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samedi 30 novembre 2013

Photos Project : Des femmes accro à l'héroïne dans les rues de Vancouver

Le plus souvent, la dépendance et les combats qui l'accompagne ne sont pas montrés ouvertement. Le photographe Lincoln Clarkes a exploré les rues de Vancouver, pour prendre en photo plus de 400 femmes qui sont accro à l'héroïne.

Ce projet a commencé avec Patricia Johnson, 20 ans. Son innocence et sa maladie ont interpellé Clarkes. Elle a invité le photographe chez elle et l'a directement accueilli dans son monde, plein de dangers, de méfiance et de rêves amputés. C'est ensuite que Clarkes a photographié d'autres accros à l'héroïne et à la cocaïne, rencontrées sur son chemin. Il montre la face cachée de Vancouver, et offre à ces femmes un petit moment sous les projecteurs, elles qui sont négligées depuis longtemps.

Sa série de photos, intitulée "Héroïnes", est d'une évidence visuelle qui retourne l'estomac: ces réalités sont largement ignorées et restent enfouies. Clarkes expose les cicatrices à la fois physiques et émotionnelles de femmes qui sont entre la vie et la mort.

Le titre de cette série évoque la façon dont les drogues ont pris le dessus sur la vie de ces femmes, mais les projette en protagonistes et héroïnes plutôt qu'uniquement en victimes ou en malheureuses statistiques. Sur ces femmes photographiées, plusieurs auraient disparu. Cinq d'entre elles ont même été tuées par un tueur en série.


Pour certains, ces photos sont une exposition nécessaire d'un aspect de la société. Pour d'autres, ces images relèvent de l'exploitation et sont insensibles. Au HuffPost US, Clarkes ne sait pas que répondre, lorsqu'on lui demande de commenter son travail: "Je ne sais pas par où commencer, ni que dire que ces images ne disent pas déjà."







Source : http://www.huffingtonpost.fr



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Devenir un trafiquant de drogue à la Breaking Bad


Le youtubeur AvneretVous est un grand fan de la série Breaking Bad. Après avoir suivi cette superbe série, il a décidé de se mettre lui aussi au trafic de drogue et fabriquer de la fausse méthamphétamine en bonbon. Après avoir réalisé sa caméra cachée délirante, Avner nous a contacté sur Facebook pour relayer sa vidéo.

« Bonjour, je me présente, Avner, je suis un Youtuber depuis bientôt 1 an. J’ai un concept vidéo de caméra cachée et parodie et j’ai voulu rendre hommage à la série Breaking Bad dans ma dernière vidéo, en combinant mes 2 concepts dans l’esprit de Breaking Bad, j’ai pris un plaisir monstre à réaliser cette vidéo, j’ai espoir que la vidéo vous plaise assez pour être publié sur votre site ».
Voir ici :



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Robbie Williams accro au cannabis

La paternité n’a pas complètement changé Robbie Williams. Le chanteur de 40 ans, marié à Ayda Field et père d’une fillette d’un an, a confié au « Daily Mirror » qu’il fumait régulièrement du cannabis. 
« Je n’ai pas bu depuis 13 ans. Mais la dernière fois que j’ai plané, c’était il y a deux jours. Juste un peu de drogue pour me détendre », a-t-il souligné. Le Britannique a déjà fait de nombreuses cures de désintoxication pour soigner son addiction aux médicaments, à l’alcool ou encore à la cocaïne. Mais il affirme être désormais capable de garder le contrôle et de prendre ses responsabilités. En juin dernier, il avait toutefois déclaré être prêt à reprendre de la drogue avec sa fille Theodora si celle-ci devenait, à son tour, dépendante.
Source : http://www.elle.fr/

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vendredi 29 novembre 2013

Maurice: La communauté rasta défend "l'usage spirituel du cannabis" et demande sa dépénalisation


Après avoir manifesté lundi dernier au cœur de Port-Louis pour demander une dépénalisation du cannabis, appelé localement "gandia", la communauté rastafari de l'île Maurice, via le mouvement "La Voix des Rastas ", a tenu un point presse hier.

Le groupe interpelle ainsi directement les autorités sur une dépénalisation du cannabis dans l'île expliquant que la consommation du gandia fait partie de leur "culture, philosophie et religion".

Le porte-parole du mouvement, Dorian Olivier, a également annoncé que la communauté rastafari compte entamer une grève de la faim si les autorités ne répondent pas concrètement à cette revendication.

"La Voix des Rastas" souhaite aussi organiser prochainement "des marches pacifiques" à Port-Louis pour défendre "l'usage spirituel" du cannabis, comme l'indique le journal Le Défi Quotidien.
Source : http://www.zinfos974.com/

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Le Cannabis pour traiter des maladies auto-immunes

Ce n’est pas une blague mais belle est bien une étude menée par des chercheurs américains de l’Université de Caroline du sud, qui conclue que le tétrahydrocannabiol, principe actif de la marijuana (cannabis), peut avoir un usage médicale dans le traitement de personnes souffrant de maladies auto-immunes.

Le tétrahydrocannabiol est connu des chercheurs pour avoir des effets analgésiques et utilisé dans le traitement de la douleur, il réduit aussi les nausées et stimule l’appétit en plus de l’effet sédatif le rendant utile en cas de chimiothérapie pour le traitement du cancer.

D’après l’étude publiée dans le Journal of Biological Chemistry, le tétrahydrocannabiol pourrait agir sur le microARN (miARN), ce petit ARN est un simple brin non codant jouant un rôle essentiel dans la régulation de l’expression des gènes. Les chercheurs pensent que en modifiant l’expression des miARN pourrait être la clé du traitement d’un certain nombre de maladies auto-immunes (sclérose en plaque, arthrite, diabète de type 1)

D’après Dr Venkatesh Hegde, présentateur de l’étude, les effets du cannabis peuvent être une arme à double tranchant : une capacité à supprimer l’inflammation comme traitement efficace contre les maladies inflammatoires et auto-immunes, peut exposent aussi à la dépendance et à d’autres effets néfastes sur d’autres organes.

Drs Pakash et Mitzi Nagarkatti ont étudié les effets du cannabis sur plus de 10 ans et étaient les premiers a démontré l’effet bénéfique sur l’inflammation, Mitzi, qui est chef du département d’immunologie à l’école de médecine de l’université de Caroline déclare « Cette nouvelle découverte sur l’expression du microARN et son contrôle par le tétrahydrocannabiol ouvre des nouvelles perspectives pour de nouvelles découvertes médicales contre les maladies auto-immunes.

Sources & bibliographie

Distinct microRNA expression profile and targeted biological pathways in functional myeloid-derived suppressor cells induced by Δ9-Tetrahydrocannabinol in vivo. Venkatesh L. Hegde, Sunil Tomar, Austin Jackson, Roshni Rao,and Co. http://www.jbc.org/content/early/2013/11/07/jbc.M113.503037.abstract?sid=7da5b2a0-9940-4ea3-90b4-eed1d9107a51

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Canada: pour sa santé, un policier réclame le droit de fumer du cannabis

Après de nombreux pays d’Europe, la France autorise la vente et la consommation de médicaments dérivés de cette plante, efficaces contre les douleurs liées à certaines maladies.

Un policier de la Gendarmerie royale du Canada (GRC), qui souffre de stress post-traumatique lié à son travail, a suscité un débat jeudi en demandant de pouvoir consommer du cannabis thérapeutique en uniforme.Le caporal Ronald Francis a dit avoir obtenu une ordonnance lui permettant de fumer du cannabis, mais que ses supérieurs refusaient qu'il le fasse, du moins sur ses heures de travail, de crainte qu'il ne ternisse l'image de marque de la GRC. Sa demande a suscité des réactions nombreuses et contrastées.

Le ministre canadien de la Justice, Peter MacKay, a dit craindre qu'en acquiesçant à sa demande, la GRC ne donne "un très mauvais exemple aux Canadiens". Le caporal Francis a déclaré que le cannabis lui permettait de soulager les symptômes associés à sa maladie, ce que n'avaient pu faire auparavant des anti-dépresseurs. Il a affirmé fumer habituellement trois joints par jour, au moment des repas, même si son ordonnance l'autorise à une consommation beaucoup plus grande. "Je suis fonctionnel", a-t-il déclaré. "Mais mon système nerveux est détendu et cela fait une grande différence".

Le commissaire adjoint de la GRC, Gilles Moreau, a déclaré que la GRC avait le devoir de prendre en compte les besoins médicaux de ses emplois, tout en se souciant des effets sur les confrères ou des perceptions dans le public. Le caporal Francis est pour l'instant assigné à des tâches administratives et ne peut porter d'arme.
(Belga)

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Légalisation du cannabis en Uruguay, la lumière après les sombres heures du narcotrafic ?

Le Sénat uruguayen prévoit de voter le 10 décembre un projet de loi en faveur de la légalisation pure et simple du cannabis. S’il est ratifié, l’Uruguay sera le premier Etat de la région, et du monde, à organiser la production et la vente de cannabis. Objectif : couper l’herbe sous le pied des narcotrafiquants et lutter contre les violences liés au trafic.

Le projet a déjà été présenté à la Chambre des députés du pays fin juillet. Le résultat, positif, du vote avait été applaudi par une centaine d’élus fiers de ce qui pour eux représente une avancée majeure.

Et le pays semble savoir où il va. La loi prévoit une utilisation du cannabis extrêmement encadrée pour réduire les dérives. Un Institut de régulation et de contrôle du cannabis gérera essentiellement la distribution.

