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jeudi 31 juillet 2014

Les jeunes du DP veulent légaliser la marijuana

Les Jonk Démokraten(JDL) demandent à légaliser la consommation de la marijuana pour les personnes privées et pour l'usage médical. Un communiqué dédié à la question a été envoyé à la presse ce jeudi. Pourtant, une telle légalisation devrait être réglementée et surveillée par l'État: sa consommation devrait être limitée et interdite dans les lieux publics et aux mineurs. Des structures contrôlées devraient ainsi être les seuls points de vente et la culture du cannabis à la maison devrait rester interdite.

La consommation de cannabis

  • Selon le rapport mondial sur les drogues 2013, le cannabis reste la substance illicite dont la consommation est la plus répandue. 180,6 millions de personnes, soit 3,9% de la population mondiale, consommeraient du cannabis. Une proportion qui, rapportée à la population du pays, donnerait environ 21 500 fumeurs au Luxembourg.
  • Rappelons qu'au Grand-Duché, le cannabis n'est pas dépénalisé mais décriminalisé. Aucune peine d’emprisonnement n’est prévue pour la consommation simple ou la détention pour usage personnel de cannabis. Si une personne est arrêtée en possession de cannabis, et si c'est seulement pour sa consommation personnelle, elle encourt une amende allant de 250 à 2 500 euros.
  • «Toute personne devrait avoir le droit d'agir en sa propre responsabilité», justifie la Jeunesse démocrate et libérale dans un communiqué ce jeudi. Une telle mesure serait, selon elle, un pas décisif dans la lutte contre la criminalité organisée. Les recettes issues des impôts devraient selon les jeunes du DP être réinvesties dans des mesures de prévention et financer des thérapies pour toxicomanes.

Oui, mais pas seulement pour les adultes

Selon Eugène Berger, chef de fraction du DP, cette idée n'a pas été impulsée par le DP. «La JDL est indépendante. Parfois, elle va plus loin que le DP, parfois, elle prend le rôle de précurseur pour initier le débat. De manière générale nous ne disons pas que la légalisation de la marijuana ne pourra jamais se faire avec le DP, mais une telle proposition ne figurait ni dans notre programme électoral ni dans l'accord de coalition. Maintenant que l'idée est lancée, nous allons en discuter au sein du parti pour détailler notre position en termes de faisabilité, des conditions et des conséquences».

Les Gréng soutiennent en tout cas la JDL. «Dans un premier temps nous nous prononçons en faveur de la dépénalisation du cannabis pour usage personnel et sommes favorables à l’utilisation de telles substances à des fins médicales et thérapeutiques», peut-on lire sur leur site web.
Les conséquences d’une légalisation complète devraient par contre être analysées en détail, selon un porte-parole des Gréng. Dans tous les cas une telle mesure ne pourrait pas se limiter aux adultes, étant donné que les mineurs sont, eux aussi, exposés aux risques pour la santé et peuvent tout aussi bien tomber dans la toxicomanie.

Des risques pour la santé

La proposition de la JDL devrait en tout cas recueillir l’approbation de déi Lénk, qui avait déjà inscrit cette idée dans leur programme électoral. L’ancien député ADR et actuel président du PID, Jean Colombera, lui-même médecin, est également un fervent défenseur de la légalisation du cannabis à des fins médicales et a même déjà été poursuivi en justice à cet égard.

Pas moyen pourtant de convaincre les jeunes membres du CSV qui se disent clairement opposés à une telle idée. «Les collègues feraient mieux de se pencher sur des sujets plus importants», explique Charles Hurt, président du CSJ, à L’essentiel. Une dépénalisation de la drogue contribuerait à banaliser son usage, dont les risques pour la santé ne font pas de doutes. La jeunesse socialiste n’a pas pu être jointe pour un commentaire.
Source : http://www.lessentiel.lu

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Uruguay : la vente de marijuana en pharmacie devra attendre


L’événement survenu en Uruguay l’an dernier a été tellement surprenant et précurseur qu’il était peut-être trop beau pour être vrai. La nouvelle réglementation n’est pas pour autant démantelée, mais elle a subi un sérieux revers.

Cette réglementation, quia tenu Sensi Seeds sur la brèchependant des mois, a été approuvée en décembre 2013. Le projet prévoyait la vente de marijuana dans les pharmacies dès 2014. Et ce, par le biais d’un système simple, mais très contrôlé.



Eh bien, les choses ne seront finalement pas si rapides, ni si simples. Tout le processus de vente va être reporté à l’année 2015 puisque, selon Mújica,« sa mise en œuvre entraîne des difficultés pratiques ».

Rien n’arrive par hasard, car en octobre prochain, l’Uruguay doit faire face à un changement de gouvernement. C’est la raison pour laquelle un certain secteur de la politique ne souhaite absolument pas affronter une élection présidentielle, parallèlement à la vente directe de cannabis aux citoyens. Pour lui, chaque chose en son temps.

Légalisation et élections ne peuvent aller de pair

Il est prévu que Mújica quitte le pouvoir le 1er mars 2015. Il est certain que le chef d’État veut sortir par la grande porte. Non seulement le Président anarchique est connu pour son style de gouvernance particulier, mais c’est lui qui a catapulté l’Uruguay dans la sphère internationale en faisant un pas vers la légalisation totale et absolue du cannabis, à un niveau que même les tout-puissants États-Unis n’ont pas pu atteindre.

Malgré ses 79 ans, Mújica semble avoir beaucoup plus la tête sur les épaules que ses homologues puisque, étant donné la difficulté de tout le processus, il préfère ne pas se précipiter. Comme il l’admet lui-même « Je crois qu’il faut faire un essai très méthodique et c’est pourquoi nous prenons du retard. Nous devons résoudre de nombreux problèmes, par exemple avoir un logiciel opérationnel qui donne une réponse technologique aux besoins de certains ».

Mújica admet qu’il ne souhaite pas mettre en œuvre un processus de régulation de la marijuana aussi « irresponsable » que celui des États-Unis. Il ose même dire qu’Obama et les siens « la libéralisent avec un degré d’irresponsabilité effrayant ». De fait, l’Uruguay a mis les choses au clair dès le début : si les choses n’aboutissent pas comme prévu, le gouvernement fera marche arrière sans hésiter. Selon des déclarations récentes, il ne souhaite ni s’exalter ni encourager la consommation de drogues. Il souhaite simplement aborder la question à la racine et la meilleure façon consiste à lancer un processus de légalisation aussi complexe et ambitieux.

Le premier Club de marijuana d’Uruguay a été officiellement créé

L’Association des Études du Cannabis de l’Uruguay (AECU) s’est retrouvée sur le devant de la scène en devenant la première organisation à lancer des démarches pour enregistrer le premier club de cannabis du pays. Pour en devenir membre, les frais d’inscription s’élèvent à 300 dollars, puis les adhérents devront payer chaque mois entre 53 et 66 dollars.


Le fait curieux de cette histoire n’est pas l’enregistrement à proprement parler, mais plutôt l’existence clandestine de ce club depuis 2013. Aujourd’hui, puisque la loi autorise l’accès libre des particuliers à la marijuana (dans le respect de la législation, évidemment), le club pourra devenir un nouvel intermédiaire, avec la tâche importante de fournir les consommateurs, comme le feront les pharmacies.

Comme nous l’avons indiqué dans d’autres articles, le consommateur de cannabis pourra cultiver ses propres plants, s’approvisionner auprès des pharmacies détentrices d’une licence de vente de marijuana ou se fournir dans les clubs cannabiques inscrits sur le registre approprié.

D’autre part, ceux qui voudront former un club devront effectuer toutes les démarches obligatoires. Ainsi, et conformément à la norme actuelle, ils devront d’abord se rendre au Ministère de l’Éducation (MEC) pour créer une association civile, puis ils devront se rendre à l’Institut de régulation et de contrôle du cannabis (IRCCA), où ils devront enregistrer les futurs utilisateurs du club selon l’une des trois modalités disponibles.

Les clubs devront comporter un maximum de 45 membres et disposer d’un maximum de 99 plants ; de plus, à des fins de sécurité, ils devront se trouver dans des lieux secrets.  Cela signifie que seuls les membres du club connaîtront l’endroit.

Versions contradictoires


Le Président uruguayen affirme sans hésitation qu’en ce qui concerne l’autoproduction de marijuana, il existe un grand problème puisque « on sait où cela commence, mais on ne sait pas où cela se termine ».  Le problème est que ces déclarations, et d’autres déclarations récentes de Mújica lui-même, ont fait polémique. Peut-être que l’Uruguay y réfléchit encore ? La pression internationale a-t-elle ébranlé ce beau projet ? Le sous-secrétaire de la Santé, Leonel Briozzo, membre de la Junta Nacional de Drogas (JND), l’organisme qui met en œuvre le processus de production et de vente du cannabis, a assuré qu’il ne s’agissait pas de cela. Que personne ne panique, tout se déroule comme prévu mais, pour reprendre ses mots, « en raison des cycles biologiques des plantes, il est probable


Quoi qu’il en soit, le niveau déjà atteint est plus que louable. En effet, le monde ne cesse de répéter que l’Uruguay a créé un précédent historique.

