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lundi 30 septembre 2013

Santé Canada supervisera un programme de marijuana

Le gouvernement du Parti conservateur lancera, ce mardi, un toute nouveau secteur commercial d'une valeur de 1,3 milliard $ qui devrait permettre à quelque 450 000 Canadiens d'avoir accès à de la marijuana à des fins thérapeutiques de qualité contrôlée.

À compter de lundi et jusqu'au 31 mars 2014, Santé Canada éliminera progressivement l'ancien système qui dépendait principalement de la marijuana produite à domicile, à petite échelle et de qualité variable, souvent détournée illégalement vers le marché noir.

La méthode actuelle d'accès à la marijuana à des fins médicinales sera remplacée par le recours à des producteurs commerciaux autorisés et agréés par la Gendarmerie royale du Canada (GRC), qui pourront produire plusieurs variétés de la drogue, le tout offert au prix que le marché pourra supporter. Les premières ventes devraient commencer au cours des prochaines semaines, et elles seront livrées par courrier sécuritaire.

«Nous sommes relativement confiants de voir, au fil du temps, un secteur commercial sain», a déclaré Sophie Galarneau, une haut fonctionnaire de Santé Canada, en entrevue à La Presse Canadienne.

«La situation sera complètement différente.»

La naissance d'une production de marijuana à grande échelle, dans un contexte de libre-marché, surgit au moment où les conservateurs clouent au pilori la campagne du chef du Parti libéral, Justin Trudeau, afin de légaliser la marijuana à des fins récréatives.

Santé Canada ne fixe aucune limite quant au nombre d'installations, qui devront être munies de chambres fortes et de systèmes de sécurité. La production à l'intérieur de maisons privées sera interdite. Les importations venant de pays tels les Pays-Bas seront toutefois permises.

Déjà, depuis le mois de juin, 156 firmes ont présenté des demandes pour obtenir le statut de producteur lucratif et de distributeur, et les deux premiers permis ont été délivrés la semaine dernière.

L'ancien système n'aura généré qu'une industrie artisanale, grâce à laquelle 4200 producteurs autorisés pouvaient desservir un maximum de deux patients chacun. La GRC a souvent dénoncé ces installations de culture de la marijuana, affirmant qu'elles servaient de façade aux organisations criminelles.

Les six prochains mois permettront de compléter la transition vers le nouveau système, et Santé Canada encouragera les utilisateurs de marijuana à des fins médicinales à s'inscrire en vertu du futur régime et à commencer à acheter auprès des nouvelles exploitations agricoles.

À l'heure actuelle, Santé Canada établit à 37 400 le nombre d'usagers de marijuana à des fins thérapeutiques, mais des responsables estiment que ce total décuplera, au minimum, pour atteindre 450 000 utilisateurs d'ici 2024.

Les profits potentiels sont énormes. Un gramme de marijuana séchée se vend environ 10$ dans la rue, et Santé Canada évalue que la drogue légale s'écoulera au coût moyen de 7,60$ l'année prochaine, alors que les producteurs pourront fixer les prix sans obstruction du gouvernement.

Selon des estimations du gouvernement fédéral, les revenus issus de ce nouveau secteur atteindront 1,3 milliard $ par année en 2024.
Source : http://www.lapresse.ca

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Le trafic de drogue, fléau du Ghana, le bon élève d'Afrique de l'Ouest

Les autorités du Ghana ont décidé de s'attaquer au trafic de drogue, fléau de ce pays considéré comme le bon élève de l'Afrique de l'Ouest mais devenu une plaque tournante internationale.

"Jusqu'à présent, les gouvernements ghanéens successifs et la société ghanéenne dans son ensemble avaient sous-estimé l'impact d'un tel trafic", estime Stephen Ellis, professeur d'histoire de l'Afrique à l'Université libre d'Amsterdam.

Le problème n'est pas nouveau dans la région. En Guinée-Bissau, des trafiquants ont été accusés d'avoir infiltré le gouvernement et l'armée. Au Mali, les groupes liés à Al-Qaïda sont soupçonnés d'avoir financé leurs opérations grâce à l'argent de la drogue.

Mais le Ghana est considéré comme une étoile montante du continent. Les six scrutins présidentiels qui s'y sont déroulés avec succès depuis 1992 en font un exemple de stabilité politique. Et sa production d'or, de cacao, son industrie pétrolière naissante en font la deuxième économie de la région.

L'arrestation d'un des patrons de la sécurité de l'aéroport international d'Accra, au cours d'une opération menée par l'agence fédérale américaine de lutte contre le trafic de drogue (DEA), a permis de mieux cerner les méthodes des trafiquants.

Solomon Adelaquaye, à la tête d'une société privée chargée de la sécurité de l'aéroport Kotoka, est accusé d'avoir comploté avec deux Nigérians et un Colombien pour placer de la cocaïne et de l'héroïne à bord de vols internationaux.

Il s'est compromis en février 2012 en faisant passer un ordinateur rempli d'héroïne à l'aéroport en échange de 10.000 dollars proposés par des agents de la DEA.

M. Adelaquaye et ses comparses ont été arrêtés en mai aux Etats-Unis alors qu'ils s'apprêtaient à faire entrer à Accra trois tonnes de cocaïne dont on ignore la provenance.

Un pays proche des marchés

Cette affaire ne montre qu'une partie d'un trafic qui s'est mis en place ces dernières années au Ghana, selon l'office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC).

Entre 2003 et 2008, 2.418 kilos de cocaïne et 61.958 kilos de marijuana ont été saisis au Ghana, rapporte l'ONUDC. Entre 2007 et 2008, la saisie de cocaïne a grimpé de 283 kilos à 841 kilos.

Ces chiffres illustrent "à la fois une intensification du rôle du Ghana en tant que plaque tournante et une meilleure application de la loi", qui a permis d'augmenter les quantités saisies, relève Bernard Henebeng Asamoah, coordinateur de l'ONUDC pour le Ghana.

Les volumes saisis ont cependant baissé en 2011: 25 kilos de cocaïne et 153 kilos de marijuana seulement, selon l'ONUDC.

A l'aéroport londonien d'Heathrow, de la cocaïne provenant du Ghana a été retrouvée dans des bananes plantain ou dans l'estomac de passeurs morts quand les sachets de poudre qu'ils avaient ingérés se sont déchirés.

Si les trafiquants aiment passer par le Ghana, c'est pour les mêmes raisons que beaucoup d'entrepreneurs, estime Kwesi Aning, directeur de recherche au Centre international Kofi Annan pour le maintien de la paix: c'est un endroit où il est facile de faire des affaires.

Les routes y sont plutôt en bon état et il y a peu de banditisme comparé à d'autres pays ouest-africains.

"Les barons de la drogue aiment de moins en moins la Guinée-Bissau parce que c'est instable", explique M. Aning.

En outre, l'Afrique de l'Ouest est relativement proche des marchés européens et asiatiques, relève Solomon Eyo, du Comité ghanéen de contrôle des narcotiques.

L'ancien président John Atta Mills, décédé l'année dernière, avait qualifié l'aéroport d'Accra de corridor de la drogue, selon des télégrammes de l'ambassade américaine au Ghana.

Il avait souhaité renforcer la sécurité pour l'accès au lounge VIP, redoutant que des membres de son entourage y fassent passer de la drogue. Il avait aussi montré l'exemple en se soumettant aux contrôles anti-drogue quand il quittait le pays.

Sous la présidence de John Kufuor (2000 -2008), les télégrammes évoquaient des suspicions de corruption au sein des services de sécurité.

"Les problèmes rencontrés dans les aéroports et dans les ports montrent à quel point les services de sécurité sont infiltrés", estime M. Aning.

Les choses avancent cependant, selon M. Asamoah de l'ONUDC: l'agence ghanéenne de sécurité a lancé ce mois-ci un programme de coordination en vue d'une meilleure efficacité à l'aéroport.

Le pays estime avoir besoin de 25 millions de dollars pour mettre en place un programme complet comprenant des chiens renifleurs et le recours à des experts étrangers. Pour l'instant les donateurs n'ont promis que 154.000 dollars.
AFP

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dimanche 29 septembre 2013

Argentine : Concours et dégustations de marijuana

En Argentine, produire est interdit, ce qui n’a pas empêché les petits producteurs de se retrouver dans un lieu secret de la capitale.

La tête de cannabis – sèche et verdâtre – craque entre les doigts de Federico lorsqu’il la sépare en deux. Il met la plus grosse partie dans un petit sachet en plastique. L’autre morceau, petit et compact, est émietté à l’aide d’un broyeur manuel.

Avec ce broyat, Federico, 28 ans, originaire de Mercedes (à l’ouest de Buenos Aires), roule ensuite un joint. Il le fume, le fait tourner, mais surtout il l’évalue en fonction des critères suivants : la texture, l’arôme, le goût et l’effet produit, ou plutôt le “trip” ou le “mambo”, comme on dit ici.

Au terme d’une longue journée, la meilleure herbe de l’année sera ainsi désignée parmi 80 échantillons. À l’instar de Federico, 400 personnes participent à cette compétition atypique : le premier concours de dégustation de marijuana en Amérique du Sud.

Un événement illégal en marge duquel sont organisés débats, ateliers, expositions et qui accueille une dizaine de stands de produits dérivés du cannabis.

Sous haute sécurité


En ce dimanche du mois d’août, l’horloge indique deux heures de l’après-midi. Le concours vient de débuter dans une discothèque d’un quartier de Buenos Aires que les règles du tournoi interdisent de révéler. « Bienvenue à la Copa del Plata (nom de l’événement) ! » annonce une voix agréable à travers les haut-parleurs.

Les participants sont immédiatement priés d’éteindre leurs téléphones. C’est l’une des mesures de sécurité prises pour l’occasion. En outre, le lieu et l’heure exacte de l’événement ne sont révélés qu’au dernier moment. Les organisateurs s’occupent de préserver le huis clos et d’empêcher toute sortie avant la fin. La clandestinité, de toute évidence, requiert des préparatifs discrets. Parmi les 400 personnes présentes, nul n’a envie d’être arrêté pour quelques grammes d’herbe dans ses poches ou parce qu’il en cultive pour sa consommation personnelle.