Dès 2014, les utilisateurs recensés, et majeurs, pourront se procurer près de 40 grammes de cannabis dans des pharmacies destinées à l’encadrement. Le prix devrait avoisiner les 0,75 euros par gramme.

L’auto-culture serait la première arme efficace contre le trafic illégal; les particuliers pourront faire pousser un maximum de six plants, pour leur consommation personnelle.

José Mujica Cordano, le président de l’Uruguay a fait de cette loi l’un des projets les plus importants de son mandat. Bien que la consommation ne soit pas actuellement pénalisée (même si le commerce l’est), le président a exprimé le fait qu’une légalisation encadrée permettrait des progrès majeurs, voire de régler le problème de trafic. C’est un véritable fléau pour le pays et ses voisins.

Les bénéfices de cette légalisation avoisinerait les 35 millions de dollars par an, qui seront directement réinjectés dans des programmes de luttes anti-addictions pour les jeunes.

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jeudi 28 novembre 2013

Caraïbes: la lutte contre le trafic de drogue, un enjeu majeur

Fort-de-France (France) - L'Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (Ocrtis) organise à partir de mardi en Martinique une conférence internationale consacrée à la lutte contre le trafic de drogue dans les Caraïbes.

Une cinquantaine de participants, représentant les différents services spécialisés français, dix pays (France, Royaume Uni, États-Unis, Espagne, Allemagne, Pays-Bas, Colombie, République Dominicaine, Brésil et Portugal), et plusieurs agences internationales (dont EUROPOL et INTERPOL), doivent échanger durant trois jours à Schoelcher sur la situation du trafic de drogue dans la Caraïbe.

Il s'agit "d'une problématique de plus en plus importante, avec des saisies de plus en plus importantes", a déclaré Eric Veaux, Directeur adjoint à la Direction Centrale de la Police Judiciaire, lors de la conférence de presse d'ouverture. 

Selon Michel Quillé, Directeur adjoint d'Europol, cette rencontre internationale a notamment pour but de parvenir à "une certaine coordination, pour éviter la duplication des moyens et des efforts", particulièrement en période de restrictions budgétaires.

Les nouvelles techniques des trafiquants seront évoquées, telles que la dissimulation de la drogue dans des torpilles cachées sous des bateaux, accessibles ensuite à des plongeurs venant récupérer les paquets.

Le sous-marin fait aussi partie des nouveaux moyens utilisés, "notamment entre l'Amérique du Sud et l'Amérique du Nord" précise Simon Riondet, chef de l'antenne Caraïbe de l'OCRTIS Antilles-Guyane. 

Patrick Laberche, numéro deux de l'OCRTIS à Nanterre, a par ailleurs pointé la "corruption dans les ports", de plus en plus structurée, ou "les points de faiblesse de sécurisation des aéroports", découverts lors de récentes saisies au Havre ou à Roissy.

L'ampleur du trafic via la zone Caraïbe a été illustrée récemment par la saisie de plus de 502 kg de cocaïne lors du démantèlement d'un trafic entre l'île et le port du Havre. 

L'antenne Caraïbes de l'Ocrtis, basée en Martinique, au sein de la base navale du Fort-Saint-Louis à Fort-de-France, a été au centre de cette opération hors norme qui a permis début novembre l'arrestation de 22 personnes. Le trafic provenait de la zone andine et la drogue était acheminée en Ile-de-France à partir des Antilles.

L'Octris antillais est chargé de coordonner le travail et les moyens de la police, des douanes, de la gendarmerie, de la Marine et de la Gendarmerie maritime.

Depuis 2004, date de sa création, 29 tonnes de cocaïne ont été saisies, 73 organisations démantelées et près de 1.000 personnes placées en garde à vue.

La région des Caraïbes est une plaque tournante du trafic de drogue, proche des trois principaux pays producteurs : le Pérou, la Colombie et la Bolivie, produisant à eux seuls "1.000 tonnes de cocaïne par an, dont 200 à 250 tonnes destinées chaque année à l'Europe", indique Simon Riondet. La drogue peut transiter par le Vénézuela, vers les Antilles puis l'Europe, ou par le Brésil, vers l'Afrique, puis l'Europe, pour y être revendue entre 35 et 50.000 euros le kilo ou entre 60 et 65 euros le gramme.


"La stratégie du bouclier"

L'antenne Caraïbes de l'OCRTIS compte une cinquantaine de personnes dont une douzaine de gendarmes, deux douaniers auxquelles s'ajoutent deux représentants de la Marine nationale et deux agents de liaison étrangers, un Britannique et un Espagnol. 

Ces enquêteurs chevronnés s'appuient sur des services opérationnels à l'étranger, et les réseaux de la DCI (Direction de coopération internationale) composée de gendarmes ou policiers français, officiers de liaison installés au Venezuela, en Colombie, au Brésil, Mexique, Surinam, Costa Rica, en Floride, Haïti ou République Dominicaine.

C'est "la stratégie du bouclier" pour intervenir avant que la drogue ne soit "disséminée" en Europe, explique Simon Riondet.

L'Octris traque les trafiquants et leurs mules, avec, aux Antilles, une constante problématique maritime. Simples voiliers, petits bateaux équipés de gros moteurs (les go-fast), conteneurs ou cargo, peuvent abriter de très gros trafics. Trois à cinq bateaux sont interceptés chaque année en zone caraïbe. 

Les mules peuvent revêtir des apparences parfois surprenantes. Simon Riondet se souvient ainsi d'un suspect âgé de 76 ans, interpellé dans un hôtel au mois d'août : pourtant valide, il s'apprêtait à s'envoler pour Paris, en fauteuil roulant, avec deux valises contenant 40 kilos de cocaïne.
AFP

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mercredi 27 novembre 2013

James Franco, baron de la drogue dans "Homefront", écrit par Stallone

James Franco, acteur et artiste touche-à-tout, se glisse dans la peau d'un baron local de la drogue dans "Homefront", un thriller moite et violent, empruntant à la fois au film d'action et au drame familial, écrit par Sylvester Stallone.

Le créateur de "Rambo" et "Rocky" a librement adapté un roman de l'écrivain Chuck Logan, populaire aux Etats-Unis pour sa série de livres mettant en scène Phil Broker, un ancien policier. Stallone est également le producteur du film, qui sort mercredi en Amérique du Nord (le 25 décembre en France).

Le rôle de Phil Broker a été confié au Britannique Jason Statham, un proche de Sylvester Stallone, qui en fait ici un veuf, ex-agent des stups activement recherché par le chef d'un cartel qu'il avait infiltré, venu se mettre au vert avec sa fille dans une petite ville de Louisiane.

Il se retrouve cependant très vite sur le radar de Gator (James Franco), un baron de la drogue, fabricant et fournisseur local de méthamphétamines, qui rêve d'étendre son territoire. Quand il découvre le passé de Broker, Gator échafaude un plan pour le livrer au cartel en échange d'une plus grosse part du gâteau.

 "J'ai trouvé que le film était bien construit et que c'était un intéressant personnage de méchant avec lequel je pourrais m'amuser", expliquait récemment James Franco lors d'une conférence de presse à Beverly Hills.

L'acteur de 35 ans, qui partage son temps entre ses activités de comédien, de peintre et d'enseignant, apporte une touche d'originalité au film, face à la composition plus classique de Jason Statham, qui retrouve son rôle habituel de justicier au grand coeur et aux gros bras.

Il est le pivot d'un trio englobant également sa soeur, dépendante aux méthamphétamines (Kate Bosworth), et sa complice et ex-compagne (Winona Ryder).

"Dans le scénario, il ne s'intéressait pas beaucoup à sa soeur. Elle est dépendante mais il lui met la drogue sous le nez", raconte James Franco. "Alors j'ai lu le livre (de Chuck Logan), comme Gary (Fleder, le réalisateur), et nous avons réalisé qu'ils pouvaient avoir une relation beaucoup plus complexe".

Stallone "écrit avec son coeur"

"En réalité, il aime sa soeur, il tient à elle et l'apprécie probablement plus qu'elle ne l'apprécie lui. Il voudrait tout lui donner, et ça le désespère de voir que ce qu'elle veut de lui (la drogue) est précisément ce qui la tue à petit feu", poursuit-il.

Kate Bosworth a précisé que l'aspect physique de son personnage, marqué par la dépendance aux drogues, avait été soigneusement étudié.

"Elle abuse d'elle-même tous les jours et cela commence à se voir. Nous voulions montrer qu'elle avait été tellement loin qu'elle s'exposait à un vrai danger physique. Mais en même temps, nous ne voulions pas qu'elle ait atteint un point de non-retour. Nous voulions qu'elle inspire encore l'espoir", dit-elle.

Entre ces deux femmes aux destins croisés, James Franco a cherché l'humanité de son personnage dans sa soif désespérée de pouvoir et son ambition démesurée.

Livrer Broker au cartel "est juste une façon pour lui d'agrandir son activité, de l'aider à atteindre son rêve, qui est de quitter cette ville et faire quelque chose de sa vie", dit-il. "C'est quelque chose que nous faisons tous, quel que soit notre boulot. Nous voulons réussir, avoir du succès".

"Nous pouvons tous comprendre cette part de lui-même, quand il franchit une ligne que nous ne franchirions pas nous-même, celle d'être prêt à faire du mal à autrui pour atteindre son rêve. On ne peut pas le suivre sur ce terrain-là, mais on peut comprendre ses motivations", poursuit-il.