Mújica déclare que tout cela s’adresse aux jeunes puisque « l’interdit attire ». Est-ce que cela signifie qu’une fois le processus de légalisation achevé, la consommation de cannabis diminuera ?

Il semble que non, puisque l’on estime qu’entre 18 et 22 tonnes seront nécessaires chaque année pour approvisionner un marché estimé à 150 000 consommateurs. Ni plus ni moins. Et les chiffres vont crescendo.

Il semble que les Uruguayens souhaitent développer le processus lentement et convenablement. La rapidité ne sert à rien si elle entraîne des erreurs. De toute façon, il est clair que les jours passent très vite, plus vite que l’on ne croit, puisque 2015 n’est pas si loin. Nous verrons quel sera l’aboutissement de ce projet plus romanesque que juridique, puisque Mújica a réussi à tenir en haleine des millions de personnes, qui attendent avec intérêt l’épilogue de l’histoire sur la légalisation du cannabis la plus importante de tous les temps.
Source : http://sensiseeds.com/

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[Insolite] le steward invite les passagers à jeter leur drogues aux toilettes


Les passagers d'un vol Jetstar à destination de Sidney, en Australie, ont eu droit à un message bien peu conventionnel de la part d'un steward : "Nous avons appris que des chiens renifleurs et des agents attendent au terminal. Si vous avez besoin de vous débarasser de quelque chose que vous n'êtes pas censés posséder, nous vous suggérons de le jeter dans les toilettes maintenant", raconte le Daily Telegraph.

Les toilettes de l'avion, qui transportait de nombreuses personnes revenant du festival de musique Splendour in the Grass, auraient alors été prises d'assaut.
Face aux plaintes des autres passagers, Jetstar a dénoncé les mots de son steward qualifiés de "mal choisis" et "en contradiction avec les normes professionnelles".
AFP
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La drogue Krokodil, qui troue la peau, a-t-elle finalement gagné l'Europe?

Souvenez-vous : cette drogue, dite « mangeuse de chair », avait affolé les médias dès 2011 alors qu’elle se développait en Russie. L’année dernière, des cas avaient été recensés aux États-Unis, puis au Mexique, si bien que l’Europe ne semblait pas à l’abri. Des rumeurs ont ensuite circulé quant à de premières victimes en Angleterre, mais qu’en est-il réellement aujourd’hui ?

Au début de cette année, les autorités italiennes avaient saisi un stock de Krokodil dans le port de Padoue, laissant entendre qu’elle commençait à se répandre en Europe. Les effets de cette drogue étaient annoncés comme dix fois supérieurs à l’héroïne, avec un coût trois fois moindre, car faite à partir d’un mélange de codéine, d’essence et de solvants.

À coup de photos et vidéos, les dégâts pour le corps humain ont été montrés comme dévastateurs : l’épiderme et les os du consommateur seraient rongés, troués, gangrenés, et l’amputation serait souvent inévitable.

Malgré toute cette agitation, les dernières nouvelles sont rassurantes : aucun cas n’a été officiellement recensé en Europe, la consommation de Krokodil, ou désomorphine, s’arrêtant vraisemblablement à l’Ukraine.

Un ballon « surgonflé » ?

Du côté d’Infor-Drogues, le service documentation nous confie que «  le ballon s’est dégonflé  », ou, qu’au contraire, il «  était surgonflé à la base  ». Ne faut-il donc plus avoir peur ? Pas tout à fait, car le fléau est bien réel, même si des informations extrapolées ont largement circulé.

«  On est en droit de douter de la véracité de certaines images qui avaient circulé à l’époque, admet de son côté Michaël Hogge, chargé de projets scientifiques et épidémiologiques d’Eurotox, l’Observatoire socio-épidémiologique alcool-drogues en Communauté Française. Les membres mutilés et autres lésions extrêmes ne semblent pas être véritables. De ce que l’on sait, les consommateurs de Krokodil présentent bien des lésions et abcès parfois sérieux, mais que l’on peut retrouver chez tout consommateur de drogues par injection.  »

«  Cela est lié aux conditions dans lesquels l’injection est faite, précise-t-il encore. Les conditions précaires dans lesquelles vivent les preneurs de Krokodil participent à créer ces lésions et abcès. Quant au mélange, effectué de manière artisanale, il peut comporter des impuretés ou d’autres substances qui entraînent des effets imprévus.  »

La Belgique est-elle à l’abri ?

« L’avantage » de cette drogue pour un toxicomane est son faible coût : il peut en effet la concocter chez lui, de façon artisanale, à partir de codéine. Elle était apparue en Sibérie début 2000 et s’était répandue plus récemment en Russie. Là-bas, la codéine peut être obtenue sans ordonnance, ce qui facilite le travail des consommateurs plus démunis, qui n’ont plus les moyens de s’acheter de l’héroïne.

«  Ce qui permet à la Belgique de rester à l’abri, c’est notamment le fait que, chez nous, la codéine n’est pas en vente libre en pharmacie, explique Michaël Hogge. Il n’est donc pas aussi facile de faire ce fameux mélange dans notre pays. La situation est également moins précaire chez nous : les toxicomanes ont plus facilement accès à l’héroïne à un prix plus acceptable pour eux que pour les consommateurs de Sibérie, par exemple.  »

Autre élément : des structures d’accompagnement opérationnelles en Belgique. «  Les services de sensibilisation et d’aide aux toxicomanes sont plus développés chez nous. Là-bas, cela n’existe pas, ou, si de telles structures ont bien été mises en place, elles n’en sont qu’à l’état embryonnaire. Difficile donc de faire face à la Krokodil sans ces services.  »

Aucune alerte côté européen

Contacté par nos soins, l’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (EMCDDA), l’autorité européenne en la matière, suit l’évolution de cette drogue en Russie de très près.

«  Le EMCDDA a reçu des informations structurées de la part de 28 États membres de l’Union européenne, ainsi que de la Turquie et de la Norvège, sur ces nouvelles substances psychoactives, nous écrit Ana Gallegos, directrice du département d’action contre les nouvelles drogues. Les informations selon lesquelles la drogue ‘Krokodil’ aurait fait son apparition en Europe n’ont jamais été confirmées toxicologiquement ou médico-légalement.  »

À l’heure actuelle, «  aucun cas confirmé n’a été signalé  », précise-t-elle encore en expliquant qu’une confusion règne aujourd’hui autour de cette drogue. «  Des informations anecdotiques ont suggéré que la ‘Krokodil’ était peut-être entrée en Europe. Par exemple, des rapports isolés ont fait état de consommateurs d’héroïne, ou d’autres substances, qui auraient indiqué s’être injectés ce qu’ils pensaient être de la ‘Krokodil’ (mais qui n’en était probablement pas, NDLR). »
Source : http://www.sudinfo.be
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Le nouveau business de la cuisine au cannabis

La légalisation du cannabis dans certains Etats d'Amérique du Nord crée un filon juteux en cuisine. 

En 1954, dans le livre de cuisine qui porte son nom, Alice B. Toklas dévoile, avec la complicité de son ami Brion Gysin, les instructions d'une préparation alimentaire à base de cannabis : le haschich fudge. Il s'agit d'un mélange cru de fruits secs, d'épices et de poudre de sativa. La recette (un rien fumeuse) inspirera un film avec Peter Sellers, I Love You, Alice B. Toklas, et finira par s'incruster, comme symbole d'une époque, dans les soirées spacecakes de toute une (beat) génération. Pour la première fois, l'herbe folle tentait une incursion dans la culture populaire américaine en qualité de condiment.

Quarante ans plus tard, le 1er janvier 2014, l'usage du cannabis à des fins récréatives est officiellement légalisé par référendum dans deux Etats de l'Ouest, Washington et le Colorado. Presque aussitôt, un tourisme de masse se met en place vers ces Etats libérés et ce sont des centaines de milliers de consommateurs euphoriques qui se ruent dans les premiers coffee-shops tels les prospecteurs vers les cours d'eau, au temps de la Ruée vers l'or. Parmi ceux qui exploitent ce nouveau et juteux filon de la weed légale (les analystes annoncent un boom économique comparable à celui de la bulle internet), on retrouve ces entrepreneurs qui misent sur le business d'un genre de restauration qui fait planer. Le jackpot ? Des produits alimentaires enrichis en THC, le principe actif du cannabis.
La société Magical Butter, basée à Seattle, propose déjà à bord de ses food trucks des plats assaisonnés en douceur à la marijuana. Des menus qui défoncent à base de bronco (un BBQ de porc effiloché), de banh mi (le jambon-beurre vietnamien), de soupe onctueuse à la tomate ou encore de sandwichs façon grilled cheese.

