu'il avait bien posé à côté d'un plant de cannabis pour une vidéo diffusée sur internet et les réseaux sociaux afin de délivrer «un message politique» en faveur de la légalisation de cette drogue. «Oui, c'est bien du chanvre», a indiqué le responsable politique à différents journaux. «Il faut comprendre (cette vidéo) comme un message politique en douceur» pour la légalisation du cannabis, a-t-il ajouté. «Dans une société libre ce devrait être au citoyen de décider par lui-même s'il souhaite consommer du cannabis et prendre les risques inhérents», a précisé l'homme politique.

Cem Özdemir, qui copréside le parti écologiste allemand depuis près de six ans, fait d'une pierre deux coups, avec cette petite vidéo. Elle a été en effet tournée dans le cadre du «Ice Bucket Challenge», une opération qui fait des milliers d'émules sur les réseaux sociaux actuellement et qui consiste à se faire filmer en train de se verser sur la tête un saut d'eau glacée ou des glaçons.

Tout sourire

Le but de ces petites vidéos qui foisonnent notamment sur Facebook est d'attirer l'attention sur la sclérose latérale amyotrophique (SLA), également appelée maladie de Charcot, et de récolter des fonds pour le recherche sur cette maladie neurodégénérative.

Le petit film de M. Özdemir le montre sur un balcon berlinois, à côté d'un plan de cannabis, se saisissant d'un saut rouge rempli d'eau qu'il se verse, tout sourire, sur la tête.
Sur internet, l'opération rencontre un succès d'autant plus considérable que chaque participant lance un défi à trois autres personnes de son choix pour qu'elle réalise la même vidéo.
Source : http://www.20min.ch/




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jeudi 28 août 2014

Espagne : La Catalogne légalisera bien le cannabis médical

L'Espagne a une dynamique fulgurante , passant au devant de la scène cannabis Europeenne avec un programme de "Cannabis Social Clubs" (CCM). Mais malgré le laxisme sur la marijuana ainsi que les lois du pays (il est dépénalisé), ces clubs qui prolifèrent principalement sur Barcelone,ont tendance a fonctionner en vase clos.

Donc, pour lutter contre cette croissance fulgurante et le phénomène sectaire qui en découle, la région de Catalogne (dont Barcelone est en dehors de la ville) ira de l'avant en légalisant purement et simplement la marijuana médicale . Les fonctionnaires de Catalogne sont actuellement en train de mettre au point des règles et règlements pour la région, mais inévitablement de délocaliser et favoriser l'accès au cannabis médical a toute la Catalogne.

Le raisonnement derrière la décision de la Catalogne de légaliser sont les suivantes :

  •     Comme indiqué précédemment, la région veut freiner l'explosion des cannabis club, et freiner l'afflux massif de touristes et les nuisances dans la ville de Barcelone .
  •     Donc, les patients pourront effectivement acheter leurs médicaments dans des dispensaires ( basés sur le système Américain ) sans spécialement entrer dans un cannabis social club.
  •     Pour s'assurer que les cannabis social clubs n'ont pas de monopole afin d'éviter et d'enrayer le develloppement de type "mafieux" sur l'approvisionnement de cannabis de type "médical" et non de type de "loisir"
La mesure dans laquelle les ordonnances seront remis n'est pas clair, mais ceux qui ont des maladies graves comme le sida et le cancer sera prescrit un cannabis espagnol. Il est également très clair que cette mise en œuvre pourrait signifier pour les clubs sociaux, un nouveau controle de l'etat sur leurs approvisionement ainsi que des normes plus strictes sur le cannabis médical .

Nous y reviendrons prochainement des que nous avons plus d'informations.

Source Internal : cannabis-infos

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Cannabis au volant : comment les fumeurs vont en baver


Le ministère de l'Intérieur veut frapper un grand coup contre le cannabis au volant : un nouveau dispositif de tests salivaires, plus rapide et moins coûteux, doit être expérimenté d'ici la fin de l'année en France.

Après le traditionnel "soufflez dans le ballon", les conducteurs auront bientôt droit à un "ouvrez grand la bouche". D'ici la fin de l'année, en effet, une nouvelle méthode de contrôle anti-stupéfiants sera expérimentée dans plusieurs départements de France, a annoncé jeudi le délégué interministériel à la sécurité routière, Jean-Robert Lopez. Plus simple, plus rapide et moins coûteuse, elle devrait être à terme généralisée sur le territoire.

Le dispositif actuel de test salivaire est en effet contraignant : la police effectue un premier dépistage sur le conducteur. Si ce dernier est positif, les forces de l'ordre doivent alors l'accompagner jusqu'à un hôpital afin de faire un prélèvement sanguin, qui confirme ou infirme la présence de stupéfiants. Problème : ce dispositif est coûteux (environ 50 euros par prise de sang) et chronophage : "Les forces de l’ordre suspendent leurs opérations de contrôle sur d'autres automobilistes pour escorter la personne à l’hôpital, faire sa prise de sang puis revenir", nous explique la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca).

"Fumer une heure ou deux jours avant de conduire, c'est pareil"

Désormais, l'analyse se fera intégralement au bord de la route : si le premier test salivaire est positif, les forces de l'ordre procéderont à un deuxième test salivaire qui sera envoyé directement au laboratoire. "Une économie de temps, de moyens humains et financiers", résume la Mildeca, qui permettra de multiplier les tests. L'an dernier, sur 144.000 dépistages pratiqués, environ 47.000 (33%) se sont révélés positifs. C'est beaucoup plus qu'en 2012 (16.300 condamnations), mais dix fois moins que l'alcool, testé de façon plus régulière.

En donnant un coup d'accélérateur dans la lutte contre le cannabis au volant, le ministère de l'Intérieur espère faire baisser significativement la mortalité routière. En 2013, 23% des conducteurs impliqués dans des accidents mortels présentaient des traces de stupéfiants dans le sang. "Cannabis et volant font très mauvais ménage, nous assure Laurent Karila. Il multiplie par 1,8 les chances d'avoir un accident (contre 8,5 pour l'alcool, ndlr)". Le médecin, vice-président de SOS addictions, espère que la généralisation des tests anti-cannabis "aura le même effet dissuasif que les contrôles d’alcoolémie" et "sensibilisera les consommateurs aux dangers de la conduite avec du cannabis". "Avec ces tests salivaires qui viennent simplifier la donne, on va pouvoir procéder à des contrôles ciblés qui permettront assurément de faire baisser la courbe de l’accidentalité", se réjouit de son côté l'association "40 millions d'automobilistes".