Jason Statham a rappelé quant à lui les liens qui l'unissent à Sylvester Stallone, avec qui il a fait trois films, et rendu hommage à sa prolifique activité de scénariste -- plus de 20 scripts en 40 ans de carrière.

"On oublie souvent qu'il a écrit beaucoup de films et que c'est important pour lui", souligne-t-il. "Il écrit avec son coeur et ne se concentre pas seulement sur un ou deux personnages. Il nourrit toute l'histoire avec d'excellents rôles. Et il le fait très bien".




Source : http://actu.orange.fr/

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Santé Canada limite l'accès au cannabis médical

Un couple de Duhamel autorisé à produire et consommer du cannabis à des fins thérapeutiques défiera le gouvernement canadien ce printemps, lorsque le fédéral leur retirera le droit de faire pousser eux-mêmes leurs plants.

En octobre, Santé Canada a averti les 40 000 consommateurs légaux du pays que le Règlement sur l'accès à la marijuana à des fins médicales (RAMFM) allait se soumettre à un autre, dont l'appellation est à ne pas confondre: le Règlement sur la marijuana à des fins médicales (RMFM).

Justement, le terme «accès» a été retiré de l'appellation. Sa consommation à des fins thérapeutiques deviendra beaucoup plus compliquée à compter du 31 mars prochain.

Les 40 000 personnes visées par ce changement de cap du fédéral ne seront plus autorisées à cultiver de la marijuana dans une maison privée. Santé Canada ne permettra l'approvisionnement qu'auprès de personnes autorisées par le gouvernement.

Johnny Dupuis et sa conjointe Chantal Masson, de Duhamel, font partie de ces 40000 personnes. Les deux ont l'autorisation de limiter leurs souffrances en consommant du cannabis, mais devront détruire leurs plants et leurs réserves.

«On va tomber dans l'illégalité. Nous n'avons pas le choix», dit M. Dupuis.

«Produire un gramme de cannabis me coûte de 27 à 35 cents, explique M. Dupuis. Lorsque Santé Canada va imposer son nouveau règlement, en avril, le prix va grimper à 8 ou 10$. Ça va nous coûter une fortune...»

M. Dupuis utilise 42 grammes de cannabis pour produire 3 grammes de concentré. «J'ai besoin de 2 à 3 grammes de ce concentré par jour. Ça revient à 420$ par jour? Impossible de pouvoir me payer ça. Puis, fumer 42 grammes par jour... Je vais me ramasser chez le psychiatre.»

Dans la missive envoyée aux 40 000 consommateurs légaux au pays, Santé Canada évoque des raisons de sécurité. «Il a été maintes fois porté à l'attention de Santé Canada que le RAMFM pouvait facilement donner lieu à des abus. La pratique actuelle qui consiste à permettre aux personnes de faire pousser de la marijuana pour des raisons médicales pose des risques pour la sûreté et la sécurité des Canadiens. La valeur élevée de la marijuana sur le marché illicite accroît le risque de violation de domicile et de détournement vers le marché noir. De plus, ces lieux de production présentent souvent des dangers d'incendie et de prolifération de moisissures toxiques. Ces risques menacent non seulement les personnes autorisées à cultiver de la marijuana, mais également leurs voisins et membres de la collectivité.»

Le couple ne compte pas détruire son cannabis avant la date limite, tel que demandé par l'organisme fédéral. M. Dupuis se dit prêt à aller en prison pour défendre son droit. «C'est peut-être la seule façon de m'exprimer devant les autorités. Même le Nouveau Parti démocratique, qui nous disait autrefois vouloir nous aider, ne retourne presque plus nos appels.»

Le bureau de la députée néo-démocrate d'Argenteuil-Papineau-Mirabel, Mylène Freeman, n'a pas répondu à notre demande d'entrevue hier.

Johnny Dupuis s'est fait connaître à la fin des années 1990 pour sa lutte en faveur du cannabis thérapeutique.

Victimes d'un vol

Hier, le couple de Duhamel s'est présenté au palais de justice de Gatineau, dans le cadre de l'enquête préliminaire de Jordan Besner, un des deux jeunes hommes accusés d'avoir pénétré illégalement dans son domicile, en novembre 2012. Lui et son présumé complice, Nicolas Vandal L'Huillier, s'en seraient pris au couple dans le but de s'emparer de leur cannabis.

L'avocat de la défense, Jean-Michel Labrosse, a annoncé hier qu'il présenterait un alibi, lors de la reprise de l'enquête préliminaire, le 8 janvier.

Le couple de Duhamel avait été agressé le 4 novembre 2012, à la pointe d'armes à feu.
Source : http://www.lapresse.ca/
Complement : ici et la

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Tunisie : génération cannabis

Sévèrement réprimé, l'usage de stupéfiants est l'une des causes principales de la surpopulation carcérale en Tunisie. Au point que certains suggèrent de dépénaliser la consommation de haschich.
"L'ecstasy n'est plus de qualité. La bonne came est rare, mais on trouve de tout", assure Hayet, invitée à une soirée branchée où quelques joints circulent. Sujet tabou s'il en était sous Ben Ali, la consommation de stupéfiants est désormais abordée au grand jour. Depuis la révolution, l'usage de drogues, notamment d'anxiolytiques, a explosé, et les consommateurs, tout en restant prudents, craignent moins les indics ou une indiscrétion. Pourtant, la loi n'a pas changé et punit sévèrement la consommation de stupéfiants.

"Au rythme actuel, il faudrait mettre la moitié du pays sous les verrous", observe l'un des signataires d'une pétition pour la dépénalisation du cannabis. La drogue n'est en effet pas qu'un phénomène mondain ; elle touche toutes les couches de la population et plus particulièrement les jeunes, qui sont dans le collimateur de la police. "Ils sont plus facilement repérables que leurs aînés, qui connaissent nos pratiques, et ils nous permettent de remonter rapidement les filières", assure un ancien de la brigade des stupéfiants. Le tabassage à mort, le 2 novembre, au commissariat de Sidi el-Béchir (Tunis), de Walid Denguir, soupçonné de trafic de drogue, en dit long sur les méthodes employées par la police. Mais à Douar Hicher, quartier pauvre de la périphérie de Tunis, le commerce de stupéfiants va bon train. "Hier, j'ai fait un saut à El-Kabaria [autre bidonville de la capitale] pour ramener un kilo de zatla [résine de cannabis] en mobylette", confie sans fanfaronnade Wassim, dealer occasionnel.

Les ghettos des zones urbaines sont devenus des plaques tournantes du trafic. Il n'est pas rare qu'à certains carrefours des gamins de 14-16 ans revendent à la sauvette des joints, des barrettes de ­haschich ou des comprimés. Le fournisseur qui les emploie n'est jamais loin et les a à l'oeil. "Je peux obtenir tout ce que vous voulez", assure Amine, qui annonce les prix : "1,50 euro le cachet de Tranxène, 1 euro pour le Témesta et 600 euros le kilo de résine de cannabis." S'il explique que les médicaments proviennent de vols commis dans des hôpitaux ou d'ordonnances soutirées sous la menace à des médecins, il est sûr que, malgré les contrôles rigoureux, certaines pharmacies sont peu regardantes et vendent des produits inscrits au tableau B, sans prescription. "C'est un peu à la tête du client, mais il y a aussi des complicités, précise ce jeune de 22 ans qui suit les tendances du marché. Le cannabis a toujours la vedette, l'ecstasy est passée de mode, mais le "Sobitex" - déformation de Subutex, utilisé dans les traitements de substitution à l'héroïne - est de plus en plus demandé."

Une coutume non nocive et conviviale


Il y a cependant peu d'accros aux drogues dures, auxquelles on préfère le cannabis. Prohibée depuis l'indépendance, la consommation de chanvre ou takrouri est restée dans la mémoire collective comme une coutume non nocive et conviviale. "Dans les années 1930-1950, il était en vente libre dans de tout petits paquets. Il fallait le réduire en poudre fine. Planches et hachoirs étaient disponibles dans tous les cafés", se souvient El-Haj Sadok. Mais le temps des tkarlya - fumeurs d'herbe - est révolu. Aujourd'hui, le marché est demandeur de zatla. Si, contrairement au Maroc, la Tunisie n'est pas productrice de haschich, elle est devenue une étape de transit pour les filières, ce qui lui permet d'être servie au passage. "80 % des quantités de cannabis sont réexportées. La voie terrestre, la plus usitée, part du Maroc à destination de la Libye, via l'Algérie et la Tunisie.
Des chargements entiers de drogue en provenance d'Amérique du Sud sont débarqués dans de petits aéroports africains puis transbordés par hélicoptère ou par petit avion vers des points du Sahara, où des 4x4 aménagés prennent le relais.
Certains trafiquants préfèrent la mer, moins risquée ; en cas d'alerte, la cargaison est jetée par-dessus bord et sera récupérée sur les plages. Mais la surveillance des côtes pour freiner l'immigration clandestine a pratiquement fermé cette route", explique le docteur Tahar Cheniti, volontaire du Croissant-Rouge tunisien. Mais malgré une surveillance accrue aux frontières due à l'émergence du terrorisme, les services douaniers reconnaissent que pour 1 kg saisi, 10 kg échappent aux contrôles. "Les filières sont bien rodées. Des chargements entiers de drogue en provenance d'Amérique du Sud sont débarqués dans de petits aéroports africains puis transbordés par hélicoptère ou par petit avion vers des points du Sahara. À partir de là, des 4x4 aménagés les acheminent vers le nord à destination de l'Europe. La Tunisie est sur leur route", détaille un agent des douanes.