Du côté de Denver, le restaurant Hapa Sushi Grill a, lui, pignon sur rue et propose à sa carte des associations originales façon weed pairing, histoire de déguster ses makis avec le nez dans le meilleur des joints. Quelques rues plus loin, les pionniers du 3D Cannabis Center confectionnent et vendent leurs propres sodas, bonbons et autres chocolateries, tous améliorés au THC pour la plus sucrée des expériences psychotrope... A défaut de la rendre stupéfiante.
Source :  http://style.lesinrocks.com
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Le sénateur de l'Utah veut vendre du CBD dans les Liquors Stores


Le sénateur de l'Utah Steve Urquhart (R-St. George) a parrainé un projet de loi pour que le cannabidiol (CBD), la composante non psychotrope du cannabis, soit accessible aux patients épileptiques dans le besoin. Le projet de loi introduit la possibilité de faire de l'huile CDB et sa disponibilité dans les magasins d'alcool , répondant ainsi à la nécessité cruciale pour les parents de l'Utah pour obtenir des médicaments pour leurs enfants.

le sénateur Urquhart à co-parrainé le projet de loi de l'État à légaliser le CBD pour traiter l'épilepsie, appelée «Charlee’s Law", a été adopté en Mars .

Actuellement, les lois du gouvernement fédéral font qu'il est toujours illégal de posséder et de transporter des huiles d'extrait de cannabis. Comme un état voisin du Colorado, premier état du cannabis juridique de la nation, les parents d'enfants malades de l'Utah ont été le moteur et sont en attente d'expédition de Realm of Caring, la clinique basée à Colorado Springs spécialisée dans la CDB.

Urquhart dit que les Federaux n'appliqueront pas la loi federale sur les parents d'enfants épileptiques, mais il aurait préféré ne pas les exposer à l'éventuelle observation attentive de la Drug Enforcement Administration.

Urquhart a affirmé:

  •     «En ce moment, DEA semble se laver les mains en ce qui concerne le CDB en attente pour l'Utah, mais rien ne garantit qu'ils vont en rester la. Donc, c'est l'un des projets de loi pour l'Utah qui est une priorité pour moi, nous avons des parents qui souffrent, nous avons des enfants qui souffrent, nous pensons que les lois fédérales sont aveugles au sort de ces personnes, de sorte que nous representants de l'état nous allons autoriser certaines choses. "

  • Urquhart a également fait une demande rhétorique, "Avons-nous été assez utile ou doit-on aller plus loin?" Le projet de loi favorise la vente des huiles d'extrait de cannabis dans les magasins d'alcool, proposé dans un premier temps dans les pharmacies mais en raison de la réglementation fédérale sur les banques et les licences en ce qui concerne la marijuana ; cela n'as pas été possible , a notre plus grand regret.

Alors que de nombreux Etats sont de passage au CDB (11 maintenant au total), mais pour obtenir le médicament à des enfants épileptiques est une autre affaire. Tant dans l'Utah et à New York , des jeunes patients épileptiques sont morts peu de temps après les législatures des États qui ont adopté des lois pro-CDB sans les dispositions pour que les enfants puissent y accéder.  Avoir un contrôle de chaque état diminuerait la crainte d'activité illicite, on supprimerait les frais de voyage extravagants et les risque entre les etats ( lois federales ), on lancerait donc l'infrastructure locale pour la production de CBD.



le Medical Center pour enfants de Salt Lake City, est sur le point de lancer son étude sur le cannabis de qualité pharmaceutique faite par un fabricant de médicaments ; GW Pharmaceuticals avec 25 enfants malades. En outre, de nombreux patients dans l'Utah se sentent optimistes quant à la précitée d'une legislation de la CDB de l'entraide a l'echelle du pays.

Cependant, jusqu'à présent, il n'y a eu que six cartes délivrés par le ministère de l'Utah de la Santé pour l'acces au CBD,du au blocage federal. Charlee’s Law contient des restrictions et exigent également 400 $ de taxes et un certificat d'un neurologue , pour l'obtention du produit

Il doit également faire face à la demande de tout le pays et a reçu actuellement des listes d'attente interminable pour ceux qui veulent un traitement.  resultat de la bataille juridique entre l'etat et le federal à suivre printemps 2015

Source Internal : cannabis-infos.com

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Depuis 1981, 19 millions d'Américains ont été arrêtés pour la marijuana

Une nouvelle étude menée par John Gettman de Shenandoah University a constaté que malgré les mouvements tectoniques de l'opinion publique au cours de la dernière décennie, les arrestations pour la marijuana continuent d'augmenter.

En 2012, la marijuana représentait près de la moitié (48,3%) de toutes les arrestations liées aux stupéfiants à l'échelle nationale. Cela représente 750 000 arrestations en 360 jours, et représente l'augmentation de 110% depuis 1991. Dans le Wisconsin, Wyoming, le New Hampshire, et le Nebraska, la marijuana représentait environ les deux tiers de toutes les arrestations liées aux stupéfiants.

Le Nebraska, l'Illinois,la Louisiane, New York et le District de Columbia prétendre à des taux plus élevés pour les arrestations de marijuana dans l'étude de Gettman ; Washington DC prenait le titre de numéro 1 (ces données ont été recueillies avant la décriminalisation de la DC ).

L'étude conclut que, malgré ces chiffres effarants (19 millions d'arrestations pour la marijuana faites depuis 1981) , "elle reste largement utilisé, et n'est pas considéré comme risqué par une majorité de la population, et largement disponible sur le marché. L'énorme écart dans l'utilisation et les arrestations au niveau de l'Etat démontrent pourquoi la prohibition de la marijuana a échoué et n'est pas une politique nationale viable sur le long therme ",malheuresement les lobbys pharmaceutiques et les sociétés qui dependent du nombre de prisonniers dans les prisons manoeuvrent a coup de millions de dollars contre la légalisation de la marijuana dans tout le pays fin d'assurer leur profits. ( voir article ici )
Source internal : cannabis-infos.com

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mercredi 30 juillet 2014

"Eaze", l'application qui livre du cannabis en 10 minutes

L'application pour smartphones, uniquement disponible pour l'instant à San Francisco, propose à ses clients de la marijuana thérapeutique.

A San Francisco, une nouvelle application pour smartphones, "Eaze", promet des livraisons de cannabis thérapeutique à domicile en 10 minutes sur le modèle du très populaire service de taxis "Uber".

Eaze, lancé mardi 29 juillet (www.eazeup.com), se présente dans un communiqué comme "un nouveau service de soins de santé à domicile qui permet aux patients d'accéder facilement, rapidement et professionnellement à de la marijuana thérapeutique par l'intermédiaire d'une application pour appareils mobiles".

Le service, gratuit pour les utilisateurs et qui "facture une petite commission aux dispensaires", est pour l'instant disponible uniquement à San Francisco et Eaze promet "des livraisons en 10 minutes en moyenne".

Suivi en direct de la livraison
Les patients "peuvent s'enregistrer depuis leur téléphone portable en quelques minutes", et le logiciel de Eaze permet de vérifier tout aussi rapidement leurs ordonnances médicales.

"Le processus pour acheter de la marijuana médicale peut être lent, compliqué et imprévisible", et les "vérifications d'ordonnances peuvent prendre 24 heures et doivent être répétées pour chaque dispensaire" habilité à en vendre, argumente le communiqué d'Eaze.

Après le placement d'une commande, l'application déploie automatiquement un soignant pour livrer le "médicament" chez les patients, qui peuvent "utiliser une application mobile pour suivre en direct la progression de leur livraison", à l'image de la très populaire application de taxis Uber.

Selon une porte-parole, Eaze avait déjà reçu mardi "plusieurs centaines" de demandes d'information de clients potentiels.

La marijuana médicale légale dans 20 Etats

Alors que la consommation de marijuana médicale a été légalisée en Californie en 1997, Eaze veut s'étendre dans le sud de cet Etat de l'ouest américain, ainsi que dans les "20 Etats où la marijuana médicale est dorénavant légale", et également dans le Colorado (ouest) et l'Etat de Washington (nord-ouest) où le cannabis à usage récréatif a été dépénalisé.

Une autre application, Canary, développée par des étudiants de l'Université de Washington à Seattle, prévoit aussi de commencer à faciliter la livraison de marijuana médicale à domicile dans la région de Seattle. Elle se heurte toutefois à une législation complexe : si la consommation de cannabis récréatif vient d'être légalisée dans l'Etat de Washington, celle de marijuana médicale ne l'est pas forcément et a fortiori sa livraison.

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mardi 29 juillet 2014

Une initiative au Colorado supprimerait les amendes et les peines pour possession de cannabis



Alors que les villes du Colorado ne légalisent que des quantités limitées de cannabis pour les adultes de 21 et plus depuis 2012, la possession de cannabis est toujours un probleme juridique , en fait, vous pouvez toujours être condamné à une amende et même arrêtés pour avoir plus d'une once (28.34grs) sur vous à un moment donné .

Un militant Colorado tente de changer cela grâce à une initiative de vote qui supprimerait des pénalités de possession de cannabis dans le code penal. Initiative de scrutin # 3  proposé : permettrait d'éradiquer toutes les amendes et les peines pour la possession de cannabis, et de garantir aucunes poursuites, dans la Constitution du Colorado.

Mais ses partisans ont juste une semaine de plus pour recueillir les signatures nécessaires au vote de cet amendement, et ils sont un peu à la traîne.

Voici le libellé de l'Initiative # 3:

  •     Il y aura un amendement à la constitution interdisant les tribunaux du Colorado d'imposer une amende ou une peine pour possession de cannabis.

Si cela semble familier, c'est parce que le promoteur de cet amendement Michelle LaMay avait déjà essayé en 2012, quand elle a tenté de mettre la proposition sur le bulletin de vote pour la première fois.