En guise de droit d’entrée, chacun des 80 producteurs offre dix grammes de sa récolte pour la dégustation et peut dès lors inviter jusqu’à cinq personnes. Au début de la compétition, tous reçoivent un récipient contenant quatre échantillons numérotés, emballés avec précaution dans de petits sachets, prêts à être dégustés.

Federico en est déjà à sa troisième dégustation de la journée. Il est assis dans la cour de la boîte de nuit, au soleil. La nuque appuyée sur le dossier de la chaise, les jambes allongées, un demi-sourire illumine son visage. « J’ai commencé à cultiver tout récemment, l’année dernière », confie-t-il. « Au-delà du plaisir de participer à la coupe, cet événement sensibilise les gens aux avantages de l’autoculture. Elle permet non seulement de fumer sa propre récolte, mais aussi de lutter contre le trafic de drogue. »

Militer pour la dépénalisation

Il y a quelques années, Federico a déménagé de Mercedes pour aller vivre à Palermo, un quartier de Buenos Aires. Il travaille aujourd’hui pour une compagnie d’assurances internationale. Son herbe – baptisée Merceditas – provient d’une plante cultivée chez lui, à l’extérieur.

Des groupes de jeunes se pressent dans la cour bétonnée de la discothèque. Certains cultivateurs ont fait le voyage depuis l’Uruguay, le Chili ou le Brésil, d’autres viennent des quatre coins du pays ou de Buenos Aires et de ses environs. Ils sont tous rassemblés autour d’une cause commune : la fumette. Pour ceux qui militent en faveur de la dépénalisation et de la légalisation du cannabis, la législation en vigueur en Argentine ne fait pas que criminaliser le consommateur, elle favorise le trafic de drogue. Rien d’étonnant donc à ce que beaucoup citent l’Uruguay en exemple. Là-bas, la Chambre des députés vient d’adopter un projet de loi réglementant l’usage du cannabis à des fins thérapeutiques, commerciales et récréatives. À l’intérieur du night-club, le long des deux allées parallèles, une dizaine de stands vendent des produits dérivés. On y trouve des pipes en verre, des machines à rouler, des broyeurs, de l’humus de lombric californien, des tee-shirts, des maillots de bain, des revues, des cosmétiques, des lampes et des systèmes de ventilation pour la culture en intérieur.

À sept heures et demie du soir, l’endroit commence à se remplir : c’est la remise du trophée. Les 80 cultivateurs et leurs invités attendent le verdict avec une décontraction mêlée d’impatience.

Le vainqueur se prénomme Gastón. Ses amis le félicitent, l’embrassent et le poussent vers la scène. Le public n’est pas en reste et l’acclame. Et il a de quoi être fier : son herbe a récolté tous les honneurs.
Source : http://www.lejsl.com/

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samedi 28 septembre 2013

Miley Cyrus : "La marijuana est la meilleure drogue qui existe sur terre"

Bientôt une nouvelle polémique pour Miley Cyrus ? L'interprète de 'We Can't Stop' fait encore et toujours parler d'elle. Mais cette fois, ce n'est pas pour son ancienne relation avec Liam Hemsworth ou son twerk endiablé lors des MTV VMA 2013. Non, c'est pour sa consommation de drogue qu'elle est sur le devant de la scène. En cause ? Lors d'une interview, elle a fait des déclarations planante sur la marijuana ou encore l'ecstasy.

La nouvelle provocation de Miley Cyrus

Il y a bien longtemps que Miley Cyrus a changé son image de jeune fille innocente. Pourtant, l'ex de Liam Hemsworth continue à jouer la carte de la provocation. Il faut dire que chacun de ses craquages font un gros buzz. La preuve avec son twerk lors des MTV VMA 2013 ou son clip Wrecking Ball où elle apparaissait complètement nue. Du coup, elle a décidé d'en rajouter une couche lors de son interview pour le magazine Rolling Stone. La chanteuse a évoqué l'un de ses sujets de prédilection : la drogue. D'ailleurs, on se demande si elle n'en avait pas consommer avant son entretien vu ses déclarations.

Marijuana et ecstasy en folie

Miley Cyrus commence fort en expliquant : "La marijuana est la meilleure drogue qui existe sur terre". Et elle n'hésite pas à aller encore plus loin dans son délire en balançant : "Un jour, j'ai fumé un joint avec du peyotl dedans et j'ai vu un loup qui hurlait devant la lune". Rien que ça. Par la suite, la chouchoute de Perez Hilton a fait la promo de l'ecstasy en donnant ses soit-disant bienfaits : "Hollywood est une ville où tout le monde prend de la cocaïne mais le cannabis, c'est tellement mieux. Et l'ecstasy aussi. Ce sont des drogues qui rendent joyeux, qui permettent de socialiser. Elles vous donnent envie d'être avec vos amis, avec du monde, pas seule dans une salle de bain". Mais attention : pas question pour elle de toucher à la cocaïne. Au moins, ça lui évitera d'être encore plus ravagée.
Source : http://www.purebreak.com

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Trafic de drogue vers la Russie: 100.000 étrangers impliqués (officiel)

Près de 100.000 trafiquants de drogue et 20.000 membres actifs de gangs criminels d'Asie centrale sont impliqués dans le trafic de drogue vers la Russie, a déclaré vendredi à Moscou Viktor Ivanov, directeur du Service fédéral russe de contrôle des stupéfiants (FSKN). 

"Conformément aux données recueillies par le FSKN, le ministère russe de l'Intérieur et le Service fédéral de sécurité (…), 150 grosses organisations impliquées dans le trafic de drogue vers la Fédération de Russie ainsi que près de 1.900 gangs et réseaux de crime organisé opèrent dans la région d'Asie centrale. D'après nos estimations, il s'agit de 20.000 membres actifs et d'au moins 100.000 trafiquants de drogue", a indiqué le responsable russe. 

L'Asie centrale étant devenue une véritable plaque tournante du trafic de drogue vers la Russie, M.Ivanov avait proposé en mars dernier d'introduire un régime de visas avec les pays de cette région. Selon le responsable, cette mesure permettrait de réduire de 30 fois le trafic de stupéfiants vers la Russie.
Source : http://fr.ria.ru/

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La "drogue du zombie" menace les Etats-Unis

Décomposition de la chair, amputations et gangrènes : les effets de la désomorphine sont dévastateurs. Consommée depuis une dizaine d’années en Russie, cette drogue très puissante commence à faire des ravages aux Etats-Unis. Pour la première fois, deux cas présumés y ont été signalés à Phoenix (Arizona).

Après les "sels de bain" – apparus aux Etats-Unis en 2012, ils rendent "invincible" et cannibale – et la découverte en mai 2013 à Montréal d’une substance 40 fois plus forte que l’héroïne, une autre drogue, tout aussi dangereuse, pourrait prochainement faire des ravages sur le continent nord-américain.

La découverte récente à Phoenix de deux cas suspects a mis en alerte les autorités sanitaires américaines. Elles attendent désormais d’obtenir un échantillon de désomorphine (surnommée "krokodil", "l’héroïne du pauvre" ou encore "la drogue du zombie") pour comparer sa structure moléculaire avec les analyses sanguines effectuées sur les deux consommateurs.

Des effets dévastateurs

La désomorphine a fait son apparition en Sibérie en 2002 et ses effets sont, à proprement parler, dévastateurs sur l’organisme humain. On dénombre désormais entre 100.000 et un million de consommateurs réguliers en Russie.

Décomposition de la chair jusqu’à apparition de l’os, amputations et gangrènes sont monnaie courante chez ses consommateurs, séduits par son faible prix : la désomorphine coûte 20 fois moins chère qu’une drogue de synthèse dite "classique" telle l’héroïne . Un site russe donne un aperçu des ravages de la "drogue du zombie"


Déclarée "drogue la plus horrible du monde"

Sa composition hétérogène (on a retrouvé dans des échantillons de la codéine, du carburant et du diluant pour peinture), ont fait d'elle "la drogue la plus horrible du monde", selon le Time Magazine.

A telle enseigne que d’après le magazine hebdomadaire américain, "un consommateur régulier de Krokodil meurt au bout de deux ou trois ans, et ceux qui surmontent leur addiction en ressortent souvent défigurés".

Source : http://www.directmatin.fr/
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Effet devastateur du krokodil 

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vendredi 27 septembre 2013

Les «narcocorridos» dans le viseur des autorités mexicaines

Les «narcocorridos», ces chansons qui font des barons de la drogue des idoles populaires, sont de nouveau dans la ligne de mire des autorités. La ville de Chihuahua, dans le nord du pays, a conçu un système d'amendes préventives pour dissuader les chanteurs d'entonner ces refrains en concert. Mais rien n'entame le succès de ce style musical controversé...

Chapeau de cowboy, chemise à strass et bottes en crocodile, il chante les aventures, à la vie, à la mort, des célèbres narcotrafiquants de sa région. El Komander est une star de la musique norteña, rythmes entraînants typiques du nord du pays, sur lesquels il encense le style de vie criminel. À la fin du mois de juillet, la ville de Chihuahua l'a sommé de renoncer, lors de son concert, aux narcocorridos. Sinon, il devait payer une amende. El Komander a payé: ses 3000 fans lui réclamaient ses tubes.

Cent mille pesos (environ 8000 $): c'est l'amende record imposée ce jour-là par la mairie de Chihuahua, qui oblige désormais les groupes musicaux à déposer cette somme sous forme de caution avant de se produire en concert. S'ils ne chantent pas de narcocorridos en public, l'argent leur est restitué.

«La majorité de la population rejette ces chansons qui font l'apologie des armes, de la drogue et de la mort», explique Gerardo Valencia, fonctionnaire à la mairie de Chihuahua. Il assiste à tous les concerts pour recenser les violations de la loi. «La tâche est aisée, car ces chansons sont explicites», remarque M. Valencia. Pour El Komander, la mesure n'a toutefois pas été dissuasive.

«Depuis 30 ans, on tente de censurer les narcocorridos. Mais jusqu'à présent, la prohibition leur a plutôt fait de la publicité", analyse Juan Carlos Ramírez-Pimienta, chercheur à la San Diego State University - Imperial Valley et spécialiste de l'étude de ce genre musical.