Mais la brigade des stupéfiants a noté que, depuis la révolution, les plantations de cannabis se sont également multipliées, particulièrement dans la région de Sidi Bouzid (Centre). "On gagne mieux notre vie qu'à s'échiner à produire des légumes" est l'argument de ces nouveaux cultivateurs. "Le cannabis n'est pas prohibé par le Coran mais par la loi, et ici, c'est le Coran qui prime", dit Amine, laissant entendre que, pour les extrémistes religieux, la drogue serait licite. Au point que les services aux frontières n'hésitent plus à évoquer un réseau de narcotrafiquants dont les revenus financeraient les mouvements jihadistes. "Du temps de Ben Ali, les gros bonnets de la drogue étaient liés au sérail - Moncef, frère de Ben Ali, était à la tête de la "couscous connection". Aujourd'hui, il n'y a plus de barons mais de nombreux et insaisissables petits dealers. Ils s'assurent, moyennant finances, des protections. Nul besoin de camions ou de grosses cylindrées, la marchandise franchit les frontières à dos d'ânes qui connaissent le chemin et n'ont pas besoin d'être accompagnés", raconte Ismaïl, un garde forestier à Fernana (Nord-Ouest).
Certains, comme le docteur Cheniti, estiment que la consommation de drogue n'a pas augmenté ; les chiffres étaient pratiquement les mêmes, mais ils étaient occultés par le pouvoir. Il n'empêche. Douze lycéens sur 30, dont 40,9 % de filles, ont connu le cannabis dans les établissements scolaires, tandis que les plus jeunes sont attirés par la colle. Les services sanitaires et de l'éducation sont en état d'alerte. Nabil Ben Salah, directeur général de la santé, affirme qu'"il faut un partenariat solidaire entre institutions et associations pour permettre au toxicomane de se soigner sans l'exonérer de sa responsabilité". Pourtant, le centre de Jebel el-Oust, à 40 km de Tunis, prévu à cet effet, est pratiquement confidentiel.

Santé et prévention
Lors des arrestations, un dépistage sanguin est effectué systématiquement. S'il révèle des traces de THC, les poursuites sont engagées automatiquement.
"Pré­vention et suivi font défaut. Le sida n'étant pas causé, en Tunisie, par l'usage de drogues injectables, on fait moins cas des risques des stupéfiants. On en revient surtout aux peines encourues", conclut Anas Ben Hriz, médecin hospitalier. La justice semble en effet instrumentaliser la consommation de cannabis de manière préoccupante. Dès qu'il s'agit de jeunes, le test sanguin est devenu systématique, même s'ils sont mis en examen pour d'autres motifs. Le rappeur Weld El 15 et Néjib Abidi, réalisateur du documentaire Circulation, ainsi que sept personnes qui travaillaient avec lui ont été poursuivis pour usage de stupéfiants alors que la police enquêtait sur le film. Si bien que l'avocat Ghazi Mrabet se dit "révolté et dégoûté" par cette pratique devenue l'une des principales causes de la surpopulation carcérale. Le directeur du pénitencier de la Mornaguia suggère, lui, d'envisager sérieusement la dépénalisation pour les consommateurs, souvent des jeunes qui, au contact de la prison, s'initient à la délinquance et connaissent ensuite des difficultés pour se réinsérer.


Un an de prison et 500 euros d'amende
L'usage de stupéfiants est un délit sanctionné par les articles 1, 2, 4 et 5 de la loi 52/1992, qui prévoit une peine d'une année d'incarcération et 500 euros d'amende pour les consommateurs de cannabis. Il n'est pas besoin de flagrant délit. Lors des arrestations, un dépistage sanguin est effectué systématiquement. S'il révèle des traces de tétrahydrocannabinol (THC), substance active du cannabis que le corps met quelques semaines à évacuer, les poursuites sont engagées automatiquement. Au Maroc, fumer un joint dans un lieu public entraîne une amende de 90 euros et deux mois de prison en cas de récidive, mais consommer du haschisch n'est pas une infraction et n'entraîne aucune poursuite.

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Liban : le trafic de cannabis explose depuis la guerre en Syrie

La culture du cannabis au Liban connaît une croissance fulgurante depuis le début du conflit en Syrie.

Abou Sami, cultivateur de cannabis au Liban, se frotte les mains: le conflit en Syrie voisine a non seulement paralysé l'Etat, l'empêchant de détruire ses cultures, mais a dopé le trafic, la frontière étant beaucoup moins contrôlée.


"Cette année, la récolte a été abondante. Les autorités ne nous ont pas livré la guerre car elles étaient occupées ailleurs", se félicite-t-il, en référence aux violences liées à la Syrie qui secouent le Liban depuis des mois.

L'armée éradiquait chaque année les quelques milliers d'hectares de cannabis dans la région est de la Békaa, si bien qu'en 2012, les cultivateurs ont attaqué ses bulldozers à la roquette, accusant le gouvernement de voler leur gagne-pain. La Békaa, terre de trafics où l'appartenance clanique prime sur le respect de l'Etat, partage une longue frontière poreuse avec la Syrie et est un bastion du Hezbollah chiite qui combat aux côtés du régime syrien.

Dans le village d'Abou Sami, situé en contrebas d'une montagne aride et que les cultivateurs interviewés par l'AFP souhaitent ne pas identifier, les "hangars" sont en activité en plein jour : c'est l'appellation donnée aux garages où cribleurs et égreneuses électriques transforment le cannabis en poudre.

Au bord des routes sinueuses, hommes et femmes sont à l’œuvre derrière des rideaux coulissants à moitié fermés. Une scène qui ne choque personne, car disent-ils, "c'est l'unique source de revenu".

"Vu les problèmes liés à la Syrie, l'Etat ne veut pas un nouveau front. Sinon, il nous serait tombé dessus", s'exclame Afif, autre cultivateur. "Les cultures n'ont pas été détruites cette année. La crise syrienne a beaucoup joué", confirme Joseph Skaff, chef de la lutte anti-drogue.

Une demande en forte hausse

Durant la guerre civile (1975-1990), le haschich libanais, réputé pour sa qualité, s'était transformé en une industrie générant des centaines de millions de dollars. Sous la pression de Washington, l'Etat a mené des campagnes d'éradication, promettant des cultures alternatives. Mais depuis l'échec d'un programme de l'ONU il y a 15 ans, c'est le bras de fer avec les cultivateurs qui réclament la légalisation de cette culture ancestrale.

Pour Abou Sami et Afif, l'instabilité actuelle au Liban est une aubaine tout comme la guerre chez le voisin. "Aujourd'hui, tout passe car c'est le chaos du côté syrien", assure Abou Sami. "Là où il y a la guerre, la drogue suit", dit-il, en contemplant un monticule de cannabis tamisé à la couleur brun foncé. Plus loin, deux vieilles brûlent les tiges pour effacer les traces.

Selon les agriculteurs, la demande a augmenté de plus de 50% depuis un an, et la majorité du haschich est écoulée vers la Syrie. Ils soutiennent qu'avec la guerre, les "hajjana", les gardes-frontières syriens, ont été remplacés par l'armée, mais celle-ci est prise par les combats.

Selon Abou Ali, en contact avec les dealers, les trafiquants de Syrie font passer la drogue vers les pays voisins: "De Turquie, la marchandise est vendue en Europe, et d'Irak et de Jordanie, elle est écoulée dans les pays du Golfe".

"Vu le risque, les 40 grammes qui se vendent 20 dollars au Liban s'achèteront 100 dollars en Syrie et 500 au moment d’arriver en Turquie". "Les combattants en Syrie achètent aussi en petites quantités pour consommer", assure-t-il.

"Peut-on s'opposer à Dieu ?"

Avec la hausse de la production, le kilo à 1.000 dollars s'achète aujourd'hui au Liban à 500.

Ici, on évite de commenter le rôle du Hezbollah, opposé à ce trafic mais accusé par ses détracteurs de fermer l’œil dans une région où il est tout-puissant. Le trafic profite aussi à des réfugiés syriens: Ibrahim a quitté son champ de betteraves à Afrine, localité kurde de la province septentrionale d'Alep, pour tamiser du cannabis.

"Avec la guerre, le nombre de Syriens travaillant le haschich ici a doublé", affirme l'homme de 32 ans, la voix couverte par le fracas du cribleur. "C'est très rentable", renchérit Samer, autre Syrien d'Afrine qui dit gagner 33 dollars par jour contre 13 comme vendeur de légumes.

Les villageois défendent avec force leur culture prohibée. "Elle fait vivre des familles entières", assure Afif, père de trois enfants. Ses deux hectares rapportent selon lui quelques dizaines de milliers de dollars par an. Les bénéfices des gros trafiquants peuvent atteindre 1,5 million de dollars. "Ici, aucune plante ne survit, sauf le haschisch. C'est un don de Dieu. Peut-on s'opposer à Dieu ?", s'esclaffe-t-il.

Source : http://www.infos.fr/

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Banalisation de la consommation de cannabis chez les Allemands

Bien que le cannabis continue de faire partie des substances illicites en Allemagne, sa consommation s'est banalisée au cours des dernières décennies. Entre 2 et 4 millions d'Allemands fumeraient des joints régulièrement, d'après les estimations rapportées par le quotidien berlinois Die Welt.