La possession de moins d'une once de cannabis est légale dans le Colorado aujourd'hui. Mais LeMay fait valoir que le Colorado devrait se débarrasser de toutes les amendes et les peines pour possession de cannabis "parce que les gens trouvent que la peine est incompatible avec les dégâts considerable au niveau judiciaire que peuvent faire la possession de cannabis imposé aux gens du Colorado" et la punition "dépasse les coûts fiscaux et sociaux aux contrevants".

En fait, M. Lemay estime que cet amendement pourrait avoir un impact financier positif. "Cela permettrait de réduire considérablement le coût pour les contribuables de la condamnation à l'exécution,et ainsi liberer les tribunaux pour ce genres de faits" dit-elle.
Source Internal : cannabis-infos.com

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les femmes et le cannabis

Fumer de l'herbe n'a jamais été uniquement un « truc de mecs », mais la majorité des études semble suggérer exactement le contraire. D'où la question : où sont les femmes de l'herbe ? 

Le fossé entre les sexes pour ce qui est des femmes et du cannabis est un mystère bien connu. Pendant de nombreuses années, fumer de l'herbe a été perçu comme un plaisir – ou un vice - largement masculin. Cette vision incroyablement biaisée a provoqué la marginalisation des femmes comme objets de la « canna-culture » et non contributeurs. Le vieux stéréotype de la femme vêtue de peu et tenant un bang de manière suggestive résume à peu près l'identité de la fumeuse aux yeux des médias. Les clips, les films et les médias sociaux ont tous joué un rôle dans ce que j'appelle un exaspérante « manipulation cannabique », dont l'aboutissement est l'effacement presque total des femmes.

Les femmes dans la « société des fumeurs » actuelle

Les données semblent suggérer que les femmes représentent une proportion infime (mais en croissance continue) des consommateurs de cannabis. Ceci dit, les études sur le sujet ont tendance à varier. Une des ces études, réalisée aux États-Unis, a en effet découvert qu'il y avait « un fossé des sexes entre le nombre d'homme et de femmes ayant essayé le cannabis au cours de leur vie ». Selon les statistiques, 47% des hommes et seulement 30% des femmes ont admis avoir essayé le cannabis à un moment de leur vie. Avec de tels chiffres, et bien d'autres études suggérant des résultats similaires, il est difficile de nier l'existence du fossé entre les sexes. Mais pourquoi existe-t-il ? Il est illusoire de chercher une raison unique derrière cet état de fait, c'est plutôt une combinaison de facteurs, et de nombreuses théories ont émergé pour y répondre. « Des inquiétudes subconscientes sur la remise en question de constructions sociales bien ancrées » en est une (et plutôt longue), alors qu'une autre théorie parle de « la réelle peur des répercussions juridiques ». En en effet, dans des régions particulièrement oppressives, les mères s'inquiètent de devoir perdre leurs enfants si elles fument de l'herbe.

Les spéculations allant bon train, on peut affirmer sans crainte de se tromper que c'est en effet une multitude de forces différentes qui provoquent ce fossé entre les hommes et les femmes pour le cannabis. Des forces de nature sociale, culturelle et émotionnelle.
Cependant, les femmes ont récemment commencé à se libérer de leurs chaînes culturelles pour faire leurs premiers pas dans le nouveau monde de l'herbe. Des femmes pionniers, des entrepreneurs et visionnaires marquent de leur présence ce monde majoritairement masculin. Un bon exemple est Christie Lunsford, une femme et mère de 43 ans venue de Denver au Colorado. Son histoire (racontée dans l'article du Denver Post, voir le lien plus bas), est celle d'une femme qui s'est sentie isolée dans le milieu du cannabis médical plein d'hommes. Selon l'article, « elle s'est rendue à des réunions du secteur du cannabis médical, et c'était la seule femme dans l'assemblée ». Avec ses propres mots, elle décrit le soulagement de voir une autre femme. « La première fois que j'ai vu une autre femme, j'étais très excitée. C'était en 2010 ». En même temps, bon nombre de communautés et alliances ont vu le jour, associations impliquant des femmes et du cannabis. Le fer de lance est la ORML Women’s Alliance (www.normlwomensalliance.org), ainsi que Moms for Marijuana (www.momsformarijuana.org).

Ayant évolué dans le marketing, le développement et les ventes de cannabis, Christie se rend maintenant à des conférences de l'industrie du cannabis qui ne rassemblent que des femmes, et qui sont uniquement pour les femmes. Cette transition reflète les progrès continus réalisés dans la réévaluation de la place de la femme dans « le monde de l'herbe ». Les femmes ne font pas que se jeter sur un secteur construit par des hommes pour en tirer des bénéfices grâce aux opportunités d'affaires (du moins aux États-Unis). Elles remodèlent en chemin l'identité centrée sur les hommes du cannabis.

En jugeant par le nombre de mouvements conduits par des femmes dans l'industrie du cannabis actuellement (dans le monde entier), il est juste de dire que les femmes marquent bel et bien de leur empreinte les masses de fumeurs masculins. J'irai même jusqu'à dire que nous verrons dans les années qui viennent l'apparition de films de fumeurs pour femmes, sans parler d'un flot ininterrompu de produits conçus pour les femmes. Une vision hautement attendue.

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5 mythes autour du cannabis


Connaître les mensonges et les mythes entourant le cannabis est important. Ce sont ces mythes, répandus depuis si longtemps, qui sont la raison pour laquelle beaucoup de personnes s'opposent à la légalisation. Les dissiper est donc vital. 

Le cannabis est utilisé par l'humanité depuis des milliers d'années, à des fins médicales comme récréatives. A travers l'histoire de l'humanité, le cannabis a été utilisé et partagé librement, sans persécution ni discrimination. Ce n'est qu'au cours de la dernière centaine d'année que nous en avons fait une substance illégale, sans aucun fondement scientifique pour justifier l'interdiction. La prohibition du cannabis est en grande partie le résultat de mensonges d'industriels et de politiciens, qui le voyaient comme une menace et un bouc émissaire pour la xénophobie. Cependant, avec la croissance de la popularité de la substance, la communauté scientifique a commencé à mener des recherches sur les effets exacts du cannabis sur l'homme, et ses éventuelles utilisations médicales.

Les découvertes de la plupart de ces recherches sont de nature à faire ouvrir les yeux, et l'opinion publique est de plus en plus consciente de ce que le cannabis peut apporter à l'humanité. Ceci a entraîné une augmentation des soutiens au mouvement pour le cannabis, et à une vision bien plus positive de la substance par l'opinion. Tout ceci est très bien, mais des mythes flottent encore, des mythes que les activistes anti-cannabis s'empressent d'ériger en vérité avec peu ou pas de preuves et sans y réfléchir.
Ce qui suit présente 5 des plus grands mythes sur le cannabis, mythes qui doivent être pris en compte et brisés pour mettre fin aux frustrations souvent rencontrés par les activistes pro-cannabis.

1. « Le cannabis est dangereux »

C'est probablement le plus grand des mythes. Le cannabis serait dangereux, en consommer serait nocif : c'est absurde. A ce jour, il n'existe aucun décès enregistré directement lié à la consommation de cannabis. C'est vrai que le cannabis a été un facteur aggravant les risques de mort, mais ces cas sont en général liés au dangers de son commerce illégal (la violence des gangs et des trafiquants) ou dus à des accidents provoqués par une consommation irresponsable. Il n'existe aucun élément suggérant que les composants du cannabis sont réellement nocifs.
Ceci pousse les opposants au cannabis à déclarer qu'en fumer est nocif. C'est encore une fois une demi-vérité : le cannabis n'est pas en lui-même le problème. Fumer n'importe quelle plante est mauvais. C'est le processus de combustion qui créée des toxines, toxines qui à long terme sont nocives pour la santé. Cependant, si vous vaporisez, mangez ou buvez le cannabis, quelle qu'en soit la forme, aucune de ces toxines n'est créée.
Nous ne sommes pas en train de dire que le cannabis est à 100 % sûr et sans danger. Tout comme l'alcool, le cannabis doit être consommé avec modération et et manière responsable. Consommer trop d'une substance est mauvais, c'est vrai même avec l'eau. Tout dépend de chacun et des particularités de chaque individu. Mais quand on considère que beaucoup de scientifiques pensent que l'alcool et le tabac sont bien plus dangereux pour la société et l'individu que le cannabis, le fait que le cannabis soit illégal alors que les autres substances ne le sont pas semble stupide.

2. « Le cannabis est une passerelle vers des drogues plus dures »

C'est un argument utilisé par beaucoup de personnes, surtout ceux ayant des enfants et qui essayent de prouver le danger représenté par « la pente glissante » des drogues.
Il existe une corrélation entre la consommation de cannabis et de drogues dures. Cependant, une corrélation n'implique pas une causalité. Beaucoup de consommateurs de drogues dures consomment également du cannabis, mais le contraire n'est pas vrai. En 1999, après des recherches extensives, l'Institute of Medicine of the National Academy of Science a livré au Congrès américain un rapport expliquant qu'il n'existait pas de preuves concluantes suggérant que la consommation de cannabis à des fins médicales et récréatives constituait une passerelle vers des drogues plus dures.
Certaines études réalisées depuis suggèrent même que la consommation d'alcool mène plus probablement aux drogues dures. Et si l'énorme majorité des personnes peut consommer de l'alcool sans en venir aux drogues dures, alors c'est également vrai pour le cannabis.