Les jeunes sont la cible prioritaire de cette mesure. En effet, selon le Bilan 2012 de la sécurité routière en France, 50% des conducteurs sanctionnés pour conduite sous l’emprise de stupéfiants ont moins de 25 ans. A noter également que les hommes représentent 96% des fumeurs de cannabis au volant. Ces derniers s'exposent à des sanctions sévères : "2 ans d'emprisonnement, 4.500 euros d'amende et six points de permis", nous détaille la Mildeca. Et "peu importe si le joint a été fumé deux jours ou deux heures avant", poursuit-on au ministère : "Au regard de la loi, si le test est positif, il s'agit de la même infraction". De quoi en dissuader plus d'un.

Difficile d'y échapper !

  • Ce nouveau dispositif, qui se base sur des tests salivaires, n'est pas fiable à 100%. "La marge d'erreur est d'environ 10%", nous explique le Dr Laurent Karila, addictologue. Toutefois, il est difficile de le tromper. "Le cannabis reste quatre à six semaines dans le corps. Quelqu'un qui a fumé un joint avant de prendre sa voiture va donc forcément être repéré", assure le médecin. Profitant de cette faille, les fumeurs occasionnels, qui voudraient se débarrasser des résidus présents dans la salive, s'échangent déjà des astuces : bonbons à la menthe, bains de bouches... Leur efficacité n'a toutefois pas encore été prouvée. Quant aux fumeurs "passifs", ils ne doivent pas s'inquiéter : ils seront en dessous du seuil recherché lors de l'analyse.
Source :  http://www.metronews.fr

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Uruguay: les premiers producteurs de cannabis enregistrés

Une dizaine d'Uruguayens ont commencé mercredi à s'inscrire comme producteurs de cannabis, alors que le pays est devenu fin 2013 le premier au monde à légaliser la culture et la vente de marijuana sous le contrôle de l'État.

«Premier producteur domestique de cannabis enregistré dans la ville de Fray Bentos. Hey, monsieur le policier, qu'en dis-tu?», se réjouissait un jeune sur Facebook, montrant une photo de son certificat d'inscription.

En milieu de journée mercredi, premier jour de fonctionnement du registre, dix personnes s'étaient déjà inscrites, dont trois dans la capitale, Montevideo, et sept dans l'intérieur du pays, a annoncé l'Institut de régulation et de contrôle du cannabis (IRCCA) dans un communiqué.

L'inscription est sans coût et ouverte à tous (Uruguayens, ou détenteurs de la résidence permanente, et majeurs), sur présentation d'une pièce d'identité et d'un justificatif de domicile.

L'IRCCA a ensuite 30 jours pour la valider.
Protection de l'État

L'identité des producteurs étant considérée comme «une donnée sensible», elle sera protégée par l'État, a assuré l'organisme.

La loi prévoit que chaque foyer, peu importe sa taille, ne pourra cultiver plus de six plants de cannabis, ce qui équivaut à une limite annuelle de production de 480 grammes.

«Pour moi, être enregistré, ce n'est pas une discrimination, c'est une reconnaissance», a déclaré aux médias locaux Juan Vaz, porte-parole de l'Association d'études du cannabis en Uruguay (Aecu) et premier à s'inscrire à Montevideo.

Dans un pays où la consommation du cannabis était jusqu'à présent légale, mais pas sa production, les petits cultivateurs se sont multipliés ces dernières années, mais en cachette: selon Aecu, ils seraient 30 000 à 40 000 aujourd'hui.

L'Uruguay est devenu en décembre 2013 l'unique pays au monde à légaliser la culture et la vente de marijuana sous le contrôle de l'État.

En vertu de cette loi, l'État supervise toute la chaîne de production, de l'importation des semences à l'enregistrement des consommateurs, en passant par la culture et la vente en pharmacie.

La loi prévoit trois modes d'accès au produit, l'usager préalablement inscrit sur un registre national (toujours inexistant à ce jour) pouvant au choix se fournir en pharmacie, cultiver à son domicile ou s'inscrire dans un club de consommateurs.

Mise en vente


La mise en vente au public est attendue pour début 2015.

Selon des évaluations officielles, la production annuelle devrait s'élever à terme à une vingtaine de tonnes de cannabis, pour satisfaire la demande d'environ 150 000 consommateurs pour 3,3 millions d'habitants.

Parallèlement à la culture à domicile, l'État prévoit une production de cannabis sur un terrain public, dont la récolte sera destinée à la vente légale aux consommateurs, dans la limite de 40 grammes par mois.

Il a lancé un appel d'offres à cet effet, clôturé le 18 août et dont les candidats devraient être connus ce jeudi.

Enfin, d'ici une dizaine de jours, l'IRCCA commencera l'enregistrement des clubs de consommateurs, qui pourront avoir entre 15 et 45 membres et qui seront également soumis à des limites de production.

Une demi-douzaine de clubs ont déjà entamé les démarches légales pour se transformer en associations, condition qui leur permettra de s'inscrire au registre officiel.

Source internal : http://fr.canoe.ca

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Les soldats israéliens peuvent fumer la marijuana médicale en cours de service

L'Israël s'est imposé comme un leader à la pointe de la marijuana médicale. Avec un programme médical solide comme le roc de renommée mondiale , comme la découverte par des médecin israélien du CDB a longtemps consolidé la nation du Moyen-Orient comme un foyer de recherche de la marijuana médicale.

La semaine dernière, l' .

Tant qu'un soldat israélien a sa carte de marijuana médicale, il ou elle peut se soigner tout en servant le service actif , comme tout militaires d'Israël tant qu'il ou elle est dans un environnement isolé.

Aucun médias grand public à retracé cette nouvelle étonnante , si on ne sait pas exactement comment à été conclut ce rapport , mais les faits sont la.

Et si c'est le cas, c'est une étape importante pour la façon dont les pays pourraient (et devraient au moins) suivre le traitement et la consommation de cannabis de leurs soldats.

De nombreuses études ont montré que la marijuana traite efficacement les SSPT ( maladies post traumatique )  et aide a combattre stress en temps de guerre. C'est immoral de ne pas permettre aux soldats d'utiliser le médicament qu'ils ont légalement obtenu, que cette armée soit israélienne ou américaine ou de n'importe qu'elle nation.