Si la culture et la vente de cannabis sont punies par la loi, sa consommation est plus ou moins tolérée en Allemagne. Une loi adoptée en 1994 permet aux consommateurs de posséder une certaine quantité de cannabis —dont le seuil varie selon les Länder— sans être inquiétés. Dans un Land plutôt permissif comme celui de Berlin, on peut par exemple avoir jusqu'à 15 grammes de cannabis en sa possession en toute légalité et se balader dans la rue en fumant en joint sans craindre d'être arrêté.

Mais cette dépénalisation ne satisfait pas le lobby allemand du cannabis, qui réclame la légalisation de sa culture et de sa vente sur le modèle californien. Les tenants d'une légalisation comptent dans leurs rangs des juristes reconnus, qui réclament la mise en place d'une commission d'enquête au Bundestag pour analyser les conséquences de la loi actuelle sur les stupéfiants. Une pétition pour la légalisation du cannabis, mise en ligne en février dernier, a pourtant étonnamment peiné à récolter un peu plus de 5.000 signatures, alors que l'objectif que s'étaient fixé les initiateurs était de 20.000 signatures.

Pour faire des économies et fumer de l'herbe de qualité, beaucoup de consommateurs de cannabis n'attendent pas une hypothétique nouvelle loi pour faire pousser leurs propres plantes sur leur balcon, dans leur jardin ou leurs champs. D'après les statistiques policières, le nombre de ces plantations illégales a explosé ces dernières années et les techniques se sont professionnalisées.

Alors que seule une vingtaine de petites et moyennes plantations ont été découvertes à Hambourg entre 2007 et 2010, la police a perquisitionné le double de jardineries installées dans des hangars, des appartements entiers ou des greniers rien qu'en 2012. Les régions rurales isolées des Länder de l'Est, tels le Mecklembourg-Vorpommen, constituent également le nouvel eldorado de ceux qui s'adonnent aux joie de la culture hydroponique.

Signe que le cannabis apparaît de plus en plus comme une drogue banale et inoffensive en Allemagne, la maire du quartier de Kreuzberg à Berlin a récemment proposé d'ouvrir un coffee shop à Görlitzer Park, un parc devenu un repaire de dealers de cannabis ces dernières années, dans le but de concurrencer ces derniers et d'enrayer ainsi les problèmes d'insécurité liés à leur présence.
Source : http://www.slate.fr

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mardi 26 novembre 2013

Marijuana: légalisée dans certains États américains, mais...

Des experts légaux préviennent les Canadiens qui envisagent de consommer de la marijuana dans les États américains qui viennent de la légaliser qu'ils pourraient être confrontés à des ennuis aux frontières.
Les électeurs des États de Washington et du Colorado ont opté pour la légalisation de la marijuana. Dès le printemps prochain, le système de vente au détail de la marijuana devrait d'ailleurs être implanté dans l'État de Washington.

Néanmoins, un avocat spécialisé en immigration aux États-Unis, Len Saunders, signale que toute admission à un douanier de l'intention de fumer de la marijuana pourrait signifier un refus d'entrer aux États-Unis, peut-être pour une période indéterminée.

L'avocat Saunders rappelle que malgré la légalité votée dans les États de Washington et du Colorado, les douaniers continuent d'appliquer les lois fédérales américaines à propos de la marijuana.

Cette information est d'ailleurs confirmée par Michael Milne, de l'Agence des douanes américaines.

Ainsi, les agents des postes frontaliers pourront encore interroger les voyageurs canadiens sur leur consommation de marijuana, y compris pour savoir s'ils entendent s'en procurer dans les États où elle a été légalisée.
Source : http://www.lapresse.ca

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Tunisie: oubliez les dealeurs, demandez les dealeuses!

230 Tunisiennes ont été impliquées dans la vente de drogues en 2012 et 20.000 se seraient déjà droguées.

La toxicomanie est devenue un des principaux problèmes de santé publique et un enjeu majeur de société.» C'est la principale inquiétude de l’Association tunisienne de la prévention contre la toxicomanie et de plusieurs autres ONG locales, explique le site Direct info.

Un thème qui parle particulièrement des femmes tunisiennes, dont la consommation de drogues a fortement évolué en 2012. D’après le site African manager, 20.000 Tunisiennes se sont déjà droguées et 230 auraient participé à la vente de drogue.

«200 mille Tunisiens sont toxicomanes dans notre pays, tous moyens confondus (zatla, colle, comprimés et seringues), soulignant que plus de 30 mille utilisent les seringues, méthode la plus dangereuse et cause principale de la propagation du VIH».

C’est donc pour lutter contre cette progression que différents colloques et campagnes d’informations sont organisés à travers le pays. Cependant la toxicomanie n'est pas la seule dépendance qui gangrène la Tunisie.

«L’alcoolisme, le tabagisme ou addictions comportementales, sans substances ou drogues encore l’addiction aux jeux, les conduites sexuelles, la cyberaddiction, les achats compulsifs, l’addiction au travail ou autres» ont également été évoqués par les association tunisiennes de prévention et de lutte contre la toxicomanie.
Source : http://www.slateafrique.com/

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Australie : Des étudiants utilisés comme mules



Des lycéens australiens sont utilisés par des barons de la drogue somme passeurs de drogues sur le territoire. Comment ? Zoom sur cette pratique inquiétante.

Un job étudiant pas comme les autres en Australie, territoire convoité des jeunes français. Les gros dealers australiens s'adressent désormais à des jeunes insoupçonnables pour rapporter de la drogue à Sydney, sans se faire pincer. C'est donc aux lycéens qu'ils font appel comme nous le rapporte The Guardian. C'est l'office des douanes et de protection des frontières (The Australian Customs and Border Protection Service) qui tire la sonnette d'alarme en alertant notamment les parents et chefs d'établissements de Sydney. Des réseaux criminels offriraient à des lycéens des centaines de dollars pour utiliser leurs "adresses", moins suspectes que d'autres. Pour faire parvenir de la drogue en Australie sans attirer l'attention, ces substances illégales sont cachées dans des casques de motos ou des ampoules. Une fois parvenus à ces adresses insoupçonnables, ces éléments sont ensuite transmis aux correspondants locaux de ces réseaux criminels.

Deux adolescents font déjà face à des accusations pour avoir accepté quelques centaines de dollars en échange de la bonne réception de ces biens. Un de ces objets contenait pas moins de 4 kilos de substances d'éphédrine, un produit dopant, qui permettrait de constituer de la méthamphétamine (crystal ou ice meth) d'une valeur de 250 000 dollars australiens. Les douanes australiennes précisent que ces dealers s'approcheraient des étudiants via Facebook, Twitter ou même directement par le biais de leur école. Ils promettent à ces derniers qu'ils n'auront pas de problèmes puisque "ne peuvent pas être légalement responsables à leur âge. Ce qui est complètement faux" précise Tim Fitzgerald, le directeur de l'aile locale des douanes. Il n'y a pas de profil spécialement visé par ces barons de la drogue. Une pratique inquiétante, surtout quand on sait que la MDMA est à la mode chez les jeunes étudiants, et que ces jeunes pourraient être tentés d'en essayer.
Source : http://www.meltycampus.fr

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Drogues : ce qu’il faut apprendre en substances

C’est une enquête fouillée sur les usages de drogues, licites ou non, à laquelle Libération s’associe. La «Global Drug Survey 2014» (GDS) vient de démarrer, tout le monde peut y participer (sur le site dédié) jusqu’au 20 décembre, de façon anonyme et confidentielle. Son but ? «Donner la parole à ceux qui connaissent le mieux les drogues : les consommateurs», explique Adam Winstock, le psychiatre londonien à l’origine du questionnaire lancé dans 17 pays. L’enquête étant basée sur une participation volontaire et non sur un échantillon déterminé, elle ne délivrera pas de résultats représentatifs. Mais elle donnera une idée des pratiques, loin des tabous, des fantasmes et des préjugés.
 «Plaisir». La GDS veut récolter «des faits, pas des opinions» sur les usages, afin d’informer tout le monde, à commencer par les consommateurs, et les aider à mieux gérer leur vie et leur santé. L’objectif n’est pas de les faire arrêter. «La plupart des gens qui boivent de l’alcool ou consomment des drogues ne deviennent pas dépendants et n’ont pas de problèmes importants, explique Winstock. Dans leur grande majorité, ils ne consomment pas pour régler un problème physique ou émotionnel, mais pour faire des expériences, souvent plaisantes.» Or, poursuit le psy, «ne parler des drogues qu’en termes de dommages fait que beaucoup d’usagers débranchent. Mais les drogues causent aussi ces dommages, et le meilleur moyen de les réduire est de partir de la première motivation : avoir du plaisir et s’amuser.»

La GDS offre déjà aux usagers un outil, hélas non encore traduit de l’anglais : le «Drugs Meter», une application numérique gratuite. Son utilisation est facile : vous indiquez ce que vous consommez (alcool, cannabis, médicaments…). L’appli vous dit en retour si vous êtes dans un comportement à risques. Simple et efficace.

Cette année, la GDS met l’accent sur le cannabis. «Quels sont les effets produits ? Est-ce que cela vous fatigue, vous endort ou vous excite ? Cela vous rend-il relax ou parano ?» Les usagers doivent aussi décrire leur «produit idéal». L’étude se veut pragmatique : grâce à ses résultats, attendus en avril 2014, «les producteurs d’herbe pourront diversifier leurs produits, et notamment élaborer autre chose que de la "skunk"». La GDS de 2011 avait montré que cette herbe assommante, certes la plus «populaire», était la plus souvent associée à des pertes de mémoire et des accès de parano.