3. « Le cannabis endommage le cerveau »

C'est une idée largement répandue que l'herbe tuerait les cellules du cerveau, ce qui affecterait toutes sortes de fonctions cognitives, dont la mémoire et l'intelligence. Rien n'est plus éloigné de la réalité que cette idée. Des études récentes suggèrent que le cannabis protège les cellules du cerveau des dégâts provoqués par d'autres substances nocives pour les cellules, comme l'alcool. Le cannabis peut même favoriser la neurogenèse (la création de nouvelles cellules du cerveau).
Cette idée est associée à celle qui veut que le cannabis rende paresseux et sans motivation. C'est sûr que certains consommateurs de cannabis ont ce type de comportement, mais d'un autre côté, d'autres consommateurs réguliers sont PDG, courent des marathons, sont très éduqués, occupent des positions de pouvoir et mènent des existences parfaitement normales. C'est encore un cas de mauvaise représentation par les médias et du recours à l'image stéréotypée du « hippie » quand on parle du cannabis. Ce n'est pas le cannabis qui provoque la paresse. Le cannabis est attirant pour ceux qui sont naturellement décontractés et paresseux, tout comme il est attirant pour ceux qui sont actifs et en mouvement. Bien sûr, certaines variétés de cannabis ont un effet sédatif à court terme, mais ceci ne provoque pas à long terme de paresse, apathie ou abattement. Ce fait est appuyé par des études qui montrent le peu de preuves soutenant l'idée que le cannabis provoque des syndromes de perte de motivation.

4. « Le cannabis est interdit pour de bonnes raisons »

C'est l'un des mythes les plus frustrants sur le cannabis, même s'ils le sont tous. Beaucoup avancent l'argument que le cannabis est illégal, et qu'il doit l'être pour une raison. Cette raison n'est autre que la cupidité et les manipulations politiques. Ce n'est pas le résultat de découvertes scientifiques ou d'un quelconque danger qui ont interdit le cannabis et son cousin le chanvre. Des géants industriels dont les activités étaient menacées par le chanvre ont fait campagne pour interdire le chanvre et le cannabis. Ils ont mené une campagne mensongère de propagande par la peur, en faisant porter le blâme des crimes commis par des minorités ethniques par le cannabis.
Quelles industries étaient menacées ? Principalement l'industrie du papier et du pétrole, car le chanvre a le potentiel de les remplacer tous les deux. Les deux plus grandes entreprises dans ces secteurs étaient également les voix les plus fortes contre les « dangers » du cannabis. Rappelez-vous que la vraie menace pour eux était le chanvre, et non le cannabis ; mais le cannabis a été utilisé comme bouc émissaire pour interdire les deux substances.
Ce n'est que maintenant que l'opinion publique commence à réaliser qu'on lui a menti sur la nature du cannabis, ce qui grossit le nombre de voix appelant à une réforme des politiques sur la drogue. Un bon exemple de ce phénomène est le Dr Gupta, un éminent médecin américain qui s'est tout d'abord opposé à la légalisation, mais qui a changé d'avis une fois qu'il a cherché par lui-même à démêler le vrai du faux. Il a même publiquement déclaré que nous avons tous été « systématiquement induits en erreur » sur la vraie nature de la plante.

5. « Le cannabis provoque la psychose »

Un mythe qui inquiète beaucoup de personnes est que la consommation à long terme de cannabis provoquerait la psychose et d'autres troubles de la santé mentale. En vérité, il n'existe que peu de preuves pour appuyer ces affirmations, et certaines études (basées sur des troubles mentaux spécifiques) les réfutent même complètement. En fait, une étude très récente publiée dans le journal Schizophrenia Research a découvert que le cannabis n'avait aucun effet sur les risques de survenue de psychose, même chez les patients à haut risque.
Source : zamnesia.fr

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La Colombie pourrait être le prochain pays à légaliser le cannabis


Après avoir poursuivi sévèrement les infractions liées à la marijuana pendant des années, la Colombie à décriminalisé le cannabis (et cocaïne) en 2012, ce qui en toxicomanie, est devenu un «problème de santé publique." Maintenant, derrière le Parti libéral du pays, la Colombie a un projet de loi sur la table à légaliser la marijuana médicale .

A partir de maintenant, la production et la distribution de cannabis en Colombie demeure une infraction punissable. Mais le projet de loi du Parti libéral, soutenu par le chef du parti le sénateur Juan Manuel Galan vise à refléter la récente réforme de l'Uruguay et de créer un programme de marijuana nationale .

Voici ce que Galan à dit la radio Blu de Bogota : ( source colombia Report )

  •     "Je vais établir un projet de loi pour légaliser l'usage thérapeutique de la marijuana [...] Nous allons promouvoir cette initiative dans le cadre que le Parti libéral doit être un parti qui favorise les idées libérales,et les idées progressistes."

Ce projet de loi n'est pas clair à ce stade, et si elle se réfère à la légalisation de la "marijuana médicale," qui cherche à monétiser et légitimer dans le pays la marijuana et son chiffre d'affaires pour la nation. Compte tenu de ces paramètres, il semble probable que la Colombie-comme l'Uruguay pourrait-progressivement offrir l'acces à la marijuana médicale, et pas seulement se limiteraux patient en phase terminale.

en Colombie on sait que ce soit par les cartels ou l'État, les citoyens n'auront aucuns problèmes à accéder au cannabis. Ainsi, l'astuce judicieuse pour les bénéfices du pays serait de créer un système juridique viable.

Alors que le projet de loi doit passer par le Congrès Colombien avant d'atteindre les électeurs, Galan croit aux études de terrain et scientifiques du parti (qui seront présentées au Congrès) comme preuve indiscutable pour le besoin de la légalisation du cannabis. Considérant que le leader actuel de la Colombie le président Juan Manuel Santos a affirmé publiquement sa guerre contre la drogue comme un échec complet, ce projet de loi a un air optimiste et une chance d'aller le voter n'est pas exclue a l'heure actuelle.

Cette proposition a pour but de faire évoluer les politiques de drogues archaïques de la Colombie actuelle et de changer la donne autour du cannabis et de la santé publique, par opposition à l'activité criminelle.

La Colombie a une longue histoire de sang avec le trafic de drogue et les cartels. le double objectif du projet de loi est d'éradiquer le crime en lui supprimant un revenu et de faire bénéficier l'économie de la nation qui est au plus bas.

Le capital de la cocaïne dans le monde a, depuis l'époque de Pablo Escobar, également aux prises avec une vaste gamme de corruption interne dans son service de police prit un essor fulgurant à l'echelle planetaire. Comme dans le graphique ci-dessous, il faudra encore un effort sérieux pour réduire le rôle central de la nation Colombienne dans le trafic de drogue :




Source Internal : cannabis-infos.com

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L'union de protection des consommateurs de cannabis est lancé dans le Colorado

L'Union des consommateurs de cannabis annonce son lancement officiel cette semaine à Denver, Colorado. L'association a pour but d'éduquer la communauté en offrant à ses membres l'information , l'appui juridique ,le controle du produit , et la défense du consommateur.

Denver, CO - L' lance le groupe de surveillance des consommateurs de cannabis , travaillant exclusivement pour les droits des consommateurs. Contrairement à d'autres organisations qui, historiquement, ont travaillé à sa légalisation, l'Union des consommateurs de cannabis est établi par les consommateurs, exclusivement pour les consommateurs. Cela inclut la promotion des relations avec les entreprises locales, nationales et internationales qui partagent les mêmes philosophies de pratiques commerciales éthiques, les droits des consommateurs et la sécurité publique.



L'Union des consommateurs de cannabis se concentrera sur les questions qui ont une incidence du cannabis directement avec les consommateurs. Ceci inclut la protection des consommateurs contre la fixation des prix abusifs, de pesticides chimiques et d'engrais, le manque de contrôle de la qualité, mauvais service client, et d'autres pratiques commerciales contraires à l'éthique que les consommateurs de l'impact. Les membres sont des consommateurs individuels et les soignants qui veulent s'assurer que les produits et services de haute qualité sont fournis pour la nouvelle industrie. D'autres programmes en cours de lancement par l'Union des consommateurs de cannabis sont la sensibilisation du SSPT, qui se concentrera sur les questions liées au cannabis et le SSPT, et Et les parents consommateurs, qui sera une ressource pour les parents qui utilisent le cannabis, ou qui ont des enfants qui utilisent le cannabis pour traiter les maladies.

Il ya d'énormes quantités d'avantages pour devenir membre de l'Union des consommateurs de cannabis, comme la participation à des appels à l'action, des réunions de groupes qui renforcent les communautés, les alertes des consommateurs envers de mauvais dispensaires ou produits . Les membres profitent de 10% - 20% de réduction de part les entreprises participantes. Les entreprises peuvent devenir un partenaire marchand Approuvé à la consommation en acceptant les directives de l'Union des consommateurs de cannabis et bénéficiera d'une visibilité accrue sur le site Web de 'Cannabis Consumers Union' et les médias sociaux. Les entreprises participantes reçoivent également un autocollant à afficher a l'entrée de leurs etablissement pour montrer qu'ils sont un distributeur préféré de l'union et cela leurs donnent un gage de qualité ( comme pour le guide Michelin en gros ). A suivre ...