Parce que peu importe comment vous vous sentez au sujet des affaires étrangères ainsi que la politique d'Israël controversées avec la Palestine, si vous soutenez la réforme de la marijuana, vous pouvez et devriez féliciter cet effort de laisser les soldats obtenir leurs automédication librement.

Pendant ce temps, en Uruguay, les employés peuvent légalement se rendre au travail en ayant fumés avant de s'y rendre ou pendant les heures de pauses.

C'est l'avenir, et cet avenir, sera de fumer de la marijuana librement, et meme dans les endroits qu'il etait difficile de s'imaginer avant.

Source internal :
cannabis-infos

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Seau de Buds pour B-Real ( Cypress Hill )

Le Seau Ice Challenge a passée à la casserole. Alors que nous avons déjà vu le "Ice Bong Challenge" , B-Real de Cypress Hill a maintenant apporté sa touche habile sur la collecte de fonds de la SLA.
Citant l'horrible sécheresse en Californie, B-Real, un activiste majeur de la marijuana, décide de mettre des buds dans son seau à la place de l'eau glacée pour le défi. 
 
Après la douche de Buds, B-Real désigne ensuite quelques weeders Celebrities de suivre cet exemple:
  • "Snoop Dogg, Willie Nelson, Woody Harrelson - vous avez 24 heures pour accepter."

Source Internal : cannabis-infos

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mercredi 27 août 2014

Fumer du cannabis en couple limiterait les violences conjugales



Les couples mariés qui fument régulièrement du cannabis ensemble ont moins de chances d’être concernés par les violences conjugales que les autres. L’affirmation est très sérieuse ; elle est donnée par des chercheurs des universités Yale, de Buffalo et Rutgers dans une étude publiée par la revue scientifique Psychology of Addictive Behaviors et reprise par le quotidien britannique The Independent mercredi 27 août.

Les douze auteurs de l’étude ont suivi 634 couples durant neuf ans, en leur soumettant à échéances régulières des questionnaires sur leur consommation de drogue et d’alcool, et sur les violences dont ils auraient pu être victimes de la part de leur partenaire au fil de leur mariage. Et la corrélation entre cannabis et non-violence serait très nette : plus le couple fume des joints, moins il se bat. Un mari et sa femme qui consomment du cannabis ensemble trois fois ou plus chaque mois sont d’ailleurs ceux qui ont rapporté le plus faible nombre de cas de violences.

Les auteurs restent néanmoins prudents sur le facteur de causalité, l’étude ne permettant pas de savoir si la marijuana permet de réduire la violence au moment précis de sa consommation. D’autres facteurs pourraient entrer en jeu, selon l’un des chercheurs : « Il est possible par exemple que (…) les couples qui utilisent de la marijuana ensemble puissent partager des valeurs similaires et un même cercle social et que ce soit cette similarité qui soit responsable de la faible probabilité de conflits. »
L’étude suggère néanmoins que les consommateurs réguliers de cannabis font preuve « de réactions émotionnelles émoussées face à un stimuli de menace », ce qui pourrait aussi réduire le risque de comportements violents.
Source :  http://bigbrowser.blog.lemonde.fr

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Suite a la légalisation dans le Colorado , les prix de l'immobilier on doublés voir triplés


 Lorsque vous légaliser la marijuana, la demande en cannabis n'est pas la seule chose à augmenter. La demande de places pour dévellopper son commerce a également sensiblement augmenté.

Trouver l'immobilier dans et autour de la région de Denver pour la culture n'a jamais été une tâche facile, mais maintenant, il est encore plus difficile et plus coûteux à l'achat d'un entrepôt industriel pour votre culture de marijuana.

Jason Thomas de Avalon Realty Davisors, ont se sont récemment assis avec nos amis de Ladybud pour discuter a quel point le prix de l'immobilier commercial a augmenter.

  •     "Depuis Janvier 2014, les prix de l'immobilier industriels à la vente et à la location ont augmenté de deux à trois fois ou plus. Ces propriétés sont généralement construites à partir des années 1940 à 1970 et généralement  se louent pour environ 5,00 $ par metre carré, maintenant les prix sont triples et se vendent ou se louent pour $ 40.00 55,00 $ par metre carré pour les entreprises ordinaires. En raison de la demande incroyable et un manque de propriétés bien situées, ces mêmes propriétés sont maintenant loués de 12,00 $ à 14,00 $ par pied carré,et se vendent dans la gamme 80,00 $ par pied carré ». [ LadyBud.com ]

 Alors que l'industrie continue de croître et de se légitimer, le prix de départ ainsi que le développement d'une entreprise de marijuana augmentera en consequence. Et quand Denver est le foyer de la légalisation de la marijuana dans le Colorado, cet effet se fera intensement ressentir.

Lorsque votre état ou pays légalise, ses propres prix de l'immobilier commerciaux seront probablement plus élevées.

Source Internal : cannabis-infos

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Sarah Silverman dévoile son vaporisateur sur le tapis rouge des Emmy

Sarah Silverman a remporté le spectacle avant même d'avoir commencé la soirée des Emmy Award. Un directeur de production à E! à pensé que ce serait une bonne idée de demander à des célébrités de ce qu'ils avaient dans leurs sacs à main sur le tapis rouge.

Avec Sarah Silverman, il n'as pas été déçu. Elle a sorti son vaporisateur (qui ressemble à une variété de stylos Liquid Gold) et précise que :

  •  Ceci est mon cannabis. Et voici mon vaporisateur.. 
De Whoopi Goldberg à Susan Sarandon et maintenant Sarah Silverman, il devient tout à fait clair que les célébritées à Hollywood soutiennent le cannabis et ne s'en cachent pas.


Source Internal : cannabis-infos

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Vague de violences record au Mexique dues aux cartels de la drogue

Fosses communes, fusillades collectives: le Mexique est frappé depuis plusieurs semaines par une vague de violences record. Les cartels de la drogue qui s'affrontent pour le contrôle du trafic vers les Etats-Unis ont tué plus de 28.000 personnes depuis quatre ans. Et selon les experts, les violences devraient continuer.

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Le vernis à ongles qui détecte la drogue du violeur : bientôt disponible près de chez vous ?

Si ça ce n’est pas de l’innovation : un vernis à ongles qui change de couleur quand vous le trempez dans un verre qui contient du GHB, du Xanax ou du Rohypnol, toutes les drogues principales utilisées par les violeurs. Encore plus remarquable ? Cette merveille de style scientifique est en cours d'élaboration par un groupe de quatre étudiants.
Eh oui l'équipe derrière ce produit sont quatre mecs : Ankesh Madan, Stephan Gray, Tasso Von Windheim et Tyler Confrey-Maloney, ils sont en dernière année à l’université d'État de Caroline du Nord. Entre tous leurs devoirs, leurs partiels et les diners de pizza, ce quatuor a créé Undercover Colors, la première "entreprise de mode qui prévient les agressions sexuelles."