Autre sujet : l’alcool. Il s’agit d’évaluer la portée - faible, on s’en doute - des campagnes publiques appelant à la modération, alors que, selon Winstock, «la taxation, [la réduction] des heures d’ouverture des magasins et de leur nombre sont les moyens les plus efficaces pour réduire l’usage et les dommages, mais les lobbys de l’alcool n’en veulent pas».

Sur le tabac, substance «la plus mortelle», quelle est la part d’utilisation des e-cigarettes ? Sur l’abus des médicaments sur ordonnance, comme les antidépresseurs, la GDS veut savoir ce que les médecins ont dit aux usagers des risques d’addiction. Ces substances représentent «le problème qui connaît la plus grande croissance actuellement» : selon GDS, l’abus d’opioïdes sur ordonnance provoque aux États-Unis plus de décès par overdose que l’héroïne.

La GDS ausculte aussi les «nouvelles drogues», ou «drogues légales», qu’on achète en toute impunité sur Internet sous l’appellation «sels de bains», «engrais pour plantes» ou «euphorisants légaux», en fait des amphétamines. L’objectif est d’identifier de nouveaux usages et de déterminer l’ampleur des risques.

Boom. Même interrogation sur la MDMA et l’ecstasy, pour lesquels il y a eu «une augmentation alarmante de cas de morts signalés l’an dernier», relève le psy anglais. Sur la cocaïne, produit considéré lors de la GDS 2013 comme «le pire en termes de rapport qualité-prix», la question est de savoir si les revendeurs, menacés par le boom des drogues dites «légales», ont amélioré leurs produits.

La GDS aborde aussi la question de l’illégalité. «Changeriez-vous votre usage si vous ne risquiez plus rien ?» Il s’agit de savoir si la consommation augmenterait en cas de dépénalisation ou légalisation. Winstock pense plutôt, au vu des précédentes enquêtes, que cela faciliterait chez les usagers un recours aux traitements. Donnez votre avis, c’est utile.
Source : http://www.liberation.fr/

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lundi 25 novembre 2013

Alcool, cannabis... : dis-moi où tu habites, je te dirai avec quoi tu te ravages la tete

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A quelques semaines d’intervalle, deux études s’intéressant à la consommation de drogues des Français par région ont été publiées :

la première se présente comme un Atlas des usages de substances psychoactives, édité par l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) ;
    la seconde a été réalisée par le CNRS et prend la forme de Cartes de France de la consommation de drogues.

Ces enquêtes mettent en relief une hétérogénéité flagrante des usages en fonction des lieux. Il est aussi intéressant de souligner que, malgré les méthodes diamétralement opposées qui ont servi à les récolter, les résultats de ces études se recoupent en certains points. Pour d’autres, on relève d’importantes contradictions, au moins en apparence.

L’étude réalisée par l’Inpes se base sur les données issues de son Baromètre santé 2010, le dernier en date.

Un baromètre établi de façon plutôt classique : sondages aléatoires à deux degrés (ménage puis individu), réalisés via un système d’interview par téléphone assistée par ordinateur, pendant huit mois et demi (d’octobre 2009 à juillet 2010), auprès de 25 000 personnes.

Il rend ainsi compte de tendances de fond, établies sur un laps de temps long, qu’il compare de surcroit à la précédente édition du baromètre, datée de 2005

Chercher la drogue dans les eaux usées

Plus direct, le CNRS ne s’est pas encombré de détails. Il a prélevé une série d’échantillons dans les eaux usées de diverses grandes villes du pays.

L’analyse de ces échantillons met en évidence la concentration de métabolites (petites molécules) issus de la consommation de telle ou telle drogue dans les égouts et, par capillarité, dans les urines des habitants d’un lieu donné.

Cette méthode fournit des indications sur la consommation de drogues à un instant T, sans établir de mise en perspective dans le temps. Le blog Docbuzz s’est amusé à présenter les résultats sous forme de classement, après avoir déduit le nom de villes en fonction des indications données (le CNRS ne donne pas ces noms).

La veille des prélèvements d’échantillons effectués par le CNRS, les habitants de Perpignan étaient, avec ceux de Lille et d’Avignon, ceux à s’être le plus défoncés au shit en France. Perpignan, préfecture des Pyrénées-Orientales, département situé dans le Languedoc-Roussillon... soit la région où l’on consomme le plus de cannabis selon l’Atlas de l’Inpes.

De la même façon, Montpellier, chef-lieu du Languedoc Roussillon, détient selon le CNRS le trophée de l’usage le plus élevé d’ecstasy/MDMA par habitant. L’organisme public de recherche y estime à 150/mg/jour/1000 habitants la consommation de cette drogue, soit cinq fois plus que la moyenne nationale.

Or l’Inpes nous apprend que le Languedoc-Roussillon, toujours, se trouve dans le top 2 des régions comptant le plus d’usagers d’ecstasy/MDMA (4,4% d’usagers), juste derrière la Bretagne et ses 4,7%.
Toutes les substances ne sont pas testées

En revanche, alors que Lille se place en tête des villes de France où l’on consomme le plus de cocaïne selon le CNRS, l’lnpes révèle que l’expérimentation de la cocaïne est plus faible dans le Nord-Pas-de-Calais que la moyenne nationale.

Incohérent ? Pas forcément, si l’on veut bien prendre en compte le fait que l’étude de l’Inpes concerne des régions, quand celle du CNRS ne s’occupe que des grandes villes.

On regrettera par-ailleurs que les points de contacts entre ces deux études se résument aux consommations de tabac, d’alcool, de cannabis, de cocaïne et d’ecstasy/MDMA.

Pour le reste, l’Atlas de l’Inpes a choisi de s’intéresser à l’usage de poppers et de champignons hallucinogènes, délaissant la méthadone et toute la famille des opiacées, auxquels le CNRS a quant à lui préféré s’intéresser.

Dommage, quand on connaît les ravages des dérivés de l’opium, dont l’expérimentation ne concerne que peu de gens certes (seuls 1,2% des 18-64 ans l’ont essayé au moins une fois dans leur vie, selon l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies), mais qui concernent plus de 70% des usagers reçus dans les centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction (CAARUD). D’où un fort coût de prise en charge par la société.
Le Languedoc-Roussillon, n°1 sur la défonce

Question cocaïne, selon le CNRS, Lille ne se contente pas d’être au sommet du podium français. Elle explose la moyenne nationale, qui, reconstituée après analyse des résidus dans les eaux usées, s’établit autour de 130 mg/jour/1000 habitants. De beaucoup, même, puisque sa consommation est estimée à 1409 mg/jour/1000 habitants pendant la semaine et... 2434 mg/jour/1000 habitants au cours du week-end.

De mémoire de scientifique, on n’avait jamais vu une consommation aussi élevée de cocaïne dans toute l’Europe, toutes époques confondues.

L’autre « bon » élève de la défonce, à en croire l’Inpes cette fois, c’est sans conteste le Languedoc-Roussillon. Première sur le tabac (35% de fumeurs réguliers, pour une moyenne nationale de 29%), la région est aussi en tête de celles où l’on expérimente le plus la fumette (+ 9 points par rapport à la moyenne du pays) et où l’usage actuel de cannabis est le plus élevé (+ 3 points par rapport à la moyenne).

Ça commence à faire beaucoup, quand on sait qu’elle est par ailleurs la région de France comptant le plus de buveurs quotidiens.

Comment le justifier ? Les taux de pauvreté et de chômage élevés constituent sans doute une amorce d’explication. Pourtant, la région n’a pas le monopole de ces maux, qui touchent aussi le Nord-Pas-de-Calais par exemple, sans que les addictions n’y explosent.

Globalement, la France n’a pas de quoi plastronner. Le CNRS relève que la moyenne nationale de consommation de cannabis y est comparable à celle de la ville d’Amsterdam... avec des pics cinq fois plus élevés que dans la plus grande ville des Pays-Bas (ou la consommation est estimée à 200 mg/jour/1000 habitants) à Lille, Avignon ou Perpignan.

Selon le dernier rapport de l’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (OEDT), les adolescents français sont trois fois plus nombreux qu’il y a dix ans à avoir déjà pris de la cocaïne.

Pour chaque drogue disponible sur le marché, la France se place parmi les premiers consommateurs d’Europe. On est en droit de se demander comment remédier à ce phénomène inquiétant, révélateur d’un malaise larvé.

On ne comptera en revanche par sur l’Etat pour nous fournir une réponse idoine. Depuis 1995 et l’autorisation accordée aux associations de distribuer des seringues stériles, la France n’a pris aucune décision forte pour infléchir sa politique sur le sujet.

1995. Dix-huit ans. Une éternité qui rend le pays totalement déconnecté des enjeux contemporains, quand on sait la célérité à laquelle changent les habitudes de consommation, de nouvelles drogues déferlant sans cesse sur le pays à la vitesse d’un dealer qui se carapate.
Source : http://www.rue89.com

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Les cannabis social club font desormais partis du paysage basque

Alors qu'en France le gouvernement socialiste a semble-t-il définitivement enterré l'idée de toute évolution législative encadrant la consommation et la détention de cannabis hors cadre pharmaceutique, au Pays Basque, grâce à une législation plus souple en matière de stupéfiant, les consommateurs de cannabis se sont organisés en une cinquantaine d'associations de cultivateurs qui regroupent maintenant après plusieurs années d'existence plus de dix mille membres dans la région, autant de clients en moins pour les revendeurs de rue.