Déjà interdits de diffusion à la radio et à la télévision, les narcocorridos prospèrent sur l'internet. Plusieurs États ont tenté d'empêcher leur diffusion dans les lieux publics. Mais en février, la Cour suprême mexicaine a annulé le décret promulgué en ce sens dans l'État du Sinaloa, berceau du genre. Pour M. Ramírez-Pimienta, l'interdiction est vaine. En effet, «les narcocorridos sont une chronique de l'explosion de violence des dernières années et, même s'ils comportent une part de fantaisie, ils nous aideront, plus tard, à comprendre ce qui s'est passé".

Comme un «journaliste»

El Komander, Alfredo Ríos de son vrai nom, partage complètement cette analyse et se compare à un journaliste. «Je décris la réalité qui m'entoure. Je n'encourage pas la violence et je n'admire pas les narcos, mais lequrs histoires m'inspirent. C'est notre culture locale. Je suis comme un bulletin d'informations, mais en chansons», explique-t-il en entrevue téléphonique avec La Presse, depuis le Sinaloa.

Cependant, il avoue qu'au début de sa carrière, comme d'autres compositeurs, il a accepté la commande d'un narcotrafiquant qui désirait une ode à sa gloire: c'est d'ailleurs l'un de ses grands succès, El Katch. «Mais aujourd'hui, je suis libre d'écrire les chansons que je veux.» Il affirme prendre ses distances avec cet univers pour des raisons de sécurité. Au cours des dernières années, une dizaine d'interprètes de narcocorridos ont été assassinés, parfois victimes de leur art, d'une chanson qui n'a pas plu au cartel adverse.

La tournée d'El Komander comporte autant de dates au Mexique qu'aux États-Unis, où il affirme compter la plupart de ses fans. En 2011, Los Tigres de Norte, les parrains du genre, ont enregistré leurs classiques lors de leur propre séance MTV Unplugged, signe du succès de ces chansons de l'autre côté de la frontière. «Tant qu'il y aura des narcos, il y aura des corridos», dit-on au Mexique.
Source : http://www.20min.ch

Chanson ecrite pour El Diablo ( boss du cartel du golfe )


Execution extreme avec la chanson ecrite specialement pour cela
[Contenu extreme : Nous deconseillons la vision de cette video a des personnes sensibles]

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[Insolite] Un kilo d'héroïne disparaît des stocks de la police


Il s'agirait d'une erreur d'inventaire, selon le procureur général Olivier Jornot. Un nouveau protocole a été mis en place pour éviter de nouveaux désagréments.

L'hiver dernier, un kilo d'héroïne a disparu des locaux de la police sis au chemin de la Gravière, informe la «Tribune de Genève». La drogue était destinée aux entrainements de la brigade canine. Averti par la cheffe de la police Monica Bonfanti, le procureur général Olivier Jornot a ouvert une procédure début 2013. L'enquête, menée par l'inspection générale des services, c'est-à-dire la police des polices, a notamment vu l'audition de trois agents en tant «que personne appelées à donner des renseignements».

Au final, le Ministère public a décidé dernièrement de ne pas entrer en matière. Pour le procureur général, il n'y a pas eu de malversation derrière cette disparition d'héroïne. Il s'agirait uniquement d'une erreur d'inventaire. Il demande à la police une meilleure gestion de son stock de stupéfiants. Pour ce faire, un nouveau protocole a été instauré et est entré en vigueur le 23 septembre dernier. Les contrôles menés par la hiérarchie seront désormais plus fréquents et un protocole de traçabilité a été mis en place.
Source : http://www.20min.ch/
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Drogue: le retour des « méga » saisies en Méditerranée

Le 8 septembre dernier, la Marine nationale française a intercepté en Méditerranée, un cargo transportant 20 tonnes de cannabis. C'est la troisième saisies de cette ampleur en 2013 dans cette zone. Une illustration de l'évolution des filières d'approvisionnement du marché européen.

C'est la nouvelle tendance forte de ces derniers mois. Depuis des lustres, la Méditerranée est, logiquement, la principale voie de passage du cannabis à destination du vieux continent, vu que le Maroc est le premier fournisseur de l'Europe (1). Mais les experts ont rarement constaté une telle succession de "méga saisies" en Méditerranée. Le 8 septembre donc, un bâtiment de la Marine nationale française a intercepté le Luna-S, un navire battant pavillon tanzanien, au large de la Sardaigne, avec une vingtaine de tonnes de cannabis à bord. Repéré par un avion de la douane française, il a été pris en chasse par un bâtiment et à son approche, l’équipage a mis le feu au cargo. Les huit membres ont été évacués. Le Luna-S a ensuite été remorqué vers la France (voir le diaporama sur le site de la préfecture de Méditerrannée).

Deux jours plus tôt, un scénario exactement similaire s’était déroulé au large de l’île de Malte. La marine italienne avait intercepté le MV Gold Star, un cargo battant également pavillon tanzanien, dont l’équipage avait, là encore, mis feu au navire, qui transportait cette fois 30 tonnes de cannabis.

Or, en avril précédent, les autorités italiennes avaient intercepté un autre bateau, l’Adam, avec 15 tonnes de cannabis à bord.

Une alternative au nord du Mali

"C'est une tendance forte. Les trafiquants utilisent, certes, aussi d'autres moyens, comme les conteneurs au départ du Maroc. Mais actuellement, ce sont les cargos chargés à bloc de cannabis qui ont la cote chez les trafiquants, indique un officier européen en charge de la lutte contre les stupéfiants. Cela rappelle les années 60-70, quand des bateaux poubelles turcs transportaient de très grosses quantités d'héroïne via Marseille à destination des États-Unis."

Pour ce haut gradé, expert de longue date de la lutte contre les stupéfiants, l'une des explications de ce phénomène tient aux perturbations entraînées par l'intervention internationale au nord du Mali. "Jusque-là, le nord du Mali et le nord du Niger étaient l'une des principales routes détournée du cannabis marocain. Avec l'opération Serval, cette route a été coupée, précise-t-il. Les cargaisons passent toujours mais encore plus au nord, jusqu'à l'extrême nord du Mali et au Tchad, et cette route est devenue résiduelle."

Le rôle de cette fameuse route du nord était d'éviter les contrôles au Maroc et sur ses côtes, et de réacheminer le cannabis vers d’autres pays méditerranéens, d'où la marchandise était transportée vers l'Europe et en partie écoulée sur place. Mais comme cette filière n'est plus aussi sûre, les organisations criminelles ont modifié leurs itinéraires. "Les trafiquants acheminent de plus grosses quantités par le sud du territoire algérien. Elles repartent en général vers la Libye. Les autorités algériennes ont saisi 150 tonnes en 2012, un record!, confie-t-il. Et les chiffres pour 2013 s'annoncent plus élevés encore."  Et donc les trafiquants utilisent également des cargos transportant de très grosses quantités de drogue. "Ils sont chargés au Maroc et déchargés en Égypte ou en Libye; d'où une grande partie de la marchandise repart vers d'autres destinations. Une dizaine de tonnes a d'ailleurs été saisie en Libye durant l'été 2012", confie l'officier européen.

En matière de lutte contre les stupéfiants, la lutte contre le trafic de cannabis est actuellement la priorité numéro 1 pour des pays européens comme la France et l’Espagne, qui ont renforcé leur collaboration en la matière. Il faut dire que l’Espagne est la principale porte d’entrée de l’Europe, vue sa proximité avec le Maroc et l’existence des enclaves de Ceuta et Melila, sur le territoire du royaume chérifien.
                
(1) En 2011, le Maroc arrivait en tête des pays de provenance des saisies de cannabis dans le monde, suivi de l'Afghanistan et, dans une moindre mesure, de l'Inde, du Liban et du Pakistan (source: ONUDC).
Source : http://afriquedrogue.blogs.rfi.fr

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[Insolite] Vendeur de cannabis, il crée le site vendeurdedrogue.com et... se fait arrêter

À 23 ans, Jimmy ne se doutait certainement pas qu’il allait un jour se retrouver en correctionnelle. Et pourtant !

Depuis près de deux mois, ce Guérétois achetait de l’herbe de cannabis sur Internet et en vendait sur son site, vendeurdedrogue.com. Ce n’est pas la gendarmerie spécialisée dans la traque aux malfaiteurs sur le Web mais une dénonciation anonyme qui a finalement et rapidement mis fin à ses agissements.

À la barre le jeune homme a reconnu les faits, soit quelques grammes de cannabis vendus ainsi que la culture d’une dizaine de pieds de cannabis, dans le jardin de ses parents et que sa maman arrosait d’ailleurs régulièrement...

Pour autant le tribunal, comme l’avait requis le ministère public, a fait preuve d’une grande clémence. Le vendeur-revendeur a été condamné à 210 heures de travail d’intérêt général… qu’il fera peut-être dans les jardins de la ville.
Source : http://www.lechorepublicain.fr
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Cocaïne, crack ou méthamphétamine : l’addiction en question

Le premier plan gouvernemental de lutte contre la drogue et les conduites addictives vient d’être adopté. C’est l’occasion de s’intéresser à une publication récente et tout à fait originale sur l’addiction : « High Price » de Carl Hart, mélange entre travail de recherche scientifique et autobiographie.

Une partie de la communauté scientifique admet que l’addiction aux drogues est principalement due à l’action de la dopamine stimulant une zone particulière du cerveau, le système de récompense. Cette stimulation est telle qu’elle pousserait de façon irrépressible les consommateurs à reprendre une dose, les rendant alors esclaves du produit. C’est la fameuse expérience du rat dans une cage à qui l’on donne l’opportunité de s’autoadminister de la cocaïne en actionnant un levier : après la première dose, on observe une augmentation vertigineuse du nombre de fois où le rat actionne le levier.