Source Internal : cannabis-infos.com

  • The Cannabis Consumers Union’s headquarters will be in Denver, CO, and the 501 (c) (3) organization will be headed by Larisa E. Bolivar, a trailblazer and pioneer with 14 years in the cannabis movement. She founded the first dispensary in Denver, CO prior to H.B. 1284 that set the current licensing scheme, and is currently getting her M.A. of Policy with a concentration in national and international policy reform at Regis University.

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Une ancienne prison du Colorado pourrait se transformer en ferme a cannabis

En Mars, Nicolas Erker natif du Colorado a racheté a la ville le Correctional Facility ( l'ancienne prison du comté de Brush ). Maintenant, apres plus de six mois et le succès juridique de la loi sur le cannabis du Colorado , Erker veut faire de son achat un centre de culture et de commencer à vendre du cannabis dans le comté.

Le seul problème ? la ville de Brush avec sa devise "Homegrow Hapiness" -a un moratoire sur les entreprises de marijuana en place jusqu'en 2016. Ce moratoire signifie qu'aucun individu ne peut légalement cultiver du cannabis ou vendre de la marijuana au détail dans les limites du comté.

Heureusement, le moratoire peut être revu à tout moment. Pour plaider sa cause et faire sauter ce moratoire, Erker à écrit une lettre au conseil municipal de Brush, pour leur demander poliment de lever le moratoire et lui permettre de transformer la prison vide en un champ de cannabis.

Du point de vue de Erker, l'objectif de l'établissement ne serait pas juste pour attirer une armée de fumeurs de cannabis tout styles,dans cette ville du Nord-Est de Denver , mais cela serait une aubaine pour sa ville et son économie locale.

   * Il a dit qu'il veut fabriquer un produit qui est légal dans le Colorado et cela en créant des emplois et augmenter les revenus de la ville de Brush.
    Selon Erker, l'installation pourrait initialement générer 31 emplois et des recettes fiscales substantielles, ce qui pourrait aider à construire de meilleures écoles, et que ces recettes fiscales provenant de la vente de marijuana dans l'état n'est disponible que pour les communautés qui participent à la production ou à la vente de marijuana.

    Erker dit l'installation serait protégé "par une clôture et mise a l'écart du reste de la communauté et que nous voudrions la police a proximité des installations." 

Le conseil municipal se réunira aujourd'hui a Brush afin d'examiner les résultats d'un sondage du conseil interne en ce qui concerne la levée du moratoire de la ville et le plan de Erker.

Indépendamment de la décision de la municipalité de Brush, cette possibilité représente un signe des temps et affiche une autre conséquence de la légalisation du cannabis : l'absence de crime signifie prisons sont vides et a la place des détenus : il vas pousser du cannabis ( Qui aurait parié la dessus il y a 10 à 15 ans ).
Source Internal : cannabis-infos.com

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Cannabis médical : les électeurs de Floride sont pour

Une très large majorité des électeurs de Floride est en faveur de la légalisation du cannabis à usage médical, indique un sondage publié à quatre mois d’un référendum sur la question organisé dans cet État du sud-est des Etats-Unis.

Quelque 88 % des électeurs se disent d’accord pour autoriser la vente de cannabis à des fins médicales, contre 10 % qui s’y opposent, selon cette enquête réalisée par l’institut Quinnipiac. De même, une majorité (55 %) de personnes interrogées est en faveur de la dépénalisation de la possession de petites quantités de marijuana à usage récréatif, contre 41 % qui ne le souhaitent pas, selon ce sondage réalisé auprès de 1 251 électeurs entre le 17 et le 21 juillet.

Le cannabis à usage médical est autorisé à l’heure actuelle dans 23 des 50 États américains, en plus de la capitale Washington. La vente de marijuana à des fins récréatives est quant à elle autorisée dans les États du Colorado et de Washington.
AFP

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lundi 28 juillet 2014

Etats unis : le Cannabis , la fin du tabou

Plus d'un tiers des adultes américains en ont fumé, y compris les trois derniers présidents. Elle a inspiré des dizaines de chansons et de films. On n'a plus à en parler à voix basse ou à la dissimuler dans des arrière-salles ou les sous-sols. Malgré des décennies de prohibition, la marijuana est entrée dans le quotidien des Américains. 

Quand le comité de rédaction du New York Times a appelé le gouvernement fédéral à cesser d'interdire la marijuana [dans son éditorial du 27 juillet] et à laisser les Etats décider de sa réglementation, le quotidien relayait le point de vue exprimé sondages après sondages par la majorité des Américains : la marijuana devrait être légale.

"Le coût social des lois sur la marijuana est très élevé, peut-on lire dans l'éditorial du New York Times. En 2012, il y a eu 658 000 arrestations pour détention de marijuana, selon les chiffres du FBI, contre 256 000 pour possession de cocaïne, d'héroïne ou de leurs dérivés. Pis encore, une telle politique aboutit à des effets racistes, les jeunes Noirs étant les premiers visés : leurs vies sont gâchées et l'on crée de nouvelles générations de criminels".

Revirement culturel 

Depuis une dizaine d'années, ceux qui soutiennent la légalisation de la marijuana sont de plus en plus nombreux. Le phénomène s'est amplifié ces deux dernières années, à tel point que militants et sondeurs l'ont comparé à l'effondrement soudain de l'opposition au mariage homosexuel. Dans les deux cas, on peut parler d'un revirement culturel.
En 2012, quand le Colorado a légalisé l'usage récréatif de la marijuana par voie référendaire, les habitants de l'Etat ont été plus nombreux à voter pour le cannabis légal que pour le président Obama (qui l'a emporté d'une courte tête face à Romney). Dans l'Etat de Washington, le projet de légalisation a également été adopté haut la main.
Pourtant, en utilisant à la fois les référendums, la législation et les actions en justice, le mariage homosexuel a remporté un bien plus grand succès à travers l'ensemble des Etats-Unis.

La fin d'une nouvelle prohibition

Pour la marijuana, une meilleure comparaison historique est la prohibition, période du début du XXe siècle pendant laquelle l'alcool a été interdit. Les pouvoirs publics ont évolué plus lentement sur le cannabis. Bien souvent, ils ont pris des mesures progressives comme la dépénalisation de la possession de petites quantités de drogue ou la légalisation de son emploi médicinal.
Le tabou a lentement reculé. L'ancien président démocrate Bill Clinton a avoué avoir fumé de la Marijuana mais il s'est empressé de préciser qu'il n'avais pas inhalé. L'ex-président républicain George W. Bush a avoué à un ami lors d'une conversation enregistrée qu'il ne voulait pas répondre à de questions sur son ancien usage de la marijuana, car il ne voulait pas "qu'un jeune fasse ce que [j'ai] essayé". Obama, lui, a été plus audacieux, déclarant avant même d'être élu : "Bien sûr que j'ai inhalé - sinon, ce n'était pas intéressant !"
Dans une interview au New Yorker publiée en janvier, Obama a affirmé qu'à ses yeux ce n'est "pas plus dangereux que l'alcool". Mais il craignait qu'en autorisant la marijuana on ne s'engage sur un terrain glissant pouvant aboutir à la légalisation de drogues plus dangereuses.
L'American Medical Association (AMA), tout en appelant à davantage d'essais cliniques, doute que la marijuana médicale réponde aux critères de sécurité fédérale pour les prescriptions. De son côté, l'American Psychiatric Association (APA), dans son plus récent communiqué, rappelait que dans l'état actuel des connaissances scientifiques "rien ne permet d'affirmer que la marijuana puisse servir en quoi que ce soit dans le traitement d'aucun trouble psychiatrique".
Certains craignent également qu'en légalisant le secteur de la marijuana on ne suscite l'apparition de nouveaux géants qui seraient l'équivalent de ceux du tabac, tout en faisant grimper les taux de dépendance et de troubles psychiques.

Une expérience sociale

Dans l'Etat de Washington, où des points de vente de marijuana ont ouvert le 8 juillet, les élus affirment qu'il est encore trop tôt pour tirer des conclusions.
L'avocate Alison Holcomb, l'un des auteurs de l'Initiative 502 [référendum d'initiative populaire], estime que "dans l'Etat de Washington, les choses ont l'air d'aller tout à fait dans le bon sens". Dès les dix premiers jours, souligne-t-elle, les ventes ont généré 318 000 dollars de recettes fiscales.
Holcomb ajoute qu'en 2012, l'année de l'adoption de l'Initiative 502, les forces de l'ordre avaient effectué dans tout l'Etat 5 531 arrestations en rapport avec la marijuana. En 2013, ce chiffre avait été ramené à 120.
"J'ai appelé tous les gouverneurs à avancer prudemment sur cette question, parce qu'il y a des risques que nous commençons seulement à mesurer, a affirmé, en juin, John Hickenlooper, le gouverneur démocrate du Colorado, avant d'ajouter : mais cela va être l'une des grandes expériences sociales du XXIe siècle".
Source :  http://www.courrierinternational.com

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Les Américains vont-ils tous pouvoir consommer légalement du cannabis ?