Afin de comprendre le fonctionnement et les avantages de ces associations pour la société, je me suis rendu dans un de ces clubs, le cannabis social club d'Irun, un club ouvert uniquement aux personnes majeures domiciliées dans un rayon de 20 kilomètres.

    Le premier constat que j'ai pu faire est que la discrétion prônée les cannabis social clubs n'était pas qu'un discours de façade. En effet, bien que disposant de l'adresse, d'un GPS à jour et connaissant plus ou moins cette ville pour avoir entre autre participer à l'Expogrow, une fois arrivé à destination j'ai mis plusieurs minutes avant d'être certain que je ne me trompais pas de porte et que je n'allais pas sonné au domicile d'un particulier, en effet de l'extérieur rien ne laissait présager que l'édifice pouvait héberger une association de consommateurs de cannabis. Cette discrétion est aux antipodes du modèle californien ou les clubs affichent des publicités géantes sur les devantures de leur commerce et payent des hommes sandwichs qui poussent les badauds à entrer dans leur boutique à la manière d'un portier de cabaret de la place Pigalle s'agrippant à un groupe de touristes asiatiques descendant de leur autobus. Au pays Basque, rien de tout ça, tout se fait dans la plus grande discrétion et sans aucun doute avec beaucoup plus de discrétion en tous cas qu'en France ou comme a pu voir récemment les revendeurs de cannabis n'hésitent plus à monter de véritables étales de marché dans les halls des résidences qu'ils squattent pour mener leur commerce.
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Une fois à l'intérieure, bien que n’apercevant toujours pas de cannabis à l'horizon, la présence d'un vaporisateur Volcano au centre d'une table basse me rassurait sur la nature de l'endroit dans lequel je venais de pénétrer. Une fois libéré de ces obligations administratives le gérant du club a pris une longue pause afin de m'expliquer le mode de fonctionnement des cannabis social clubs ainsi que pour leurs avantages pour la société. Pour commencer il insista longuement sur le fait qu'au Pays Basque les cannabis social clubs n'étaient en aucun cas des magasins ou n'importe qui pouvait entrer et repartir cannabis en poche, mais des associations de cultivateurs de cannabis qui mettaient en commun leurs ressources pour produire du cannabis afin de ne plus financer le marché clandestin. Personne ne peut se procurer du cannabis si il n'est pas membre de l'association et pour cela il faut répondre à un certain ombre d'exigence : être majeur, vivre dans les environ, être parrainé par un autre membre et accepter de laisser son identité, ses coordonnées ainsi que l'estimation de sa consommation annuelle à la disposition des autorités afin d'éviter toutes reventes. Ce n'était qu'une fois l'ensemble de ces formalités accomplies et les vérifications effectuées que les membres peuvent se procurer légalement du cannabis cultivé selon un cahier des charges établi à un prix variant de 4 à 6 euros le gramme selon la variété ou des préparations culinaires élaborées par une association partenaire. Une politique de prix élevé justifiée par la volonté de proposer un produit de très bonne qualité exclusivement cultivé par le club, par l'obligation de cultiver le cannabis en intérieur sous lampe pour des raisons évidentes de sécurité, et d'autres part par le fait de ne pas être un commerce et donc ne pas chercher à augmenter le volume des ventes ou conquérir de nouveaux marchés.

La conversation s'orienta par la suite sur le profil des membres et les raisons de leur adhésion à l'association, j'apprenais alors que la grande majorité des adhérents avaient plus de 30 ans, que 30% des membres consommaient du cannabis uniquement pour raison médicale et que le doyen approchait ses 70 printemps, un profil très loin du jeune à casquette ou à dreadlocks mis systématiquement en avant par les médias français. Leurs motivations étaient diverses, certains ne savaient pas jardiner, d'autres n'avaient pas la place pour le faire et beaucoup préféraient ne pas cultiver à leur domicile pour des raisons de discrétion. Tous s'accordait par contre sur le refus de continuer à financer le marché noir. Plus la conversation avancée, plus elle devenait passionnante, en effet le gérant du club était un militant passionné sympathique et enthousiaste, inarrêtable dès lors qu'il s'est mis à parler de la génétique et des effets des plantes qu'il cultivait comme la King Kong Alive pour laquelle il avait obtenu un prix lors de la dernière coupe régionale, de ses rencontres avec les plus célèbres activistes américains comme Ed Rosenthal ou de l'utilité des cannabis social club pour la société qui ont permis de faire disparaître en grande partie le deal de rue dans la région et de responsabiliser les consommateurs en les incitant à ne plus consommer dans la rue ou les lieux publics, à ne plus consommer avant de prendre le volant et surtout à ne plus fréquenter ou financer les réseaux mafieux. J'étais obliger de me rendre à l'évidence les cannabis social club étaient la solution aux problèmes liés à la vente de cannabis. et qu'en proposant des produits de qualité et en informant les consommateurs ils jouaient aussi dans un sens une mission de santé publique.Il serait peut être temps de regarder ce que font nos voisins et de s'en inspirer !
Source : http://www.agoravox.fr/

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Cultiver le cannabis, bientôt légal au Pays Bas ?

La police hollandaise s'épuise à identifier et à fermer les grandes plantations de cannabis. Pragmatique, le petit parti socio-libéral D66 promet leur légalisation.

Fort de 12 sièges à la Chambre des députés, le parti D66 est en train d'élaborer une proposition de loi en vue de tolérer les cultures de cannabis, rapporte De Volkskrant. Aujourd'hui aux Pays-Bas, la possession et la consommation de petites quantités de cannabis sont tolérées, mais pas sa culture à grande échelle. Or, selon D66, la police met trop de temps à liquider les grandes plantations.

La députée Magda Berndsen, rapporteuse de la loi, affirme dans le quotidien d'Amsterdam qu'il faut "décriminaliser la culture de ces plantes. Aujourd'hui, ce sont des bandes criminelles organisées qui fournissent les coffee-shops. Si mon idée 
est adoptée, on n'achètera plus de cannabis auprès de ces bandes. La police pourra alors s'occuper d'autres affaires, des cambriolages par exemple."

Le ministre de la Sécurité et de la Justice, Ivo Opstelten (VVD, Parti populaire libéral et démocrate), ne veut pas élargir l'application de la loi. Selon lui, une nouvelle politique de tolérance ne ferait sortir le cannabis du circuit criminel, puisque "La plus grande partie du cannabis cultivée ici disparaît de l'autre côté de la frontière."

Mme Berndsen reste néanmoins optimiste : "Si mon initiative ne trouve pas de soutien, je proposerai la formation d'un nouveau cabinet. Nous exigerons que la culture régulée du cannabis figure dans le prochain accord gouvernemental."
Source : http://www.courrierinternational.com/
affaire a suivre

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Argentine : un test pour détecter les fonctionnaires drogués

Le gouverneur d'une province argentine a décrété samedi que ses fonctionnaires devraient se soumettre à une rhinoscopie et à une prise de sang pour détecter une éventuelle consommation de drogue. La décision, influencée par l'Eglise, fait débat dans un pays où la prise de stupéfiants n'est pas pénalisée.

Mardi, le gouverneur de la province argentine de Chubut, Martin Buzzi, subira une rhinoscopie et une prise de sang. L'élu, un allié de la présidente Cristina Kirchner (gauche), montrera ainsi l'exemple, trois jours après avoir promulgué un décret invitant les fonctionnaires locaux à se soumettre à ces examens médicaux pour déceler une éventuelle consommation de drogue.

Basés sur le volontariat, ces tests seront dans les faits obligatoires. Martin Buzzi a en effet annoncé que ceux qui refuseront de les passer "devront prendre un autre chemin" que celui de l'administration. Ils concerneront dans un premier temps les employés de l'Exécutif local et devraient être rapidement être étendus aux employés des deux autres pouvoirs - judiciaire et législatif - , selon le souhait formulé par l'administrateur.

Le poids de l'Eglise

Cette mesure suscite une polémique dans un pays où la consommation de drogue n'est pas pénalisée. Pour Martin Buzzi, ce décret "correspond à la lutte contre le narcotrafic que nous sommes en train de mener. Si la consommation n'est pas pénalisée, nous, fonctionnaires, avons l'obligation de prendre position. Nous prenons des décisions, signons des résolutions, travaillons pour les gens. Et cela exige une responsabilité", assure le gouverneur dans des propos relayés par La Nacion. Pour l'homme politique de 46 ans, "celui qui se drogue se lie à l'illégalité. Il faut montrer l'exemple et dire clairement de quel côté nous sommes."

Au-delà des polémiques, cette résolution rappelle toute l'influence de l'Eglise en Argentine. L'institution religieuse s'est récemment émue publiquement de la progression du narcotrafic et du manque de réponses de l'Etat face à ce phénomène. Dans la foulée, la Cour suprême a exigé du gouvernement la prise de "mesures urgentes". C'est chose faite dans le Chubut, une province en Patagonie où les fonctionnaires dont les tests seront positifs verront "leur chemin vers la désintoxication facilité", a annoncé Martin Buzzi.... depuis l'évêché de la ville de Comodoro Rivadavia.
Source : http://www.metronews.fr

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Le nouveau marché du cannabis : les pays en voie de développement.


Sciences La consommation de cannabis est intimement liée à la jeunesse et plus particulièrement à la jeunesse des pays riches. C'est juste une question économique. On vend à qui peut payer. Mais cet état de fait est en train de changer. Une étude publiée dans le magazine « addiction » montre que la répartition de la consommation du cannabis évolue vers d'autres consommateurs.