Dans son livre, Carl Hart, professeur à l'université Columbia de New York, propose une théorie différente en émettant l’hypothèse que les drogues ne seraient pas si irrésistibles qu’on pourrait le penser. Après tout, 80 à 90% des personnes qui essaient le crack ou la méthamphétamine ne deviennent pas dépendants. Pour tester son hypothèse, Carl Hart recrute des consommateurs de crack pour une expérience de plusieurs semaines dans une clinique. Au début de chaque journée, les participants se voient offrir une dose de crack. Ils ont les yeux bandés, de façon à ce qu’ils ne puissent pas voir la quantité de produit qu’ils s’administrent. Ensuite, chaque participant a l’opportunité de consommer à plusieurs reprises au cours de la journée la même dose de drogue que celle du matin. Mais à chaque fois qu’on leur propose une nouvelle dose, les expérimentateurs leur offrent aussi la possibilité de choisir une option alternative à la drogue : un billet de 5 dollars ou des bons d’achat. Les jours où les doses de crack sont suffisamment importantes, les participants choisissent de continuer à fumer du crack toute la journée. Par contre, lorsque les doses sont plus faibles, les participants choisissent l’alternative financière.

L’auteur a obtenu des résultats similaires avec la méthamphétamine. Il a observé également que lorsqu’on proposait une récompense alternative de 20 dollars au lieu de 5, tous les consommateurs de crack ou de méthamphétamine choisissaient l’argent à la place de la drogue, quelle que soit la quantité de substance absorbée en début de journée.

Selon Carl Hart, les participants de son étude « ne correspondent pas à cette caricature de l’addict qui ne plus peut s’arrêter après avoir expérimenté le produit […]. Dès qu’ils rencontrent une alternative à la drogue plus motivante, ils prennent des décisions rationnelles ».

Loin de dire que les drogues sont sans danger, l’auteur tente plutôt de suggérer que dans de nombreux cas de dépendance, la substance addictive jouerait un rôle plus faible que l’environnement dans lequel elle est consommée. Crack et méthamphétamine séviraient particulièrement dans les quartiers défavorisés, non par à cause du pouvoir addictogène de la substance en elle-même, mais plus parce que de tels environnements ne fourniraient pas assez de motivations alternatives. Ainsi, si vous vivez dans un environnement déprivé d’alternatives motivantes, il devient donc « rationnel » de choisir une substance dont les effets pharmacologiques vous procureront beaucoup de plaisir.

Selon l’auteur, le consommateur « esclave » de sa drogue serait donc une interprétation erronée des expériences réalisées sur les rats de laboratoire : les rats qui s’autoadministrent sans modération de la cocaïne n’ont le plus souvent aucune option de comportement alternatif. Par contre, dès que l’on enrichit leur environnement en leur donnant accès par exemple à de la nourriture attrayante ou en leur offrant la possibilité d’interagir avec d’autres rats, ils arrêtent d’actionner le levier.

Pour l’auteur, le facteur clé dans le phénomène d’addiction serait donc l’environnement social, qu’il s’agisse de rats ou d’êtres humains.
Source : http://blog.francetvinfo.fr/
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Cannabis : les policiers revoient leurs façons de faire

La saison des récoltes de cannabis tire à sa fin pour la Sûreté du Québec, alors que les premiers gels au sol devraient survenir d'ici quelques semaines.

Les policiers ont pratiquement terminé de visiter les plantations identifiées à l'aide de la géomatique. «Les quelques saisis qui restent à réaliser le seront grâce à l'information fournie par le public», nous a confié le directeur du poste de la SQ de la MRC de Nicolet-Yamaska, le lieutenant Daniel Badeau.

De façon à être encore plus efficace, la Sûreté du Québec reverra ses méthodes d'enquêtes au niveau de la détection aérienne, eux qui se fient principalement à la géomatique et aux informations reçues du public.

«On est de train de remettre en question nos façons de faire, admet le lieutenant Badeau. À d'autres endroits, ils font des patrouilles aériennes et prennent des points GPS. Peut-être qu'on va faire ça en plus de la géomatique. Il y a plusieurs choses à analyser.»

Nette amélioration

Jusqu'ici, les saisies de cannabis réalisées en 2013 ont permis de mettre la main sur une quantité comparable à l'an dernier, selon ce que nous a informé Daniel Badeau.

Depuis 5 ans, avec l'implantation des contrats sociaux signés par les agriculteurs et les propriétaires de boisés ainsi que la ligne «Échec-au-crime», une nette amélioration a été observée.

Lors du bilan des activités de Stop Cannabis, on notait que 52 000 plants ont été saisis sur la Rive-Sud en 2012, dont 45 329 dans Nicolet-Yamaska. C'est une diminution considérable par rapport aux 101 000 plants saisis en 2010.

Continuer la lutte
Même s'il y a eu des améliorations notables au cours des dernières années, Daniel Badeau estime que les gens doivent continuer de dénoncer.

«Il ne faut pas se gêner. Plus on recevra d'information du public, plus nous serons forts et moins ce sera confortable pour les producteurs de venir ici, mentionne le directeur du poste de la SQ de Nicolet-Yamaska. C'est devenu beaucoup moins pire sur le sentiment d'insécurité des gens.»
Source : http://www.lecourriersud.com

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jeudi 26 septembre 2013

Cannabis: ce qui se passe quand le commerce devient légal

A partir du 1er janvier 2014, le cannabis sera complètement légal dans les Etats de Washington et du Colorado. Ce dernier autorise déjà, depuis 2000, la consommation de marijuana pour usage médical. Cela fait donc plus de dix ans que cet Etat du centre des Etats-Unis a vu se transformer une économie souterraine et illégale en un business autorisé, rentable et attractif, qui a même eu le temps de s’emballer en 2011. Ce phénomène économique est rare et mérite d’être observé de près estime Business Insider:
«Ce qui se passe au Colorado est un incroyable cas d’école sur ce qui se passe quand un marché au noir devient légal, et c’est probablement quelque chose que nous ne reverrons plus jamais au cours de notre vie.»
Et le journaliste de ce site Internet n’est pas le seul à regarder cette transformation de près, «le reste des Etats-Unis regarde attentivement le Colorado», explique The Guardian, parce que l’industrie du cannabis pourrait représenter entre 45 et 100 milliards de dollars (33 et 74 milliards d’euros) selon les économistes.
Mais revenons au Colorado. Après avoir rendu légal l’usage médical de marijuana, de nombreux «dispensaires» ont ouvert pour pouvoir vendre de la drogue aux consommateurs. Le commerce s’est emballé, et l’industrie est  devenue «comme un cheval fou, s’échappant d’une étable en feu», estimait la propriétaire d’un dispensaire dans CNBC en 2010.
Les autorités du Colorado ont tenté de réguler le système avec le Colorado Medical Marijuana Code la même année, dont deux mesures ont contribué à empirer la situation:
  • les dispensaires qui vendent du cannabis doivent produire 70% de leurs stocks (obligeant vendeurs et producteurs à travailler ensemble)
  • la production de plante est limitée à 6 pieds par patients (c’est-à-dire que plus un dispensaire a de clients plus il peut augmenter sa production)
Résultat: tout le monde s’est mis à produire du cannabis même ceux qui n’y connaissaient rien. L’herbe des néophytes, moins bonne, ne justifiait pas les tarifs pratiqués auparavant et les vendeurs ont commencé à casser leurs prix, obligeant la concurrence à faire de même. En 2011, les prix du cannabis se sont effondrés, conduisant à un crash. Le marché a fini par s’autoréguler et seuls s’en sont sortis ceux qui ont continué de produire, en plus petite quantité, une herbe de meilleure qualité vendue aux tarifs d’avant.
Le marché attire de nombreux investisseurs, qui souhaitent se lancer dans la production et la vente de cannabis. Mais s'il y a beaucoup d'appelés, les élus sont peu nombreux, d’autant qu’une loi fédérale interdit aux banques de prêter de l’argent à des entreprises qui vendent des drogues toujours illégales à l'échelle nationale, révèle The Daily Beast.
La conclusion se trouve sur le site de Business Week:
«Le Colorado a l’opportunité de prétendre au statut de précurseur dans l’industrie du cannabis, si elle est financée correctement. (…) Cet Etat a l'opportunité de construire les premières grandes entreprises et les premières grandes marques. Mais cela va être compliqué pour lui, s'il n'est pas capable de mettre à sa disposition les mêmes financements que pour les autres industries.»
Source :  http://www.slate.fr/

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Guide du smoker a la Cannabis Cup d'Amsterdam

Les festivités de la 26ieme Cannabis Cup sont à venir, et de nombreux coffee shops de la ville, des bars, restaurants, musées et autres attractions sont impatients d'accueillir et vous servir avec courtoisie, la qualité et les meilleurs rafraîchissements à base de plantes disponibles.

Il est important d'être conscient que la scène du coffeeshop néerlandais est sous attaque politique grave comme jamais auparavant. Pression incessante d'autres pays (comme les Etats-Unis, la France et la Suède) et une marée conservateur montante dans le corps législatif hollandais ont quitté les magasins aujourd'hui plus vulnérables que à n'importe quel moment dans l'histoire.

Les dates de mouvement coffeeshop à la fin des années 1960 et a été officiellement tolérée depuis 1972, mais les dernières années ont vu la réglementation serrée du commerce de cannabis. Coffeeshops ont été contraints de choisir entre servir de l'alcool ou de produits du cannabis, alors maintenant l'achat d'un bourgeon et une bière dans le même lieu est entièrement une chose du passé: Il n'ya absolument aucune consommation d'alcool autorisé dans les coffeeshops d'exploitation.

Ensuite, le gouvernement néerlandais a chargé qu'il ne pouvait y avoir ni publicité, de la disponibilité des produits du cannabis à n'importe quel établissement. Même les menus de cannabis toujours présents dans les magasins doivent maintenant être affichés face cachée jusqu'à ce que le client demande à les examiner, ou de voir les bourgeons des mauvaises herbes et des blocs de hachage sous la main. Et maintenant, dans le cadre d'une tendance croissante à travers l'Europe, l'usage du tabac est interdit dans les restaurants, bars et autres lieux publics - et cela inclut les coffeeshops où la marijuana est encore vendu et fumé.

L'interdiction de fumer du tabac est entrée en vigueur le 1er Juillet 2008, forçant les clients coffeeshop qui souhaitent fumer un spliff traditionnel (la commune d'une demi-weed, demi-tabac qui est très populaire chez les fumeurs néerlandaises et européennes) à modifier leurs habitudes. Même si cela peut sembler une nuisance pour les nombreux visiteurs de coffeeshops, il est important de se rappeler la loi a été promulguée officiellement pour protéger les travailleurs contre la fumée secondaire.