  • Donc, qu’est-ce qui a incité la création d’une telle entreprise ? Selon la page Facebook de Undercover Colors :
 Aux États-Unis, 18% des femmes seront agressées sexuellement au cours de leur vie. C'est près d'une femme sur cinq dans notre pays. Nous ne savons peut-être pas qui sont ces femmes, mais ces femmes ne sont pas sans visage. Elles sont nos filles, elles sont nos petites amies, et nos amies.

Alors que les drogues du viol sont souvent utilisées pour faciliter une agression sexuelle, très peu de science existe pour leur détection. Notre objectif est d'inventer des technologies qui permettent aux femmes de se protéger contre ce crime odieux et omniprésent.

C’est un concept intéressant, et bien sûr nous sommes séduites par n’importe quelle idée qui pourrait aider à combattre les agressions sexuelles. Et bien sûr nous voulons supporter des mecs qui a) ont conscience de la culture du viol et b) qui sacrifient leur temps passé en beer pong ou sur Netflix pour créer ce type de produit.

Les entrepreneurs ont également dit qu’ils « espèrent dissuader, les potentiels prédateurs, de piéger les verres des femmes parce-que maintenant il y a le risque qu’ils se fassent attraper. Ainsi, nous voulons transmettre faire passer la peur des victimes aux prédateurs. »

  • Clairement ces étudiants veulent bien faire mais…

Est-ce que le vernis à ongle est vraiment la solution ?

Bien que la détection de drogues du viol serait un outil incroyable; et si ce petit vernis à ongles induisait une remise en cause des victimes ? Et si cela menait à des interrogatoires devant les tribunaux incluant des questions sur ce qu’elles portaient, pourquoi elles buvaient, pourquoi elles ne portaient pas le vernis à ongles etc Une partie de nous ne peut s'empêcher de souhaiter que ces étudiants aient utilisé tout le temps et l'énergie qu'ils ont investi dans le vernis à ongles, dans la discussion sur la question de l'agression sexuelle.


Peut-être que nous sommes rabat joie. Mais là encore, il est difficile de ne pas l’être quand les nouvelles de cette semaines sont : un officier de police, violeur en série qui a agressé sexuellement plusieurs femmes. Et puis il y avait le serial violeur qui a utilisé des sites de rencontre pour trouver des femmes, se sentant sûr de lui pensant qu'elles n'iraient pas voir la police étant donné la honte que la situation pouvait provoquer. Ou encore le violeur condamné, Steubenville, qui joue à nouveau au football. . .

Où voulons- nous en venir ?  L'agression sexuelle est un problème important dans notre société. Et étant donné que 97% des violeurs n’ont jamais passé une journée en prison, eh bien, le système de justice pénale est clairement inefficace. Donc, nous apprécions les efforts, les gars, et nous pensons que votre invention est cool. Mais il va falloir beaucoup plus que du vernis à ongles pour réparer ce qui est cassé dans notre culture sur cette question.
Source : http://www.ravishly.com/

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mardi 26 août 2014

Le Weed Bus Permet de fumer tranquillement sans risquer des problemes avec la loi

Bien que l'achat de la marijuana est légale dans l'État de Washington , la consommation des drogues en public est toujours contraire à la loi.Le Weed Bus propose à sa clientèle la possibilité de faire un tour et prendre de la hauteur contre le processus de loi, à ce que les organisateurs prétendent est un cadre juridique. Pendant ce temps, les fonctionnaires de l'Etat mettent en garde la société qu'ils enfreignent la loi.

Source internal : cannabis-infos

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Florent Pagny : le cannabis lui fait perdre la mémoire


Florent Pagny s’est confié dans une longue interview sur France Info. Le chanteur, juré de l’émission The Voice sur TF1, a notamment évoqué la drogue, et plus précisément la consommation de cannabis. « Cela peut être le gros handicap de fumer du chanvre, parce que cela zappe un peu la mémoire », reconnait-il. 

Mais la consommation de chanvre (feuille de cannabis) a aussi permis à Florent Pagny de trouver plus de sérénité : « Je crois que finalement c'est ce qui a résolu mon problème de nerfs. J'étais un môme hyper nerveux et j'ai fumé très tard, une fois formé. » Dans l’interview, le faiseur de tubes (« Savoir aimer », « Ma Liberté de penser », « Là où je t'emmènerai »…) évoque également son dernier album, intitulé « Vieillir avec toi » : « Vieillir me va bien. C'est le portrait qui m'a décidé à prendre ce titre-là parce que j'assume ma tête comme elle est, je vieillis bien. »

« JE NE SUIS PAS BON, JE N'ÉCRIS PAS BIEN »

Florent Pagny était sur le point de faire une pause de plusieurs années, mais Calogero l’a convaincu de faire de nouvel opus : « Je n'avais jamais fait un album avec un seul compositeur. Donc, soit il était capable de m'apporter tout un album qui me convainc soit je faisais mon break. C'est l'album qui a gagné. » Le chanteur a également expliqué avec franchise pourquoi il n’écrivait pas souvent les textes de ses chansons : « Je ne suis pas bon, je n'écris pas bien. Je peux avoir des idées mais je n'ai pas une bonne plume. Il y a des mecs qui sont nés pour faire ça et moi je suis né pour chanter. » Concernant le titre « Ma liberté de penser », l’histoire est fortement inspirée de son vécu : « La saisie a fait qu'ils sont rentrés chez moi, ils ont pris mes meubles et les ont vendus. Mais je me suis organisé pour racheter mes meubles. C'est Pascal Obispo qui a racheté mes meubles et derrière il était tellement sidéré de ce qu'il se passait qu'il a appelé Lionel Florence, lui a raconté l'histoire et Lionel a écrit ces paroles. »


par

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Marijuana médicale : une entreprise de Moncton a du succès en bourse

L'entreprise de production de marijuana médicale OrganiGram a fait son entrée à la bourse de Toronto lundi. La valeur de l'action a plus que doublé en une seule journée, passant de 0,85 $ à 1,94 $.

OrganiGram a effectué sa première livraison de marijuana médicale lundi, à un client en Nouvelle-Écosse. La première récolte a eu lieu le mois dernier.