L'étude s'est intéressée aux adolescents âgés d'environ 15 ans. Cette population venait d'une trentaine de pays européens et nord-américains. Trois années sont concernées : 2002, 2006 et 2010. La consommation de cannabis a tendance à baisser notamment dans les pays du sud et de l'ouest européen ainsi qu'en Amérique du Nord. On retrouve parmi les pays cités : la France, la Belgique, les Pays-Bas, l'Espagne, le Portugal, l'Allemagne, le Canada, les États-Unis.

Par contre, dans les pays où le PIB a eu une croissance rapide, dénotant des pays en voie de développement, la consommation de cannabis est stable voire à tendance à augmenter. Dans 3 des 12 pays de l'ancien bloc communiste, la consommation augmente chez les garçons. On retrouve dans la liste des pays concernés par ce phénomène : la Macédoine, la Lituanie, la Lettonie. La Russie a la particularité de voir la consommation augmenter chez les jeunes filles.

Malgré le développement des réseaux de distribution, les chercheurs pensent que la diminution de la consommation dans les pays riches est due aux mesures préventives prises par les organismes d'état.
Source : http://www.sur-la-toile.com

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dimanche 24 novembre 2013

Cannabis : Son usage dépend-il du niveau de vie?


L’association entre le niveau de richesse de la société et la consommation de cannabis change, indique cette étude menée sur plus de 160.000 adolescents de 30 pays européens et d’Amérique du Nord. Car jusque-là plus fréquent dans les pays à revenus élevés, l’usage du cannabis est désormais en baisse dans ces pays et gagne en puissance dans les pays en développement rapide d’Europe de l'Est et d’Europe centrale. Ces nouvelles données présentées dans la revue Addiction suggèreraient-elles une « prise de conscience » dans les pays riches ? Conclusions dans l’édition du 22 novembre de la revue 
Addiction.


Cette large étude a regardé l’évolution de l’usage du cannabis chez 160.606 adolescents âgés de 15 ans dans 30 pays européens et nord-américains en 2002, 2006 et 2010, à partir des données démographiques, de durée et de fréquence d’usage, de niveau de revenus du foyer, les contacts sociaux, et du niveau de PIB du pays. L’analyse montre,
·         une baisse significative de la consommation de cannabis dans les pays riches d’Europe de l’Ouest, du Sud et d’Amérique du Nord (soit en Belgique, Canada, Danemark, France, Allemagne, Irlande, Italie, Pays-Bas, Portugal, Espagne, Royaume-Uni, Etats-Unis).
·         la durée moyenne d’usage du cannabis diminue au fil du temps chez les adolescents d’Europe et d’Amérique du Nord et plus particulièrement dans les pays d'Europe occidentale et aux Etats-Unis, et de 14% en 8 ans.
·         En revanche, elle augmente dans l’ex-République yougoslave de Macédoine, en Lettonie, en Lituanie et en Russie chez les filles.
·         Au fil du temps (2002-10), l'usage du cannabis devient moins caractéristique des pays à PIB élevé vs aux pays de PIB plus faibles (RR = 0,74),
·         moins caractéristique des jeunes de familles à revenus élevés (RR : 0,83),
·         l’écart d’usage s’accroît entre les sexes avec une consommation en augmentation chez les hommes (RR 1,26).
·         En revanche, le réseau social reste un marqueur significatif de la disponibilité et de l’usage de cannabis.

En synthèse, l’usage de cannabis de « démocratise » dans les pays en développement et chez les jeunes de familles moins nanties. Les auteurs suggèrent que la réduction de la consommation dans les pays riches et dans les groupes de statut socioéconomique plus élevé s'explique par les initiatives de sensibilisation sur les effets nocifs de ces substances auprès des jeunes et de la mise en œuvre des différentes mesures de prévention en santé publique visant à en réduire la consommation. Une tendance qui « concorde » avec les données du dernier World Drug Report. Le bilan fait en effet état d’une consommation de cannabis globalement stable chez les élèves en Europe depuis 2007, une augmentation importante dans 11 pays et une diminution dans 5 autres. La République tchèque,
France et Monaco sont les seuls pays européens ayant une prévalence à vie plus élevée de l’usage de cannabis chez les 15-16 ans (respectivement 42, 37 et 39%) que les États-Unis (35%).
 

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Chris Brown, en désintox : de la marijuana sinon rien !

Chris Brown ne sait décidemment pas quand il faut arrêter de pousser le bouchon trop loin. Connu pour ses multiples arrestations et ses histoires de cœur tumultueuses, Chris a évité la prison plus d'une fois. Nous ne sommes pas sûrs qu'une personne lambda aurait eu sa « chance »…
Toujours est-il qu'après sa dernière arrestation (il avait tabassé un inconnu devant son hôtel) Chris a vu son crime se métamorphoser en… délit ! Elle n'est pas belle la vie de célébrité ? Le juge avait même laissé tomber les tests de drogues obligatoires dans ce genre de situations (des tests qui seraient sans doute revenus positifs). Et au lieu de le mettre en prison (étant donné que monsieur est encore en probation depuis l'affaire Rihanna en 2009) le juge a été on ne peut plus clément en l'envoyant 90jours en rehabilitation afin de gérer sa colère. Oui mais Chris la super star veut encore faire sa diva. À présent, il refuse le traitement…

Chris Brown : les antidépresseurs le font sentir tout engourdi

Une source a déclaré à RadarOnLine que le rappeur ne veut plus prendre les antidépresseurs qui lui ont été prescrits : « Ils [les antidépresseurs] font que Chris se sentent très engourdi et il a l'impression que tout autour de lui est flou. » Mais là n'est pas le clou de l'histoire.

En effet, Chris veut un traitement de substitution : la marijuana thérapeutique. Le rappeur prétend même que c'est un traitement qu'il suit depuis plusieurs années afin de gérer sa colère, jusqu'à ce que le juge lui ait ordonné de s'arrêter.

Pour ce que ça a donné, on comprend mieux pourquoi le juge a préféré passer aux antidépresseurs…
Source : http://www.actustar.com
Rappel des faits : Cliquez ici

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L'Élu toxicomane: la Floride divisée sur le sort de Radel


Les électeurs du district du républicain Trey Radel, dans le sud-ouest de la Floride, sont divisés quant à l'avenir de leur représentant, qui a été condamné plus tôt cette semaine à une année de probation pour une affaire de méfait lié à la drogue.

Étoile montante du Parti républicain et proche du mouvement conservateur Tea Party, Trey Radel a été pris au piège par un agent d'infiltration le 29 octobre en tentant de lui acheter 3,5 grammes de cocaïne dans un quartier de Washington.

Selon des documents de la cour, des agents fédéraux l'ont alors confronté et le représentant les a invités à son appartement, où il leur a remis un flacon contenant de la cocaïne. Il se serait procuré cette drogue à plusieurs reprises, poursuit-on dans les documents.

Radel a gardé le silence pendant les trois semaines successives, se présentant à une collecte de fonds dans un centre de villégiature de Naples, en Floride, et poursuivant ses attaques en règle contre la réforme de la santé du président Barack Obama sur son compte Twitter.

Ce n'est que mardi, lorsque des journalistes ont découvert l'affaire, que le représentant est finalement passé aux aveux. Mercredi, il a plaidé coupable à une accusation de méfait lié à la drogue et a été condamné à une année de probation.

Les leaders du Parti républicain de son district, qui compte les communautés de Fort Myers et de Naples, sur la côte du golfe du Mexique, sont de plus en plus nombreux à exiger sa démission. Des candidats défaits lors du dernier scrutin parlent ouvertement de la possibilité de tenir une nouvelle élection.

À Fort Myers, les résidants roulaient des yeux en entendant son nom, tandis que d'autres se montraient plus cléments.

«S'il était un jeune drogué qui travaillait chez McDonald's, il aurait déjà perdu son boulot», a lancé un retraité, Richard Bruehl.

«Il était très bon. Nous espérons tout simplement qu'il aura les soins nécessaires en désintoxication et qu'il reviendra travailler pour nous», a soutenu de son côté Carol Hess, une autre retraitée de la région.
Source : http://www.lapresse.ca/

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[Insolite] Japon : Coke on the Beach !!!

Les rapports suggèrent les sacs de drogue échoués sur les plages d’une valeur d’environ 45 millions d’euro, faisaient partie d’un trafic de contrebandiers.

Dans ce qui est en passe de devenir la plus importante saisie de drogues du Japon, deux autres sacs à dos de cocaïne ont échoué sur les côtes du Japon.

Les sacs ont été trouvés après la découverte de quatre sacs sur les plages au sud de Tokyo par un résident local.

La valeur de la drogue a été estimé à environ 72 millions de dollars (44,5 M €), ce qui en fait la saisie la plus importante de drogues du Japon.

Les premiers sacs auraient été trouvé muni d’une bouée et un balisage lumineux.

Les rapports suggèrent que la drogue faisait partie d’un trafic à distance de contrebandiers, mais un porte-parole de la police a refusé de donner plus de détails.

En tout, il y avait 120 kilos de blocs enveloppés en plastique avec de la cocaïne à l’intérieur des sacs.

La police japonaise a saisi seulement 6,6 kilos de cocaïne l’an dernier, en baisse par rapport aux 28,7 kg en 2011, selon l’Agence de la police nationale.
Source : http://www.tixup.com
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