Alors s'il vous plaît soyez conscient que fumer en public décriminalisation est un privilège d'être à la fois apprécié et respecté pendant que vous êtes à Amsterdam. Ce n'est pas une grande chose pour les citoyens néerlandais, qui ressemble à fumer de la marijuana comme une activité de loisir acceptable meilleur pratiquée en privé ou dans les espaces publics comme les coffeeshops. Votre séjour sera des plus enrichissante si vous maintenez un sens du décorum et de respecter les coutumes locales partout où vous allez.

Une triste réalité pour les voyageurs américains est la disparité sévère de la valeur du dollar américain par rapport à la monnaie locale, l'euro. Lorsque vous changez votre argent américain contre des euros, vous perdrez immédiatement 25 à 30 pour cent de vos dollars.

SE DÉPLACER

Amsterdam dispose d'un système de transport public formidable que vous pouvez obtenir à peu près n'importe quelle partie de la ville en peu de temps par le tram, métro (métro) ou bus. Vous pouvez acheter des billets du conducteur à bord, mais le mieux est d'acheter un strippenkaart à un bureau de tabac ou de tourisme au prix de € 6.40. Le préposé à bord de chaque tram va tamponner votre strippenkaart de deux bandes ou plus, en fonction du nombre de zones dont vous avez besoin pour voyager à travers, et vous pouvez voyager dans ces zones par le tram, le bus ou le métro dans n'importe quelle direction pour les prochaines heures sans des frais supplémentaires.

Soyez conscient que les trams et le fonctionnement de cessez métro chaque nuit quelque part entre minuit et 00h30, donc si vous avez l'intention de prendre le tram retour à votre hôtel après une soirée de divertissement ou au restaurant, assurez-vous d'obtenir à la arrêt de tram juste aux alentours de minuit ou prendre un taxi pour rentrer après.

Le taxi est un autre bon (mais plus coûteux) façon de se déplacer en ville. Il ya des stands de taxi situé à proximité de la plupart des grands hôtels et les grands lieux publics. Les taxis ne sont pas autorisés pour une croisière pour les passagers à Amsterdam comme ils le font dans de nombreuses autres villes, si vous devez appeler un taxi pour venir vous chercher (composer le , ou demander au personnel où que vous soyez à appeler un pour vous ) ou la tête de la première voiture en ligne sur le taxi le plus proche se situent.

Le vélo est très populaire à Amsterdam, et la location d'un vélo est un excellent moyen de se déplacer. Location de vélos ont tendance à être un prix raisonnable, et les serrures sont fournis ainsi. Ne pas oublier d'utiliser les serrures ou le vélo est pratiquement assuré d'être volé: vol de vélo est l'une des plus grandes catégories de crimes contre les biens aux Pays-Bas, alors s'il vous plaît ne pas encourager cette tendance laide en achetant un vélo de quelqu'un sur le rue.

Il ya trois voies dans chaque direction pour le trafic sur la plupart des rues principales: l'une pour les voitures, l'une pour les vélos et le centre d'un des tramways et taxis. Les trottoirs et les pistes cyclables sont parfois séparés seulement par une ligne sur le bord de la chaussée. Prêtez attention à l'endroit où vous êtes debout ou en marchant dans les rues, à tout moment, et de ne jamais rester immobile dans une piste cyclable. Et quand vous entendez le tintement insistante de sonnettes de vélo, sortez de là! Si vous êtes pris dans une piste cyclable et faire frapper par un vélo, il est toujours de votre faute.

Enfin, il ya toujours le plaisir intense de la marche autour de cette belle ville. La moitié des coffeeshops en compétition dans la Cannabis Cup de cette année peut être trouvé sur une promenade dans la zone entre la gare centrale et la place Dam. Le reste se trouvent à proximité sur Haarlemmerstraat (juste à l'ouest de la gare centrale), dans le Spui (juste en dessous de la place du Dam), ou dans et autour de la place Leidseplein et Rembrandtplein, avec seulement deux ou trois autres dans des zones périphériques au-delà de la distance de marche.

Musés

Amsterdam est la ville des musées. Il ya 33 musées situés à l'intérieur des limites de la ville, et ce sont seulement ceux qui sont régulièrement ouverts au public. La plupart sont des musées d'art - Amsterdam a toujours été le foyer de nombreux artistes incroyables, notamment Rembrandt et Van Gogh, qui ont tous deux leurs propres musées - mais il ya aussi plusieurs musées de sciences différentes, ainsi que des musées pour les médias, photographie, architecture, religion, la construction navale et de l'histoire. Le Rijksmuseum renom, le légendaire trésor des Pays-Bas, en tête de la liste des institutions culturelles de la ville, qui comprend également le Musée historique d'Amsterdam, la maison d'Anne Frank, le musée de cire de Madame Tussaud, le Jardin botanique et le zoo Artis. Il ya même un musée de cannabis et un musée du sexe. Aller à amsterdammuseums.nl pour des informations complètes.

Repas au restaurant

Amsterdam est plein de restaurants qui offrent à peu près tout s'il vous plaît votre palais. La Leidseplein est une région particulièrement fertile, mais l'ensemble de la ville Centrum dispose de plusieurs spots bon petit déjeuner et d'innombrables restaurants offrant indien, afghan, indonésien, chinois, thaï, argentin, mexicain, turc, du Moyen-Orient, japonaise, américaine, britannique et, bien sûr , de la nourriture traditionnelle néerlandaise. Une astuce spéciale: Pour les amateurs de steak et côtes levées, De Klos sur Kerkstraat près de la Leidseplein (à quelques pas des dauphins) vous attend avec les choses que vous aimez.

Pour les végétariens, il ya de grands endroits comme Deshima Proeflokaal (Weteringschans 65), Temple d'Or (Uitrechtsestraat 126), De Bolhoed (Prinsengracht 60-62) et De Waaghals (Frans Halsstraat 29).

Il ya aussi beaucoup, beaucoup de fast-foods, pizzerias et snack-bars, à partir de l'automate de type sandwiches emballés à FEBO à la myriade falafel et shawarma se tient à l'inévitable Burger King et les franchises McDonald. Domino a envahi la ville aussi, donc toute la zone est couverte pour la livraison de pizza. Obtenez le numéro de téléphone de la plus proche à partir de la réception de votre hôtel, où vous pouvez vous attendre à trouver toute une sélection de menus de livraison des restaurants locaux disponibles pour votre lecture.

Si vous préférez manger dans votre chambre d'hôtel et économiser de l'argent, faire un voyage à la plus proche supermarché Albert Heijn. Ils ont des plats à emporter ainsi que tous les articles de supermarché de base. Moins cher est la chaîne Dirk van de Brock, offrant presque tout ce que vous pouvez obtenir chez Albert Heijn, mais à des prix un peu moins cher. Il ya aussi des petits marchés de quartier partout où vous allez.

Les épiceries ont tendance à fermer en 20 heures, et la plupart sont fermés toute la journée de dimanche aussi. Après 20 heures, vous pouvez trouver plusieurs snack-bars et avondwinkels (magasins de nuit) qui sont habituellement ouverts jusqu'à environ 1 heures; après cela, vous êtes à la recherche de la substance dans les distributeurs automatiques dans le hall de votre hôtel. Un peu de planification préalable peut vous hip profondément dans les denrées alimentaires de qualité de votre choix maintenir sans avoir à se déplacer autour à toutes les heures.

Achats

Ils disent que Amsterdam offre des possibilités de shopping à gogo, de boutiques, créateur du label haut de gamme de plusieurs excellents anciens marchés mondiaux de la rue et littéralement tout le reste. Une rue commerçante allongée, la Nieuwendijk, relie le Damrak et Nieuwezijds Voorburgwal et se poursuit sous la place du Dam comme la Kalverstraat, il dispose d'une incroyable sélection de boutiques de toutes sortes. À l'extrémité sud de la ville, dans la zone appelée le Pijp, vous trouverez le marché Albert Cuyp, l'une des plus anciennes et les plus connues marchés en plein air d'Amsterdam. Il ya un autre grand marché en plein air de Waterlooplein et un marché aux fleurs mondialement connu, non loin de la place du Dam, ainsi que d'un grand marché de livres usagés sur le Spui tous les vendredis.

Acheteurs sérieux disent que les meilleures affaires en ville peuvent être trouvés dans les petits marchés qui parsèment la ville - et même si vous n'êtes pas en mode achat, vous pouvez observer toutes sortes de gens et de produits intéressants à ces endroits colorés. Il ya aussi quelques étonnantes petites boutiques dans de nombreux quartiers de la ville. Vous pouvez trouver presque tout ce que vous pouvez imaginer ici, à Amsterdam.

Pour certains, la plus ancienne espèce du monde des affaires, il ya le légendaire Red Light District, un phénomène unique qui donne à la notion de lèche-vitrine une toute nouvelle dimension. La prostitution est légale et réglementée par le gouvernement, et les dames attrayantes qui offrent leurs charmes à vendre exposer leurs produits dans les fenêtres rouges éclairées au néon que le Front leurs quarts de travail.

Amsterdam est un centre pour les ventes de diamants, avec une abondance de magasins de bijoux et centres de diamants qui offrent également des visites guidées de leurs installations, où vous pouvez voir les pierres sont classés, taillé, poli et monté. Vous pouvez obtenir des offres vraiment intéressantes à ces endroits, mais n'oubliez pas de faire le tour si vous avez l'intention de faire un achat sérieux.

Une des meilleures expériences de shopping à Amsterdam, croyez-le ou non, c'est le centre commercial à l'aéroport de Schiphol. Il ya un choix incroyable d'endroits pour magasiner (duty-free), et vous pouvez ramasser tous vos cadeaux et de souvenirs de dernière minute pour vos proches à la maison avant de prendre votre vol de retour aux Etats.

Douanes néerlandaises

La Cannabis Cup attire des gens de partout dans le monde pour célébrer les usages spirituels, médicaux, industriels et récréatifs du cannabis. Alors à Amsterdam, s'il vous plaît n'oubliez pas que les arguments en faveur de la légalisation de la marijuana deviennent plus fortes lorsque les participants de la Coupe du cannabis se conduisent d'une manière respectueuse et responsable.