En déplacement dans le Colorado début juillet, Barack Obama n'y a pas échappé. Le président des Etats-Unis s'est vu proposer, par l'un de ses concitoyens, de partager un joint dans un bar. Refus poli du locataire du bureau ovale, sous la forme d'un éclat de rire. La scène est inédite pour un président américain, mais elle pourrait bien se reproduire dans le futur.
Le Colorado est l'un des deux Etats, avec Washington, à avoir pour l'instant autorisé l'usage du cannabis à des fins récréatives. Et le très respecté New York Times milite dans un éditorial, samedi 26 juillet, pour la légalisation de la substance, considérée au niveau fédéral comme aussi dangereuse que l'héroïne depuis une loi de 1970.
Tous les Américains vont-ils finir par se convertir à l'or vert ? Partisans et opposants du cannabis affûtent leurs arguments, à quelques mois de nouvelles élections nationales.

Oui, car l'administration Obama laisse faire les Etats

Barack Obama n'en fait pas mystère : il est lui même un ancien consommateur de cannabis. Le président des Etats-Unis en fait la confession dans son livre Les rêves de mon père, paru en 1995 outre-Atlantique. Dans cette autobiographie, il ne défend pourtant pas son comportement, assurant qu'il a failli devenir un "junkie".
Dans une interview au New Yorker en janvier, il considère toujours cela comme "une mauvaise habitude" et "un vice", mais finalement "pas si différent des cigarettes" et "pas plus dangereux que l'alcool". Le chef de l'Etat, dans cet entretien, regrette que de nombreux jeunes issus des minorités pauvres soient condamnés à de la prison pour avoir fumé de l'herbe. Même s'il ne s'agit pas d'une "panacée" selon lui, il ne s'oppose pas à la décision du Colorado et de Washington de légaliser le cannabis.
Dans les faits, son administration est même plutôt tolérante. Même si officiellement, le cannabis est interdit au niveau fédéral, s'en remet aux Etats pour ce qui est de la consommation de "petites quantités" de marijuana, préférant se concentrer notamment sur la lutte contre la consommation des mineurs ou les usages criminels.

Oui, car le processus est en marche

La fin de la prohibition est déjà en marche, assure le New York Times. D'après le quotidien de référence, 76% de la population américaine vit déjà dans des Etats où la législation sur le cannabis a été assouplie. Dans la grande majorité des cas, son usage a été autorisé pour des raisons médicales ou la consommation personnelle a été décriminalisée.


Le Colorado a été le premier à autoriser la consommation de cannabis à des fins récréatives, avec une loi entrée en vigueur début 2014, pour les plus de 21 ans. Depuis, le business de la "weed" est florissant dans cet Etat qui bénéficie d'importantes retombées sous la forme de taxes sur les ventes. L'argent servira à financer la construction d'écoles ainsi que des campagnes de prévention contre l'usage de la drogue chez les jeunes. Depuis début juillet, des coffee shops ont également ouverts dans l'Etat de Washington, sur la côte ouest.

Oui, car de nouveaux référendums sont prévus

Le Colorado et Washington pourraient ne pas rester seuls bien longtemps. Les Etats-Unis se préparent à de nouvelles élections législatives, programmées en novembre. A cette occasion, et comme il est d'usage, les citoyens seront également appelés aux urnes pour se prononcer sur des référendums locaux.
Dans deux Etats, l'Alaska et l'Oregon, les habitants pourront décider d'autoriser la consommation de cannabis pour un usage récréatif. Les partisans de la légalisation ont obtenu suffisament de signatures pour organiser un référendum et mènent désormais campagne pour que la mesure soit validée par les électeurs. Les derniers sondages leur sont plutôt favorables, rapporte Vox.
Et ce n'est pas fini : des initiatives similaires sont en route dans une demi-douzaine d'Etats américains, comme le Nevada, l'Arizona et la Californie, précise Slate. 2016, année présidentielle aux Etats-Unis, sera peut-être également l'occasion d'une poussée en faveur du cannabis à travers le pays.

Non, car les Américains restent très divisés sur la question

Inenvisageable il y a quelques années seulement, le mariage pour tous gagne du terrain aux Etats-Unis : désormais, les unions entre couples de même sexe sont légales dans 20 Etats, selon le décompte de CNN. La légalisation du cannabis suivra-t-elle la même voie ? C'est la thèse défendue par certains libéraux, comme dans le magazine The American Prospect.
Mais tout n'est pas aussi simple. La plupart des Américains soutiennent l'autorisation de la consommation de cannabis à des fins médicales : 78%, selon un récent sondage de la radio NPR. Le pourcentage tombe à 43% quand il s'agit de la légalisation à des fins récréatives. Cette question divise nettement les générations, note Politico : seuls un quart des plus de 65 ans sont en faveur d'un tel changement.
Les Etats-Unis sont donc loin du consensus et les politiques se gardent bien de s'aventurer sur ce terrain glissant. A ce jour, aucun gouverneur ou sénateur n'a osé soutenir la légalisation, note le Huffington Post. D'autant que les anti-cannabis sont aussi mobilisés, à la recherche d'anecdotes pour alimenter leur discours, raconte Politico, comme des accidents supposément provoqués par des conducteurs drogués ou des pâtisseries surdosées en cannabis.

Non, car il reste un obstacle majeur pour les consommateurs

Certes, les habitants du Colorado et de Washington peuvent désormais acheter leur herbe au grand jour, sans crainte d'être arrêtés par la police. Mais la légalisation ne signifie pas pour autant qu'ils sont à l'abri d'autres mesures de représailles.
Les consommateurs risquent toujours de subir les foudres de leur employeur, explique Fortune. Au Colorado par exemple, un paraplégique qui consommait du cannabis pour des raisons médicales a été renvoyé par son entreprise, au motif qu'il enfreignait le règlement interne anti-drogue. En 2013, la Cour d'appel de l'Etat a validé le licenciement, même si la consommation a eu lieu en dehors du temps de travail, au motif que l'herbe est toujours illégale au niveau fédéral.
Amy Dannemiller, organisatrice de soirées cannabis, a subi le même sort. Son employeur principal n'a pas apprécié de la voir apparaître à la télévision pour raconter ses activités, il lui a donc demandé de démissionner, raconte le site spécialisé The Cannabist. Dans la plupart des cas, même si un Etat américain se décide à légaliser le cannabis, explique Salon, il faudra aussi une loi spécifique pour éviter aux consommateurs de perdre leur emploi. Le chemin risque donc d'être long

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Brother Lono : la narco BD qui décape !!

Plus féroce que "100 Bullets", "Brother Lono" plonge le lecteur dans une véritable descente aux enfers, aussi vraie que nature...

Dans certaines régions du Mexique, la misère est largement partagée par le commun des mortels, paradis des narco-trafiquants, où la vie ne vaut guère plus qu’une brindille prête à se consumer. C’est ici, que Lono déambule à la suite de son séjour aux États-Unis où il s’est fait tirer une balle dans la poitrine par Dizzy Cordoba...

Mais le gaillard est rude et costaud. Il vit désormais au sein d’un monastère aidant des orphelins et assistant le Père Perez dans sa routine. Mais pour un type comme Lono, ce calme annonce forcément une tempête. Un cartel de drogue va rapidement perturber la sérénité de l’endroit.

Crimes organisés, règlements de comptes, magistrats et prêtres corrompus - sans oublier les traditionnels gangsters aux sales gueules patibulaires, ni les jeunes filles désirables seulement habillées de leur vertu....

Brother Lono 100 Bullets se reçoit comme un uppercut. Vous pensiez avoir tout vu avec 100 Bullets ? Que nenni : cet épilogue poursuit sa course à la violence d’une manière encore plus exacerbée encore, les morts s’empilant plus vite que ne peut le recevoir la conscience des vivants. Le public de la série-mère connait certes son code interne, hard boiled s’il en est. Il n’empêche, ici, la cruauté dépasse les bornes et atteint son paroxysme.

La force de Brian Azzarello réside dans sa capacité à captiver d’entrée le lecteur, grâce notamment à une succession rapide de séquences-choc. Les premières pages parlent d’elles-mêmes : un homme de main, Ernesto, paye au prix fort son silence, torturé de manière inhumaine par ses prétendus potes du milieu. Quelques pages plus tard, un autres sbire se fait découper les doigts puis arracher le nez, avant de finir une balle en pleine tête... Dans Brother Lono 100 Bullets, ça cogne sec, ça canarde à tout-va, ça découpe et ça disperse, comme dirait l’autre... Triste spectacle d’un milieu ultra-violent, malsain, malheureusement assez proche du monde réel.

Patricia Mulvihill nous en met plein la vue avec sa palette de nuances qui illustre l’univers glauque dans lequel évoluent les protagonistes : ambiances rougeâtres ponctuées d’ombres bleutées et verdâtres qui en soulignent le relief, tandis que des textures jaunes et brunes donnent de la dimension à l’arrière champ. Le résultat est surprenant et vaut réellement le détour. Son talent sert parfaitement le dessin de Risso Eduardo, sombre à souhait.