L'entreprise a actuellement une capacité de production de 700 kilos par année, mais s'attend à atteindre une capacité de 5000 kilos avant la fin de l'année, selon Denis Arsenault, chef de la direction à OrganiGram.

L'arrivée en bourse d'OrganiGram signifie que 3 des 13 entreprises canadiennes à avoir reçu le permis de Santé Canada pour vendre de la marijuana médicale sont maintenant publiques.

L'entreprise de production de marijuana médicale Bedrocan, de Toronto, a aussi fait son entrée en bourse lundi. L'action était évaluée à 1,20 $. L'entreprise Tweed Marijuana inc. a été la première à faire son entrée en bourse en avril.

L'industrie canadienne de la marijuana médicale devrait générer 1,3 milliard de dollars en une décennie. La valeur de l'action d'OrganiGram devrait, pour sa part, atteindre 100 millions, selon Khurram Malik, analyste pour la firme Jacob Securities.

OrganiGram exploite une usine de 20 000 pieds carrés à Moncton. Son PDG, Jim Laffoley, estime que l'entreprise pourrait devenir trois fois plus grande en trois ans, selon la demande.

Source : http://ici.radio-canada.ca/

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Le cannabis thérapeutique réduit les décès par overdose de médicaments

Une étude américaine suggère que la prescription du cannabis à usage médical pourrait limiter le nombre de décès liés aux overdoses de pilules antidouleur. 

Outre l’effet euphorisant et planant que peut procurer la consommation du cannabis, celle-ci peut aussi être utilisée à des fins médicales. Aux USA, une dizaine d’états l’autorisent à cet effet. Et dans ces états, les décès liés à une overdose de médicaments antidouleur sont moins importants que dans ceux qui l’interdisent. C’est ce qu’une récente étude publiée dans JAMA Internal Medicine révèle.

Une diminution de 25 %
Des chercheurs de Philadelphie ont étudié les données de certificats de décès recueillis par le Centre de contrôle de prévention de maladies des Etats-Unis. Ils ont constaté qu’entre 1999 et 2010, le nombre de décès par overdose aux analgésiques opioïdes dans les états interdisant l’usage médical du cannabis avait considérablement augmenté. En revanche, les dix états qui l'autorisent enregistrent une dimution de 25 %. « Les patients souffrant de douleurs chroniques pourraient donc avoir recours totalement ou partiellement au cannabis médical pour les traiter, plutôt que de prendre ces pilules qui peuvent provoquer une forte addiction », conclut le Pr Colleen L.Barry, l’un des auteurs de l’étude.

Vertus thérapeutiques
Même surdosé, le cannabis présenterait moins de danger que l'excès de médicaments. Il peut, certes,  entraîner également une addiction et être à l’origine de manifestations délirantes ainsi que d’une accélération du rythme cardiaque mais sans gravité et sans provoquer de décès. Son usage médical implique, en effet, de le consommer sous une forme non fumée, en tisane par exemple, ce qui exclut les risques d’overdose.
Composés de puissantes substances comme la codéine ou la morphine, les analgésiques opioïdes sont plus à risque d’addiction. Une prise régulière de ces pilules dépassant les prescriptions de l’ordonnance peut avoir des conséquences très lourdes : dépression, addiction, mort par dépression respiratoire ou overdose.

Des études antérieures ont déjà alerté sur le fléau d’addiction et de surdosage de ces médicaments aux Etats-Unis, en Afrique du Nord et en Europe. En 2013, une équipe de scientifiques new-yorkais indiquent que les décès liés aux overdoses d’analgésiques s’est multiplié par 7 en l’espace de 15 ans.
Source : http://www.pourquoidocteur.fr

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La consommation de cannabis chez les adolescents diminue après la légalisation

Il semble que les lycéens du Colorado ne soient pas tous des fumeurs après tout : la consommation de cannabis chez les adolescents diminue après la légalisation. 

Après être passé par ce que beaucoup appelleraient un sommet, il apparaît évident désormais que la consommation de cannabis chez les lycéens du Colorado décline. En tant que l'un des premiers endroits au monde à légaliser le cannabis à but récréatif, le Colorado est à présent observé de près par les soutiens comme les opposants au cannabis.

Une déclaration de presse distribuée récemment par le Colorado Department of Public Health and Environment déclare : « selon les données préliminaires de l'enquête bisannuelle sur la santé des enfants dans l’État, en 2013 – la première année complète dans laquelle le cannabis était légal pour les adultes de 21 ans et plus – 20 pour cent des lycéens ont déclaré avoir consommé du cannabis au cours du mois précédent et 37 pour cent l'avoir fait au moins une fois dans leur vie ».

Dans la même enquête en 2011, il était déclaré que « 22 pour cent des lycéens avaient consommé la drogue au cours du mois précédent et 39 pour cent l'avait déjà essayée ». En combinant cette enquête avec des données remontant à 2009 où « 25 pour cent des lycéens avaient consommé du cannabis le mois précédent et 45 pour cent l'avait déjà essayée », on peut voir émerger une tendance baissière. En fait, ce déclin dans la consommation chez les adolescents est en contradiction totale avec toutes les tendances à l'échelle de la nation qui voient la consommation adolescente augmenter. Une fois de plus, il semble bien que la prohibition provoque le contraire exacte de ce qu'elle espère accomplir.
Cependant, à ce stade, il est encore trop tôt pour dire si ce « déclin d'une année sur l'autre représente un changement statistiquement significatif ». Il a toutefois lancé un débat animé, avec des contradicteurs des deux côtés de la table. Les soutiens de la légalisation du cannabis affirme que la consommation chez les mineurs diminuera comme les États imposeront des contrôles plus stricts sur l'accès au cannabis.