Une leçon d'étiquette rapide à la douane néerlandaise peut vous aider à profiter plus pleinement de votre séjour dans cette belle ville et tolérante.

Soyez poli! Les Européens sont plus formels que les Américains. N'oubliez pas de dire «s'il vous plaît» et «merci». Presque tout le monde aux Pays-Bas parle anglais, donc juste dire, "anglais, s'il vous plaît», et la plupart seront heureux d'obliger. Les gens en général sont gentils et prêts à aider, si vous avez besoin des directions ou toute autre aide, n'hésitez pas à demander.

La consommation de cannabis publique n'est généralement pas acceptable dans la société néerlandaise. Alors que la consommation de marijuana est tolérée par le gouvernement, les fumeurs sont sage de limiter leur consommation de coffeeshops désignés et des maisons privées. Les juges doivent être discret par égard pour les non-fumeurs et les coutumes locales. Sauf si vous êtes dans un coffeeshop ou votre chambre d'hôtel, demandez toujours la permission avant d'allumer. Aussi, ne pas fumer du cannabis dans le hall de votre hôtel ou couloirs.

Lors des coffeeshops de cannabis, de la marijuana et le haschisch sont vendus soit derrière le bar ou dans une fenêtre séparée. La plupart des magasins de fournir un menu écrit, mais en raison de l'interdiction par le gouvernement de toute sorte de publicité des produits du cannabis, vous auront généralement de demander à voir le menu ou comme échantillons présentés. Beaucoup de magasins offrent également du papier à cigarettes gratuites et petites bandes de carton pour la fabrication de pointes filtrantes. Quelques coffeeshops fournissent des tuyaux, pipes à eau et / ou des vaporisateurs pour utilisation par le client.

Coffeeshops sont des lieux pour flâner, offrant une ambiance salon-away-from-home où vous pouvez vous sentir libre de lire, écrire, jouer, parler à des amis ou rencontrer des étrangers tout en profitant d'une boisson et une fumée détendue. Quel que soit leur choix, il est considéré comme poli de manger ou boire quelque chose tout en coffeeshop. Dans le quartier touristique (la zone rouge clair / Dam Square), des magasins exigent que vous achetez quelque chose pour s'asseoir.

Soyez patient. Même si vous vous dépêchez de boutique en boutique pour la Coupe, il faut savoir que le service néerlandais est tranquille et personnelle. Beaucoup d'Américains parlent trop fort et sont trop impatient par rapport aux normes néerlandaises, alors soyez cool et montrez votre respect pour le personnel et les autres clients. Alors que les coffeeshops exécuter automatiquement un onglet si vous ne payez pas que vous êtes servis, il est plus facile de pay as you go pendant la période de la Coupe du cannabis occupé. Gardez à l'esprit également que, en Hollande, il est considéré comme impoli pour le serveur de présenter un projet de loi avant qu'il ne soit demandé. Votre patience sera grandement appréciée, surtout depuis la Coupe rassemble plus de gens à certains coffeeshops dans une journée qu'ils ne servent normalement dans une semaine.

Un mot d'avertissement: si vous voulez manger des concoctions de cannabis appelés gâteaux de l'espace, faites attention - il peut prendre une heure pour ressentir les effets sur un estomac vide, jusqu'à deux heures si vous avez déjà mangé un repas. Les effets durent beaucoup plus longtemps et sont plus intenses que de fumer du cannabis. réactions de panique sont fréquentes, même avec des utilisateurs réguliers. gâteaux de l'espace utilisé pour être plus répandue en Hollande, mais le gouvernement néerlandais se sont fatigués de touristes devient trop élevé et vue maintenant cannabis comestible comme pratiquement une drogue dure.

Bon sejour !!!!!

Source : http://www.hightimes.com
Traduction via google 
Complement : Cliquez ici

Site officiel : http://www.cannabiscup.com/
Sejour et logements : Cliquez ici

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La thérapie par l'écriture de Benoît, un ex-héroïnomane

Le Lyonnais Benoît Vallarnaud a été dépendant durant plusieurs années avant de finalement remonter la pente et d'écrire son histoire dans Ma belle héroïne.

Il était très sportif, ne buvait pas ni ne fumait. Et pourtant, la vie de Benoît Vallarnaud a bien failli basculer définitivement du mauvais côté. En 2005, ce Lyonnais de 29 ans a commencé à consommer un peu d’héroïne lors d'une soirée. Juste une dose, mais c'est le début de l’engrenage. Très vite, il recommence, et en consomme parfois jusqu’à 10 grammes par jour.

"A l’époque, j’étais brancardier aux urgences à Romans-sur-Isère, dans la Drôme. J’ai commencé à vivre dans ma bulle, à ne plus voir mes amis, à me couper du monde. Je ne côtoyais plus que des toxicos, confie-t-il. Comme j’avais tout le temps réponse à tout, personne dans mon entourage ne remarquait quelque chose, même pas mes parents ou ma copine." Mais les dettes, elles, s’accumulent (près de 15 000 euros en tout), et Benoît, plus dépendant que jamais ("j'aurais vendu père et mère pour une trace"), grossit et prend plus de 15 kilos. Il ne paie plus son loyer, contracte un prêt bancaire, doit de l’argent à différents dealers.

L'écriture comme exutoire

Un jour, aux urgences, une jeune femme toxicomane arrive sur un brancard. C’est la révélation. "Je me suis vu à sa place, et j’ai décidé d’agir pour m’en sortir. D’abord en parlant beaucoup de mes problèmes avec une infirmière. Puis en me mettant à écrire." Sa descente aux enfers, il la retranscrit dans un manuscrit intitulé Ma belle héroïne, un véritable exutoire en forme de journal intime. Mettre des mots sur ce qu’il a vécu constitue pour lui une véritable "libération", presque une nouvelle drogue. Il arrête de jouer un rôle et avoue tout à ses proches, qui tombent quasiment tous des nues.

Alors qu’il pense en avoir enfin fini avec tant d’années d’errances, un ancien dealer le braque juste avant Noël 2012, l’obligeant à vider un compte bancaire qu’il venait à peine de garnir à nouveau. "C’était le destin qui me disait ‘pas trop vite, tu n’en as pas encore fini avec cette période de ta vie'’". Aujourd’hui barman dans le centre-ville de Lyon, Benoît projette de passer des concours pour devenir infirmier. Avec une seule envie, "rattraper le temps perdu et permettre à d’autres de s’en sortir".
Source : http://www.metronews.fr/

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Tout roule pour le marché des feuilles longues

Si la consommation de cannabis en France est toujours pénalisée, de nombreux produits permettant sa consommation sont en vente libre. Une hypocrisie ?

Depuis l'élection de François Hollande, et malgré quelques voix discordantes, dont celle notamment de Cécile Duflot, le gouvernement Ayrault a toujours maintenu sa position pour l'interdiction du cannabis et la pénalisation des consommateurs et des revendeurs. Pourtant, force est de constater qu'il existe aujourd'hui « un marché légal » autour des produits liés à la consommation d'herbe. Papier à rouler de grande taille, grinder (accessoire destiné à effriter l'herbe), pipes ou bang sont largement distribués chez les revendeurs et s'affichent au milieu des bonbons et des briquets dans les catalogues de leurs fournisseurs. Le propriétaire d'un débit de tabac de Saint-André-les-Vergers fait rapidement le compte sur sa caisse enregistreuse. En une journée, il a vendu une cinquantaine de paquets de 32 feuilles longues, principalement de marque OCB®, devenu le leader indiscutable face à Rizla® ou Yeuf®. Soit l'équivalent de 1 600 joints quotidiens, en supposant que les grandes feuilles soient exclusivement réservées à la consommation de résine de cannabis. En 17 ans de carrière, il a clairement vu la situation évoluer : « Dans les premières années, les grandes feuilles se vendaient discrètement, précise le vendeur. Aujourd'hui, de 18 à 50 ans, il n'y a plus aucune gêne. Les ventes sont banalisées. » Une grand-mère se rend même chez lui, chaque jeudi, pour acheter un exemplaire de feuilles « slim » et des cigarettes pour son petit-fils. « Et ce n'est pas la seule », tient-il à préciser.

« Le législateur n'est pas plus bête que moi »

Le buraliste n'hésite pas alors à parler d'hypocrisie. « Aujourd'hui, il est possible d'acheter les cartons à part (filtres pour rouler des joints, NDLR), et certains paquets les ont même directement intégrés. Le législateur n'est pas plus bête que moi. » Clin d'œil, les filtres qu'il vend dans son commerce s'intitulent Enjoy Freedom. Autrement dit, « Profitez de la liberté », en français dans le texte. Suffisamment évocateur. « C'est une incitation directe à fumer des joints, estime, quant à lui, Stéphane (le prénom a été modifié), 43 ans et consommateur de pétards depuis plus de vingt ans. Quand vas-tu te rouler une cigarette aussi grande ? Je veux bien croire encore que les papiers à rouler parfumés peuvent être destinés au tabac, mais les grandes feuilles… »

Une proposition de loi

Certains hommes politiques ont déjà essayé d'élever la voix contre la vente de ces produits. Alors Premier ministre de Jacques Chirac, Jean-Pierre Raffarin était apparu sur plusieurs plateaux télé accompagnés de paquets de feuilles longues, en estimant qu'il s'agissait d'un « très grave problème de santé publique ». Quelques années plus tard, en 2008, c'était au tour du député UMP du Val-d'Oise Yannick Paternotte, soutenu d'ailleurs par Nicolas Dhuicq, député de la première circonscription de l'Aube, de proposer un texte de loi visant notamment à taxer le papier à rouler de la même manière que le tabac. « Là où le marché du tabac à rouler nécessite un volume de 60 millions de cahiers de feuilles, le marché français du papier à cigarettes s'établit autour de 150 millions. Le reste semble servir à alimenter la consommation d'un marché de produits stupéfiants », expliquait la proposition de loi présentée à l'Assemblée. Si cette dernière a eu l'effet d'un pétard mouillé, le buraliste de Saint-André estime que ces produits sont nécessaires à l'équilibre de son commerce : « Pour les professionnels, ce sont des produits à fort taux de marge, les prix sont libres et assujettis à aucun contrôle. Cela fait partie de l'équilibre financier des marchands de tabac. » Et de conclure que sur ces 150 millions de paquets de feuilles vendus par an, « 19,6 %, ce n'est pas rien pour l'état. »

Source : http://www.lest-eclair.fr/
 

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Plus rentable que le traffic de drogues , Le trafic de faux médicaments en plein essor

L'Institut de recherche anti-contrefaçon de médicaments publie mercredi une étude pour alerter sur la contrefaçon croissante de médicaments au niveau mondial, notamment via Internet. 50% des médicaments vendus en ligne seraient des faux. L'Institut dénonce aussi l'augmentation du trafic organisé par de simples particuliers.