Les amateurs de polars durs et brutaux trouveront certes leur compte avec cet album, et en demanderont peut-être même davantage une fois celui-ci consommé. Ce style d’ouvrage s’adresse, on s’en doute, à un public averti mais également d’amateurs car tout un chacun n’est pas forcément désireux d’assister à un telle récurrence de massacres et d’émotions fortes.




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Resultats de la Hightimes Medical Cannabis Cup Michigan 2014



Voici les résultats de la High Times Cannabis Cup médicale 2014 dans le Michigan. Félicitations à tous les gagnants - et merci le grand État du Michigan pour son hospitalité !

Indica
1ST - Oasis Medical Seeds - Paris OG
2ND - Herbal Solutions - Alien Dawg F2
3RD - Herban Legendz, LLC - Grape OX
 
Sativa
1ST - Arborside Compassion - CATFISH
2ND - Organibliss - Ghost Train Haze #1
3RD - We Grow Education and Collective Centers - MelonGum
 
Hybrid
1ST - Herbal Solutions - Gorilla Glue
2ND - Pure West Compassion Club - Death Star
3RD - Kushman Veganics for Buds & Roses - Veganic Candyland
 
Concentrate
1ST - Mr. B's Extracts - Raskal's Lemon
2ND - 710 Savant - Kosher Kush Dewaxed
3RD - Oasis Medical / Vader Extracts / Dab Vader - Candy Jack Shatter
 
Non-Solvent Hash
1ST - NLG - Jedi Kush Ice Wax
2ND - Arborside Compassion - HeadCandy Kush Hash
3RD - New World Seeds Resource Center - Northern Hash Plant Hash
 
Edible
1ST - DepoTown - Captain Kirks' Lime in the Coconut
2ND - Metro Detroit Compassion Club Inc. - Special Fx Labs - Dark Chocolate Mint - Quad Chunk
3RD - Arborside Compassion - Arborside Delights Gorilla Paw
 
CBD
Flowers - Detroit Nutrient Company / IDK Farms - Canatonic
Concentrates - CANNA Vest / care of Michigan Hemp Company - Concentrated Hemp Oil "CBD"
Edibles - MTG - Flower of Life Extract CBD Pills w/ Vernon Phillips
 
Best Booth
1ST - Vader Extracts
2ND - DABSTIX
3RD - Pure West Compassion Club
 
Best Product
1ST - Dab Stix by Dab Stix
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3RD - Terpp Extractors by Terpp Extractors
 
Best Glass
1ST - Nexus Glass by Nexus Glass
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3RD - Silika Double Recycler by Silika Glass

Complement d'infos videos : Cliquez ici 
site officiel : http://medcancup.com/

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Le cannabis n'est pas tabou au Zion Garden

A l'occasion du festival de reggae, le festival Off a invité Jean-Pierre Galland, co-fondateur du Collectif d'Information et de Recherche Cannabique, pour parler du cannabis aux festivaliers.
Peu invités dans les festivals et absents depuis quelques années des écrans télé, les membres du CIRC (Collectif d'Information et de Recherche Cannabique) ont été conviés à participer au Zion Garden cette année. 


Le co-fondateur de cette association, Jean-Pierre Galland est venu présenter une série de conférences sur les objectifs de ce collectif vieux de 23 ans. "Notre association a pour but la collecte et la diffusion d'information sur le cannabis. Nous voulons démontrer que la loi répressive n'a servi à rien. En 1969, soit un an avant la mise en place de la politique prohibitionniste, on comptait 900 interpellations par an. Combien en comptons-nous aujourd'hui ? La répression n'a pas réduit le nombre de fumeurs", explique Jean-Pierre Galland.

"Il faut une éducation autour du cannabis"

Dans une société où parler de cannabis est encore globalement tabou, le CIRC défend l'idée qu'il faut non seulement dépénaliser le cannabis mais aussi le légaliser. "Nous ne nions pas les effets dangereux que peut avoir une prise excessive de cannabis. Mais ne pas en parler, c'est fermer les yeux sur une situation qui existe: beaucoup de personne fument des joints, confie Jean-Pierre Galland, Il faut une éducation autour du cannabis."

Ouvrir des "Cannabistrots"
 

C'est justement ce que propose le collectif au travers de leurs conférences. Un stand est aussi présent pendant toute la durée du festival pour répondre aux questions des curieux, fumeurs ou non. "On publie des tracts expliquant les dangers. Car le problème avec les campagnes de prévention organisées par les gouvernements, c'est justement leur côté caricatural. Ils font marrer les ados et flipper les parents, mais au fond ne donnent pas d'informations complètes", raconte le militant. Ici on parle risques mais on délivre aussi des renseignements sur la culture de la plante, le cannabis thérapeutique et sur les situations dans les autres pays. Très impliqué politiquement le CIRC espère que les échéances politiques des années à venir vont faire évoluer la position sur le cannabis, "Il faudrait une légalisation encadrée avec des cultivateurs licenciés et contrôlés ainsi que l'ouverture de Cannabistrots similaires aux Coffee Shop d'Amsterdam." Réponse en 2017.
 Source : Cliquez ici

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dimanche 27 juillet 2014

Pour le plaisir des yeux : les participants de la HighTimes Michigan Medical Cup 2014

Un petit highlight des participants de la medical cannabis cup du Michigan qui se deroule en ce moment meme  , du lourd , du tres lourd cette année : allez hop ; un regal des yeux !!

Part I 

Part II ( Edit 28.07.2014 )


Quelques photos : 

Bobby Black's "American Veterans and Cannabis" panel was standing room only:

Body painted ladies abound:

As was Danny Danko's grow seminar with DJ Short:

Russ Belville's "Marijuana Civil Rights" session was amazing:

The weather is slightly steamy:

The guys from Vader Extracts are having fun:

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Un projet de loi pour protéger les patients et les fournisseurs de marijuana médicale de l'Etat fédéral

Kentucky : le sénateur Rand Paul , cette semaine se leve pour l'Etat des droits de la marijuana médicale, le dépôt d'un amendement à l'emploi du projet de loi du sénateur John Walsh qui permettrait aux 33 états avec une certaine forme de cannabis médical légalisés à "adopter et mettre en œuvre des lois qui autorisent son utilisation, sa distribution , et la possession ou la culture de la marijuana à des fins médicales "sans que le gouvernement fédéral intervienne.

"Ce que nous essayons de faire est de maintenir la loi en permettant aux États qui ont changé leurs lois acceptant la marijuana médicale , pour que les médecins puissent prescrire et que les gens soient en mesure d'obtenir ces ordonnances sans être inquiété par le gouvernement fédéral en venant perquisisionner chez eux et de les arrêter, " a déclaré au Huffington Post  Brian Darling le porte-parole du bureau de Rand Paul.

Cet amendement est un projet de loi fédéral , parrainé par Reps Dana Rohrbacher et Sam Farr de Californie, a été approuvé en mai.

Malheureusement, les experts politiques disent que le projet de loi de Paul ne sera probablement jamais passer au vote et que le Sénat semble être incapable de parvenir à un consensus sur quoi que ce soit en ce moment.
Source Internal : cannabis-infos.com

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[Recette] Comment faire une barre céréalière au cannabis

Le cannabis n'est pas consommé uniquement à des fins récréatives. Pour certaines personnes, c'est un remède et une partie essentielle de l'existence. L'inclure dans votre petit-déjeuner peut être une manière savoureuse, pratique et saine de commencer la journée.

Quand il s'agit de consommer du cannabis médical au quotidien, beaucoup de patients se tournent vers des solutions comestibles. C'est parce que, même si les effets mettent plus de temps à se faire sentir, manger du cannabis est bien plus puissant et dure plus longtemps que d'en fumer ou d'en vaporiser.

Ce qui suit est une recette pour préparer votre propre barre céréalière au cannabis, délicieuse, saine et nourrissante : parfait pour commencer la journée, ou comme en-cas sain !

Il vous faudra :

De l'huile de cannabis (2 fois votre dose habituelle)
40 grammes d'amandes trempées
25 grammes de noix trempées
35 grammes de graines de tournesol
4 dates fraîches
¼ de cuillère à café de cannelle
Une pincée de sel

Instructions :

1. Avec un mixeur alimentaire, broyez les noix et les graines jusqu'à ce qu'elles soient finement coupées.
2. Ajoutez les dates et mélangez jusqu'à obtenir une consistance pâteuse.
3. Versez le mélange dans un grand saladier et ajoutez-y l'huile de cannabis, la cannelle et le sel. Mélangez le tout bien en profondeur.
4. Prenez un plat /plaque à four et placez-y un papier de cuisson huilé.
5. Versez-y votre mélange et répartissez-le en une couche fine.
6. Ensuite, le mélange est passé au four pour le déshydrater. Pour de meilleurs résultats, réglez votre four sur 45° Celsius et laissez sécher pendant 10-12 heures. Si vous êtes pressé, vous pouvez régler votre four sur 120° Celsius et laisser cuire pendant 20 minutes. Vous saurez que c'est prêt quand le mélange prend une coloration marron-doré.
7. Sortez le tout du four et laissez-le refroidir et se solidifier.
Et voilà ! Vous avez un délicieux en-cas au cannabis, prêt à être consommé avec votre petit-déjeuner, ou un peu de yaourt.

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