Le directeur de la communication du Marijuana Policy Project, Mason Tvert, a rapidement affiché son soutien aux récentes statistiques, en déclarant : « une fois de plus, les affirmations prétendant que la régulation du cannabis allait laisser le Colorado en ruines ont prouvé qu'elles étaient sans fondement ». Mr Tvert a ensuite déclaré : « combien de fois les soutiens de la prohibition du cannabis doivent-ils se tromper avant qu'ils arrêtent de déclarer que nos lois sur le cannabis augmentent la consommation chez les adolescents ? »
« La baisse de la consommation chez les adolescents reflète le fait que l’État et les autorités locales ont bien plus de contrôle sur le cannabis qu'auparavant. »
Les opposants à Mr Tvert ont été rapides à répondre avec leur propre « salade », en craignant qu'une diminution des dangers perçus du cannabis entraînerait fatalement une explosion de la consommation chez les jeunes. Kevin Sabet, cofondateur du groupe anti-légalisation « Smart Approaches to Marijuana », a réaffirmé ce point, et a également essayé d'attaquer la crédibilité des statistiques en déclarant : « aucun statisticien n'interpréterait ça comme un déclin ». Mr Sabet a accusé les partisans de la légalisation de semer la « confusion » dans l'opinion publique avec des chiffres et de les « détourner comme une baisse de la consommation chez les adolescents », qui pour Mr Sabet n'a pas eu lieu.
Source : zamnesia.fr

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Colorado : le cannabis devra bientôt être testés pour prevenir des contaminants

Comme l'industrie de la marijuana légale du Colorado continue d'évoluer, les normes qui accompagnent cette dernière aussi. L'établissement des règlements et des mesures de sécurité pour assurer la légitimité de l'industrie restera de la plus haute importance.

Et quand il s'agit de l'institutionnalisation de cannabis, ce qui signifie bien tester et étiquetage de tous les produits, qu'ils soient fleur, nourritures, ou infusé. Nous avons vu le Colorado appliquer ces règlements et de nouvelles normes sue les produits comestibles , dans un effort pour apaiser les préoccupations sur le danger des produits comestibles envers les consommateurs .

Maintenant, les responsables de la santé du Colorado ont tourné leur attention envers les produits issus du cannabis. À la fin de l'année, toute marijuana récréatives vendues dans le Colorado doit d'abord être testé dans un cadre professionnel, et par un laboratoire agréé.

Quatre laboratoires du Colorado seront à la tête de ce test, et l'objectif principal de ces laboratoires est de s'assurer que les touristes et les fumeurs de cannabis de loisirs consomment un produit sûr.

Quatre laboratoires dans le Colorado vont tester des niveaux de salmonelle et l'aspergillus, un champignon qui peut provoquer des réactions allergiques et des infections pulmonaires. Ils vont aussi regarder pour le butane et d'autres solvants utilisés pour affiner la marijuana dans les huiles concentrées, ainsi que des métaux lourds tels que l'arsenic, le cadmium, le plomb et le mercure.

Plusieurs patients dans les installations de Denver ont, en dépit d'avoir consommé de la marijuana dans le passé, montré des symptômes que suggère une réaction aux pesticides, a déclaré le Dr Christopher Colwell, directeur de Denver Health de la médecine d'urgence. [ The Gazette]

Comme nous le soulignons sans cesse,le Colorado (et maintenant Washington) sont sous le microscope. Si l'expérience de la marijuana légale se passe bien, comme c'est le cas jusqu'à présent-, les etats unis seront un pays de bien etre pour les consommateurs de cannabis thérapeutique ou de loisir.

Prendre les mesures de sécurité et les essais et tests appropriés, devrait  prouver que cette industrie sait ce qu'elle fait et ne fera que durer.
Source : cannabis-infos

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lundi 25 août 2014

[Culture] De combien d'eau ont besoin les plantes de cannabis?

Tout comme les humains, les plants de cannabis ont besoin d'eau pour survivre et s'épanouir. Mais trop d'eau, ou trop peu, et ils meurent. Trouver le juste équilibre est crucial pour obtenir une récolte abondante. 

80 % du poids d'une plante vivante est constitué d'eau. Cette quantité de liquide est nécessaire pour transporter les nutriments du sol à travers la plante, et pour la régulation de la température grâce à la transpiration. Moins de 1 % de l'eau absorbée est décomposée pour fournir de l'hydrogène qui est, avec le dioxyde de carbone, utilisé pour formé des glucides pendant la photosynthèse. L'eau restante se diffuse dans le feuillage, là où la transpiration a lieu. Ce processus est appelé le flux de transpiration et s'il est interrompu, les feuilles se flétrissent et la plante meurt progressivement.

Comment savoir quand et de quelle quantité d'eau la plante a besoin ?

Il n'y a pas de règle fixe pour savoir quand et de quelle quantité les plantes ont besoin d'eau. Même si une telle règle serait pratique, les simples différences entre la localisation géographique et les conditions de cultures rendent impossible son existence. Une plante dans les régions plus nordiques de l'Europe peut ne nécessiter que 2 litres tous les 3 jours, car le sol conserve bien l'humidité. La même plante en Espagne peut tout à fait demander trois fois plus d'eau, car le soleil sèche rapidement le sol. Il faut également considérer la nature du sol. Si c'est un sol à drainage rapide, il faut l'arroser bien évidemment plus souvent. Les sols argileux drainent très lentement, et un sur-arrosage se produit alors rapidement.
Vous pouvez facilement tester le drainage de votre sol en creusant un trou de 30cm et en y versant de l'eau. S'il lui faut moins d'une minute pour drainer, alors vous avez une bonne terre. S'il lui faut 1 heure, votre terre est compactée ou argileuse, ce qui signifie qu'il faut la remplacer ou l'améliorer. Mais d'autres facteurs doivent être considérés. Par exemple, la taille des plantes, la taille du pot (s'il y a un pot), la température, l'humidité, la circulation de l'air et la période actuelle de croissance de la plante (végétative ou floraison).
Donc, plutôt que d'imaginer une formule qui prendrait en compte tous les facteurs, il est bien plus facile de regarder les indices visuels donnés par la plante. Dès que le feuillage inférieur montre le moindre signe de résistance diminuée et de relâchement, alors votre plante a besoin d'une bonne gorgée d'eau. Mais idéalement, vous ne devriez pas en arriver là : si vous voulez être un bon parent pour vos filles vertes, n'attendez pas pour ce signal, mais donnez-leur plutôt suffisamment d'eau en amont.
En général, quand le sol à environ 5cm de profondeur semble sec, arrosez lentement jusqu'à ce que le sol soit équitablement humidifié. Ceci marche pour les plantes en terre comme en pot. Quand vous utilisez un pot, assurez-vous qu'il n'y ait que très peu d'eau coulant des trous de drainage, pour éviter toute perte de nutriments. Après quelques essais, vous saurez approximativement combien d'eau le pot peut contenir avant que l'eau en excès ne soit évacuée. Arrosez toujours autour de la tige, en évitant de la mouiller : ceci diminue le risque de pourriture de la racine.