Qu'est-ce qui est moins risqué et beaucoup plus rentable que le trafic de drogue ? Le trafic de médicaments. Si bien que ce marché est en plein essor et que ce sont parfois de simples particuliers qui concurrencent des criminels aguerris, révèle une étude publiée mercredi par l'Institut de recherche anti-contrefaçon de médicaments (IRACM).

Selon l'Agence de santé américaine, un médicament sur dix vendus dans le monde est un faux. Et selon l'Organisation mondiale de la santé, un médicament sur deux vendus sur Internet est un faux. Toutes les classes sont concernées : antibiotiques, contraceptifs, antipaludiques et même médicaments antirejet et contre le cancer.

Des médicaments parfois inactifs, mais parfois dangeureux

Ce marché des faux médicaments représenterait un peu plus de 10 milliards d'euros par an en Europe, dont un milliard en France. Dans les pays développés, 1% des médicaments seulement sont contrefaits. Mais dans certains pays d'Asie, d'Amérique du Sud et d'Afrique, un tiers le seraient. Et les conséquences peuvent être dramatiques, car les médicaments sont parfois simplement inactifs, mais parfois carrément dangeureux : en 2009, 84 enfants nigérians sont morts après avoir absorbé un sirop contre la toux qui contenait de l'antigel.

"Heureusement notre réseau actuel pharmaceutique en France semble nous protéger à l'égard de ces trafics", indique le professeur François Chast, pharmacologue et toxicologue à l'Hôtel-Dieu à Paris. "Mais il faut s'attendre tôt ou tard à ce que ce type d'accident arrive aussi en France", ajoute-t-il.


"Une criminalité en col blanc, qui travaille dans le secteur de la santé" 

Cette étude s'intéresse aussi au rapport entre la contrefaçon de médicaments et les organisations criminelles. La place des organisations criminelles "classiques" et des réseaux terroristes dans ce trafic, difficile à estimer, semble limitée, souligne le rapport. Même si certaines grande sorganisations criminelles s'intéressent au buisness.

Mais selon Eric Przyswa, auteur de l'étude, le marché du faux médicament est plutôt dominé par "une criminalité en col blanc, qui travaille dans le secteur de la santé" et qui s'allie parfois à des particuliers. Internet facilite le trafic pour les particuliers Car pour les particuliers, le principe est simple : importer des médicaments contrefaits provenant d'Inde ou de Chine, par la Poste, et les revendre sur la toile à des prix attractifs.

 "Cette démocratisation de la criminalité est évidente dans le cas de la cybercriminalité où des outils informatiques puissants sont facilement accessibles pour un internaute anonyme", indique le rapport de l'IRACM. Mais alors, comment repérer ces faux sites ? "Des fautes d'orthographe, une hotline qui ne marche pas, laissez tomber", conseille Wilfrid Rogé, directeur adjoint de l'IRACM.

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Trafic de drogue au Pérou: deux jeunes femmes plaident coupables

Une jeune Irlandaise et une Britannique plaideront coupables mardi devant un tribunal péruvien, reconnaissant avoir voulu importer 11 kilos de cocaïne en Espagne, a annoncé mardi la Cour supérieure de justice de Callao, le port voisin de Lima.

Michaella McCollum Connolly, Irlandaise de 20 ans, et Melissa Reid, Britannique de 19 ans, vont déclarer "qu'elles savaient qu'elles allaient transporter de la drogue et qu'elles regrettaient d'avoir participé à cet acte", précise un communiqué de presse du tribunal.


"Je me sens mal à cause de la douleur que cela va causer à ma famille. J'assume la totale responsabilité" de mes actes, a déclaré Melissa Reid tandis que Michaella McCollum Connoly s'exprimait dans des termes similaires, selon le communiqué du tribunal.

Les deux jeunes filles ont été arrêtées le 6 août à l'aéroport international de Lima avec 5,7 kg de cocaïne dans les bagages de l'Irlandaise et 5,8 kg dans ceux de la Britannique.

En reconnaissant leur culpabilité, les jeunes filles pourront obtenir de meileures conditions de détention tandis que la procédure sera considérablement abrégée. D'après la législation péruvienne, les deux Européennes encourent entre 8 et 15 ans de prison, a indiqué le tribunal.
Après leur arrestation, les jeunes filles avaient affirmé qu'elles avaient accepté de transporter de la drogue en Espagne parce qu'elles avaient reçu des menaces de mort contre elles et leurs familles.

L'affaire intéresse particulièrement la Grande-Bretagne parce que leurs familles les avaient signalées comme disparues, après des vacances à Ibiza, dans les Iles Baléares (Espagne), en juillet.

Il s'en était suivi une vaste campagne en Grande-Bretagne pour les rechercher, jusqu'au moment où la nouvelle de leur arrestation au Pérou avait été publiée.
AFP
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Le Venezuela, plaque-tournante du trafic de drogue vers l'Europe

S'il ne compte pas parmi les principaux pays producteurs de drogue, le Venezuela, par sa proximité avec la Colombie et son degré élevé de corruption, s'est converti en pôle de transit du trafic de cocaïne vers l'Europe et les Etats-Unis.

La France a annoncé samedi la saisie record dans un aéroport parisien de plus d'1,3 tonne de cocaïne dans une trentaine de valises en provenance de Caracas.
Cet évènement constitue pour les experts l'illustration de la mutation du Venezuela en porte de sortie des drogues produites en Colombie -avec laquelle il partage 2.200 km de frontières-, mais aussi au Pérou et en Bolivie.
Ces trois pays sont les principaux producteurs de la feuille de coca, matière première de la cocaïne.

Selon Hernan Matute, expert dans ce domaine, le Venezuela est devenu un important point de départ des routes maritimes et aériennes vers les Etats-Unis et l'Europe -principalement l'Espagne- du fait de "sa situation géographique" ouverte sur l'Atlantique, de la porosité de ses frontières, ainsi que du "degré élevé de corruption" dans ce pays.

Il existe deux principaux itinéraires empruntés à partir du Venezuela. L'un part de la côte ou des îles caraïbes et rejoint l'Afrique de l'ouest puis les Canaries (Espagne), et l'autre aboutit au Mexique, d'où la drogue est acheminée vers les marchés américain et canadien par les cartels, selon M. Matute.

Les autorités vénézuéliennes assurent que depuis la fermeture du Bureau local de l'agence antidrogue américaine (DEA) en 2005, leur stratégie de lutte contre le trafic de stupéfiants a été efficace.

Quelque 38 tonnes de drogues ont déjà été saisies en 2013 (45 tonnes en 2012), et les récentes arrestations de plusieurs barons colombiens de la drogue tels que Daniel Barrera Barrera, interpellé en septembre 2012 dans l'ouest du Venezuela, aux confins de la Colombie, plaident en leur faveur.

Selon le Bureau national antidrogue, les autorités vénézuélienne ont arrêté 109 importants acteurs du trafic de drogue entre 2006 et 2013, mais le gouvernement américain juge ces efforts insuffisants.

Un des pays les plus corrompus au monde

L'arrestation ces derniers jours de huit membres de la Garde nationale bolivarienne (GNB, une composante de l'armée vénézuélienne chargée de la sécurité intérieure) après la saisie effectuée en France vient aussi démontrer la fragilité de forces de sécurité connues pour le niveau élevé de corruption dans leurs rangs.

M. Matute estime même qu'il "est impossible que seuls des militaires aient pu participer à une opération d'une telle envergure" : "des fonctionnaires de haut rang sont certainement impliqués".

"Ces militaires ne peuvent mobiliser seuls un chargement d'1,3 tonne, qui vaut des millions de dollars (...) Cela a été organisé avec un haut commandement", acquiesce Bayardo Ramirez, ex-président de l'ancienne Commission nationale contre l'utilisation illicite de drogues.

"Nous sommes un des pays les plus corrompus au monde", ajoute M. Ramirez, fustigeant l'impunité qui règne dans le domaine.

Le problème de la corruption est criant au Venezuela : dans son dernier rapport, l'ONG Transparency International a classé ce pays à la 165e place sur 176 pour son combat contre ce fléau.

Conscient à la fois de cette réalité et de la réputation du Venezuela en la matière, le président Nicolas Maduro a récemment annoncé une croisade anticorruption. Il a même indiqué qu'il demanderait au parlement des pouvoir spéciaux pour s'engager dans ce combat, mais aucune mesure d'envergure n'est pour l'instant venue accompagner ces déclarations.

De son côté, l'opposition accuse le gouvernement d'épargner les "gros poissons" qui gangrènent le système.

"Nous ignorons si le gros poisson qui est derrière ces valises est un ministre. Ceux qui tombent sont ceux qui n'ont rien à voir (avec des délits), mais les gros poissons ne sont jamais inquiétés", a déploré mardi le chef de l'opposition de droite Henrique Capriles.
AFP

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le chanteur Amaury Vassili en garde à vue pour possession de cannabis

Amaury Vassili, le chanteur lyrique de 24 ans qui avait représenté la France à l'Eurovision 2011, a été arrêté dans la nuit de mardi à mercredi en possession de cannabis. Il a été placé en garde à vue.

Mauvaise semaine pour les people. Après Nicolas Bedos mardi dans le 2e arrondissement, c'est le jeune chanteur lyrique Amaury Vassili qui a été interpellé dans la nuit de mardi à mercredi à Paris en possession de cannabis.

Selon LCI qui révèle l'information, le jeune homme âgé de 24 ans a été placé en garde à vue après avoir été arrêté pour usage et détention de stupéfiants dans le 19e arrondissement de Paris.

L'ex-candidat de la France à l'Eurovision 2011 se trouverait toujours en fin de matinée dans les locaux du commissariat principal du 19e arrondissement à Paris.

Le jeune ténor avait fini 15e au classement de l'Eurovision, un concours de chansons qui met en concurrence des artistes de plusieurs pays européens.
Source : http://www.metronews.fr

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mercredi 25 septembre 2013

L'Espagne devient le grenier à cannabis européen

Les découvertes de champs de cannabis explosent en Espagne, où une véritable industrie de production de cette herbe, dont la vente y est illicite, est mise au jour par les autorités policières. La saisie de 90 champs illégaux, effectuée en un mois, permet de déceler une véritable industrie, dans laquelle investissent Espagnols, Italiens ou encore Chinois.

Le mois de septembre est celui de l'arrivée massive, sur le marché parallèle, de l'herbe de cannabis, après séchage des quantités récoltées, dans une tradition discrète, connue des producteurs, consommateurs et autorités policières. Le 25 septembre, ce contexte saisonnier a été l'occasion pour la police espagnole de révéler une multiplication des saisies de plantations de chanvre en Espagne. Le constat immédiat permet d'affirmer que l'Espagne est devenue en quelques années le premier pays producteur de cannabis l'Union européenne, car 90 champs consacrés à la culture d'herbe ont été identifiés sur la seule période comprise entre le 20 août et le 20 septembre. A l'échelle de l'ensemble des territoires espagnols, le séchage de plusieurs dizaines de milliers d'autres plants, non saisis, précède un habituel acheminement illégal vers la Hollande, la France et l'Italie, par ordre d'importance.

Des investisseurs chinois, dans une véritable industrie

Le phénomène de massification des cultures de chanvre en Espagne rompt le cliché des petites productions domestiques, organisées à l'air libre ou en appartement. Si celles-ci subsistent, les autorités espagnoles définissent un modèle fréquent, celui de plantations de cannabis dissimulées en pleine forêt ou cachés au milieu de champs de maïs. Mais surtout, ce qu'il convient d'appeler une industrie agricole dispose d'un financement de plus en plus structuré et international. Espagnols et marocains, ou encore hollandais et italiens, les argentiers de l'herbe espagnole sont aussi désormais chinois, et s'attachent à la rentabilité. La manipulation génétique permet ainsi d'obtenir jusqu'à cinq récoltes par an, dans une tendance à la professionnalisation qui emprunte ses techniques aux stratégies d'entreprise les plus classiques.
Source : http://www.la-clau.net

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Des joints gratuits pour soutenir les victimes des inondations du Colorado

Après les terribles inondations du Colorado qui ont coûté la vie à dix personnes et rendu l’État inaccessible, plusieurs résidents ont essayé de redonner le sourire aux victimes en leur offrant de l’herbe gratuitement.

Alors que toute la ville de Boulder se concentre sur la reconstruction des routes et des bâtiments, plusieurs fumeurs de joints ont décidé d’offrir de la marijuana aux victimes qui ont perdu leur herbe dans les inondations et qui ont besoin de « se détendre ». « Nous voulons apporter un peu de soulagement aux victimes », explique Rob Corry, l’un des organisateurs de l’événement.

À travers cette distribution, ils entendent bien toucher les politiciens qui ont mis en place un projet de loi visant à augmenter de 15 % les taxes sur la marijuana et qui doit être voté en novembre prochain.

L’idée a commencé à germer il y a deux semaines, quand Corry et d’autres organisateurs ont commencé à distribuer gratuitement des joints à Denver. Malgré la présence de la police, il n’y a pas eu d’arrestations puisque depuis peu, fumer du cannabis à usage récréatif est légal dans l’État du Colorado.

Au total, plus de 600 joints auront été distribués. Et malgré cet élan de générosité, certains fumeurs, comme Janet Osborn, sont encore arrivés à protester. « J’aurais bien aimé recevoir un joint plus gros ! Le mien était mal roulé » explique la jeune américaine de 27 ans. « Je crois que j’ai eu le plus petit joint de tous mais bon, j’accepte comme c’est gratuit ».
Source : http://www.sudinfo.be/

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Trafic de drogue en ville : sévir ou casser le marché ?

A quelques jours d’intervalle, deux élus, le maire UMP de Thiais, Richard Dell’Agnola, et le maire EELV d’Arcueil, Daniel Breuiller, viennent d’interpeller le préfet du Val de Marne sur le trafic de stupéfiant en ville, avec des questionnements différents mais un même désarroi.

Lors de la séance d’échanges entre le préfet et les conseil généraux sur l’activité de l’Etat en Val de Marne, lundi 23 septembre, Daniel Breuiller a témoigné de l’atterrant effet structurant du trafic de drogue dans certains quartiers. « Nous voyons dans nos cites la cocaïne se développer et le marché du cannabis s’étaler. Il faut lutter contre les usages de la drogue et la toxicomanie mais ne sommes-nous pas dans une impasse politique tant que nous laisserons les trafiquants  gagner autant d’argent? » a interrogé l’élu, dont le parti prône une dépénalisation de certains drogues pour rendre caduque le modèle économique des trafiquants.

A Thiais, le maire de la ville, Richard Dell’Agnolla, vient d’adresser un courrier au préfet pour signaler le trafic persistant et générateur de nuisances autour d’une résidence du quartier Grignon et l’exaspération des riverains qui en découle, malgré les démarches déjà entreprises et concertées avec la police. « Même si le commissaire de police a toujours été réactif et sensible à ces questions, il nous apparaît que les réponses ne sont pas à la hauteur de l’échelle des problèmes rencontrés quotidiennement par les riverains« , estime l’élu qui demande à ce que toutes les mesures soient prises pour « éradiquer ce phénomène qui n’a que trop duré. »
Source : http://94.citoyens.com

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Soft Secret Numero 5 de l' année 2013

Voici le numero 5 de soft secret
Au Sommaire :
- Les males aimés
- Manipuler de plus grosses tetes
- L'uruguay avance dans son projet de legalisation du cannabis



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mardi 24 septembre 2013

Jeunes foudroyés par du cannabis de synthèse

Deux adolescents de Saint-Albert, au nord d'Edmonton, ont dû être hospitalisés après avoir consommé du cannabis de synthèse, affirme la Gendarmerie royale du Canada.

Un garçon de 14 ans a été trouvé inconscient et en convulsion dans une ruelle de Saint-Albert lundi vers 16 h 30. L'enfant a été transporté par ambulance aérienne à l'hôpital pour enfants Stollery d'Edmonton.

Peu après cet incident, un autre jeune de 16 ans a été découvert en détresse médicale dans le stationnement d'une école. Il a également été transporté à l'hôpital où son état a été jugé stable.

Les policiers, qui ont ouvert une enquête sur ces incidents, n'ont pas encore porté d'accusations. Ils croient cependant que les deux adolescents ont consommé du cannabis de synthèse appelé « K2 » ou « Spice » (épice), préparé en pulvérisant des herbes naturelles avec des produits chimiques pour causer des effets similaires à ceux du cannabis.
Selon Santé Canada, les drogues de synthèse sont une vaste gamme de substances consommées de façon récréative en raison de leurs effets psychoactifs.
Ces produits portent une variété de noms dont substances psychoactives nouvelles, euphorisants légaux, euphorisants à base d'herbe, produits chimiques expérimentaux, drogues maison, drogues de confection, Spice (épice) ou sels de bain.

En mai et en juillet dernier, Santé Canada a mis en garde contre la consommation des drogues de synthèse. L'agence fédérale rappelle que ces substances peuvent causer des maux de tête, la confusion, un changement d'humeur, des nausées, l'anxiété, des hallucinations, des convulsions, des épisodes psychotiques, une dépendance et même la mort.
Source : http://www.radio-canada.ca/
Complement d'infos : Cliquez ici

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Mexique: dix personnes ont été tuées à Ciudad Juarez par un commando

Dix personnes, dont une fillette de 6 ans, ont été tuées dimanche soir à Ciudad Juarez au Mexique par des hommes armés de fusils kalachnikov.

Des hommes armés ont tué dimanche soir dix personnes, dont une fillette de 6 ans, lors d'une fête après une partie de baseball amateur à Ciudad Juarez, ville mexicaine frontalière des Etats-Unis, selon des sources judiciaires. Le mobile du crime n'est pas connu.
Une trentaine de personnes étaient réunies dans une maison proche du terrain de baseball quand deux hommes armés de fusils kalachnikov sont arrivés dans deux véhicules et ont tiré sur les personnes rassemblées.
"Il y a dix morts", a dit Carlos González, porte-parole du procureur du Chihuahua, Etat où est située Ciudad Juarez. Huit des tués sont des hommes et les deux autres une femme et une fillette de 6 ans, a-t-il précisé.
"Deux tueurs sont entrés dans la maison et ont fait feu", a indiqué Carlos Manuel Salas, procureur du Chihuahua, faisant état devant des journalistes des premiers éléments de l'enquête. "Les victimes étaient des gens honorables, des personnes respectables qui étaient venues pour fêter une victoire sportive", a dit le procureur.
Il n'y a pour l'instant aucune arrestation pour ce crime dont on ne connaît pas le mobile.
La tuerie est intervenue dans le quartier périphérique de Loma Blanca où, en août, des agents fédéraux avaient abattu Gabino Sala Valenciano, alias "L'Ingénieur", un des chefs des narcotrafiquants du cartel de Sinalao.

Pas de rapport avec le crime organisé

Carlos Gonzalez a assuré que les victimes n'avaient aucun rapport avec le crime organisé. "C'était des étudiants, des fermiers, des travailleurs", a-t-il dit. Des témoins ont dit que l'un des tireurs avait crié qu'ils étaient membres de La Linea, une branche armée du cartel de Juarez et qu'ils avaient repris le contrôle du secteur.
Pendant le gouvernement du président précédent, Felipe Calderon (2006-2012), Ciudad Juarez était devenue la ville la plus violente du Mexique en raison des affrontements entre le cartel de Juarez et celui de Sinaloa pour le contrôle des routes du trafic de drogue vers les Etats-Unis.
Cette violence a connu une diminution relative à partir de 2010, mais la ville continue d'être le théâtre d'affrontements violents entre groupes armés.

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