Ne laissez jamais le sol devenir trop mouillé ou trop sec

Sur-arroser est l'erreur la plus courante dans la culture du cannabis. Ceci peut rapidement devenir un énorme problème : le cannabis ne peut pas tolérer un sol saturé ou trempé. Il est vital pour les racines de recevoir assez d'oxygène, mais elles ne peuvent pas le faire s'il y a trop d'eau dans le sol, car l'air n'atteint alors plus les racines et la plante suffoque. Une plante dans un sol peu drainant pousse moins rapidement, est en général moins forte et elle est sujette aux attaques sur ses racines et à la pourriture de la tige. Si le problème persiste pendant trop longtemps, les plantes meurent.
Ne pas arroser assez est moins un problème : comme c'est facile à voir, il est possible de rectifier immédiatement. Comme mentionné précédemment, le premier signe d'un manque d'eau est la chute des feuilles inférieures ; si vous n'arrosez pas immédiatement, le problème se répandra vers le haut jusqu'à ce que le haut de la plante ploie.

Température de l'eau et moment de la journée

Utilisez toujours de l'eau tiède, elle rentre plus facilement dans le sol et ne choque pas les racines. Arrosez toujours au-dessus du pot : ne plongez jamais le pot dans un seau ou une bassine, car l'eau déplacerait l'oxygène du sol et les plantes ne pousseraient pas bien.
Pour ce qui est du moment de la journée : tout dépend de votre climat et de la disponibilité de l'eau. En général, il est préférable d'arroser le matin, parce que les plantes ont toute la journée pour travailler avec l'eau. Mais si vous vivez dans un climat chaud et que vous voulez économiser l'eau, il est possible d'arroser en soirée. Ceci empêchera une évaporation trop rapide de l'eau.
Un moyen facile d’empêcher une évaporation rapide dans un climat chaud est d'utiliser un genre de paillis. Le but d'une couche de paillis est de préserver l'humidité. Un moyen simple et facile de le faire est de couvrir le sol autour de la plante par des cartons à plat. Ils ne pourrissent pas facilement et garantiront que le sol reste humide bien plus longtemps.

L'eau idéale

Il est possible d'élever la qualité de l'eau au rang de science, mais si votre eau du robinet est correcte, vos plants seront satisfaits. Bien évidemment, il y a toujours quelque chose à améliorer.
Il va sans dire que l'eau ne devrait pas contenir de chlore ou d'autres substances chimiques nocives. Même si le chlore n'est en général pas vraiment un problème pour les plantes elles-mêmes, il peut avoir un impact négatif sur les micro-organismes symbiotiques dans le sol.
L'eau pour les plants de cannabis doit avoir un niveau de pH équilibré. Il est préférable de se procurer un pH-mètre numérique pour mesurer le niveau exact de votre eau. Pendant la période végétative, le cannabis préfère un niveau de pH entre 5,6 et 5,8 et pendant la floraison un niveau entre 6,0 et 6,2. Vous pouvez facilement corriger le niveau de pH avec des produits adaptés aux plantes trouvés en jardinerie.
Les sources naturelles d'eau peuvent très bien fonctionner très bien, mais leur niveau de pH varie grandement. L'eau des rivières est en général plus basique, et l'eau stagnante est en général plus acide. L'eau de pluie propre a un pH d'environ 5,6 et c'est un très bon choix pour arroser vos plants de cannabis, car c'est une riche source d'azote.
Si vous voulez passer au niveau supérieur, vous pouvez aérer votre eau avec une pompe à air d'aquarium bon marché pendant 24 heures. L'aération augmente le contenu en oxygène de l'eau, ce qui est très bénéfique pour les racines et la santé générale de la plante. De plus, pendant l'aération, le chlore s'évacue naturellement, ce qui laissera en paix les micro-organismes. Vous pouvez également aérer naturellement le sol, soit en utilisant jusqu'à 25 % de perlite, ou simplement en laissant le sol sécher avant de ré-arroser.

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Robin Williams, un acteur "junkie" accro à la cocaïne ? John Witherspoon balance


Le 11 août dernier, le septième art perdait l’un de ses acteurs les plus talentueux : Robin Williams. Si les hommages continuent d’envahir les réseaux sociaux en sa mémoire, ses penchants pour la drogue font aussi la Une de la presse people, notamment à cause des déclarations de John Witherspoon, acteur américain qui s’est lâché sur les vieux démons du comédien…

Deux semaines après sa mort, Robin Williams fait toujours parler de lui. Alors que l’acteur a été retrouvé pendu à son domicile de Tiburon, en Californie, les premiers éléments de l’enquête révélait que ce dernier souffrait de la maladie de Parkinson et d’une sévère dépression. Récemment, l’acteur a été incinéré et ses cendres ont été dispersées dans la baie de San Francisco.

Les confidences troublantes de John Witherspoon

Son épouse, Susan Schneider, déclarait dans un communiqué qu’au moment de la mort de Robin Williams, ce dernier était totalement sobre depuis des années. Mais c’était sans compter les révélations de John Witherspoon, qui avait brièvement travaillé avec le comédien sur le "Richard Prior Show" en 1977. Dans un entretien filmé pour le site TMZ, l’acteur américain a réagi à la mort de son ex-acolyte à l'aéroport LAX de Los Angeles, ne mâchant pas ses mots sur le passé trouble de l'interprète de Madame Doubtfire.

"C'était un junkie"

En effet, John Witherspoon ne s’est pas gêné pour rappeler que son ancien collègue avait un faible pour la cocaïne, le qualifiant même de "junkie". Robin Williams n’a jamais caché ses problèmes, les évoquant avec sa meilleure arme : l’humour. Oui mais voilà, ce dernier est rattrapé par son addiction à l’alcool dans les années 2000 et il était encore en cure de désintoxication en juillet dernier, un mois avant sa mort.

Une carrière au cinéma légendaire

Avec sa longue carrière cinématographique, Robin Williams est l'un des acteurs les plus connus de son temps. Ses fans ont dernièrement pu le retrouver dans la série "The Crazy Ones" où il partageait l'écran avec la belle Sarah Michelle Gellar. Malheureusement, la sitcom a été annulée après une saison. Mais le comédien restera dans les mémoires avec ses rôles dans Will Hunting, Le cercle des poètes disparus ou encore Good Morning Vietnam.


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Marijuana : la caricature conservatrice

Les conservateurs nous ont habitués à réduire les débats complexes en attaques simplistes et réductrices contre leurs adversaires. Leur charge à fond de train contre le chef libéral Justin Trudeau et sa promesse de légaliser la marijuana est un modèle du genre.
Politique


À en croire les conservateurs, M. Trudeau a un seul plan : vendre du «pot» chez le marchand du coin et permettre aux jeunes d’y avoir facilement accès.

Ce message, ils le martèlent dans les envois postaux que leurs ministres et députés font parvenir à leurs électeurs — des envois qui ne sont pourtant pas supposés être partisans ! Ces feuillets ressemblent à s’y méprendre à des unes de journaux jaunes. (Voyez la photo apparaissant sur cette page Web.)

Dans celui distribué par le ministre Julian Fantino, on affirme que «les libéraux veulent transformer l’achat de marijuana en une activité de tous les jours et normale pour les jeunes Canadiens». On peut lire aussi que Justin Trudeau voudrait légaliser la culture de la marijuana par des compagnies qui pourraient ensuite en vendre comme du tabac.

Il y a d’abord là une première contradiction avec leur accusation d’accès aux mineurs, puisque ces derniers ne sont pas supposés pouvoir acheter du tabac. À moins que les conservateurs cherchent ainsi à reconnaître indirectement que le régime à cet égard ne fonctionne pas.

Plus retors encore est cette référence à la production de marijuana par des entreprises. Ce sont les conservateurs eux-mêmes qui sont en train de jeter les bases d’une industrie de production de marijuana. Ne voulant plus s’occuper de fournir du «pot» aux Canadiens ayant le droit d’en consommer à des fins thérapeutiques, le gouvernement a modifié les règles pour obliger ces consommateurs à se tourner vers des entreprises qui ont été choisies à cet fin à la suite d’un appel de candidatures lancé par ce gouvernement.

Ont répondu : 920 compagnies. Du nombre, 20 ont été approuvées jusqu’à présent, et les propositions de près de 300 autres sont actuellement examinées. Les autres ont été retirées, rejetées ou jugées incomplètes.

Depuis ce printemps, les usagers n’ont même plus le droit de cultiver quelques plans pour répondre à leurs besoins. Les seuls fournisseurs autorisés sont ces compagnies accréditées.

Le ton excessivement partisan avec lequel les conservateurs traitent de cet enjeu fait en sorte que même les médecins se méfient des projets de campagne publicitaire du ministère fédéral de la Santé destinée à décourager l’usage de la marijuana chez les jeunes.

L’Association médicale canadienne, le Collègue des médecins de famille du Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada ont émis, la semaine dernière, une déclaration conjointe pour expliquer leur refus de se joindre à la future campagne de sensibilisation financée par Santé Canada.

«Il s’avère que cette dernière est devenue un enjeu politique lié à la légalisation au Canada de la marijuana et, pour cette raison, le CMFC, l’AMC et le Collège royal ne participeront pas à la campagne. Nous n’avons jamais approuvé ou soutenu les messages ou publicités de nature politique en lien avec cette question», y est-il écrit.

La ministre fédérale de la Santé, Rona Ambrose, a tenté de nous faire croire que cette campagne n’avait rien de partisan, mais ce n’est pas pour rien qu’elle n’a pas eu lieu plus tôt. Si elle va de l’avant, cette campagne arrivera à un moment drôlement utile pour les conservateurs, puisqu’elle renforcera leur message partisan à un an des prochaines élections fédérales.

Les conservateurs ne veulent pas d’un débat sérieux sur le pour et le contre des diverses options d’encadrement de la production, de la vente et de la consommation de la marijuana. Pour eux, c’est une drogue et seulement cela. Elle est donc à proscrire, et ceux qui en produisent, en vendent ou en en consomment doivent être traités comme des criminels. Il n’y pas de nuance.

Ou presque. Après avoir rejeté l’idée, le ministre de la Justice, Peter MacKay, a ouvert la porte, cet été, à l’adoption d’une recommandation des chefs de police à l’effet que les policiers aient la possibilité — dans des cas de possession simple — de sanctionner les fautifs en émettant des contraventions plutôt que de porter des accusations. Toutefois, ces dernières seraient toujours possibles.

Les chefs de police n’ont pas fait cette proposition parce qu’ils veulent encourager la consommation de «pot», mais parce que cette chasse aux simples usagers engorge le système judiciaire et accapare trop de temps de leurs agents.

Au NPD, on propose plutôt de décriminaliser la possession de petites quantités, ce qui mettrait fin à la possibilité de porter des accusations criminelles dans ces cas et d’éviter que des gens se retrouvent avec un casier judiciaire pour avoir eu quelques joints sur eux.

Justin Trudeau, pour sa part, privilégie la légalisation pour enlever ce commerce des mains du crime organisé et le confier à des entreprises légales soumises à un solide cadre réglementaire — similaire à ceux qui encadrent la vente de boisson et de tabac. Selon le chef libéral, cette approche serait plus efficace pour protéger les jeunes que celle qui est actuellement axée sur la répression.

On voit qu’il y a matière à débat, mais encore faut-il vouloir le faire en passant en revue l’expérience canadienne et celle d’autres pays. Les modèles vont de la répression à la légalisation. C’est le cas de quelques États américains. Il y a là des leçons à tirer.

Mais ce serait faire appel à la raison plutôt qu’à nos instincts primaires, et cela ne provoquerait pas la polarisation qui a si bien servi les conservateurs par le passé. Le hic est que rien ne garantit que ce soit la bonne approche dans ce dossier. Ce message plaît à la base conservatrice, comme le montre un sondage récent de la firme Angus Reid, mais la majorité des Canadiens seraient en faveur de la légalisation — bien que ce ne soit pas un enjeu prioritaire pour eux.

Petite disgression.

Les conservateurs, avec l’aide des libéraux, ont réussi à infléchir le bureau de la régie interne de la Chambre des communes pour exiger un remboursement de plus d’un million de dollars au NPD pour des envois jugés partisans. Le NPD avait osé afficher son logo et l’adresse de son site Web sur des envois de députés bénéficiant de privilèges postaux.

Les néo-démocrates ont évidemment demandé à ce que les envois des autres partis soient soumis à examen, sans succès. Évidemment.

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À propos de Manon Cornellier

Manon Cornellier est chroniqueuse politique au Devoir, où elle travaille depuis 1996. Journaliste parlementaire à Ottawa depuis 1985, elle a d’abord été pigiste pour, entre autres, La Presse, TVA, TFO et Québec Science, avant de joindre La Presse Canadienne en 1990. On peut la suivre sur Twitter : .
Source : http://tipet.net

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