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jeudi 28 février 2013

[Insolite] Un policier afghan drogue et tue 17 collègues

Un policier afghan a drogué et tué 17 de ses collègues mercredi, avec l'aide des taliban, a déclaré la police. 

Cette attaque est la dernière en date d'une série d'incidents impliquant des membres des forces de sécurité afghanes alliés aux taliban. Ce type de violences sape la confiance entre la coalition et les forces afghanes, qui tentent de réprimer l'insurrection islamiste avant le départ de la majeure partie des troupes de l'Otan, prévu fin 2014.
"Un policier infiltré a dans un premier temps drogué 17 de ses camarades avant d'appeler les taliban avec qui il les a abattus", a déclaré à Reuters Mohammad Hassan, inspecteur en chef de la police à Ghazni. Sept victimes étaient de nouvelles recrues, toujours en formation, ont indiqué les autorités. L'attaque a été revendiquée par les taliban dans un message délivré par leur porte-parole Zabihullah Mujahid. En septembre, l'Afghanistan avait suspendu la formation des nouvelles recrues de sa police à la suite de plusieurs attaques menées par des infiltrés contre des soldats étrangers.
AFP

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La Belgique, un tremplin pour la drogue

La cocaïne reste la principale substance importée chez nous en 2012

La Belgique est-elle une plaque tournante qui sert le trafic de drogues ? C’est en tout cas la question qui a été posée hier par la députée fédérale Jacqueline Galant, en commission parlementaire, à Joëlle Milquet, ministre de l’Intérieur. D’après Jacqueline Galant, “le rapport sur le marché des drogues dans l’Union européenne est accablant. Ce problème a toujours été mis sur le PNS (plan national de sécurité) mais avec une absence de résultats. J’ai attiré l’attention de Madame la Ministre pour voir si les bonnes décisions étaient prises. Il y a peut-être des collaborations avec la France, les Pays-Bas mais il n’y a rien de renforcé au niveau local. Il faudrait renforcer les contrôles aux frontières durant la nuit et aussi envisager une collaboration avec le monde de l’événementiel, où il est très facile de se procurer de la drogue lors de soirées”.

De son côté, Joëlle Milquet se dit “étonnée” des interrogations persistantes au tour du PNS en matière de drogues. Celle-ci affirme notamment que “les services locaux de police, tant hollandais que belges, sont bien informés et expérimentés en ce qui concerne les productions internes. Un accord avec la France prévoit de renforcer les contrôles aux douanes, les patrouilles mixtes et l’identification des phénomènes prioritaires au niveau des drogues”.

Par ailleurs, l’importance du port d’Anvers tend à favoriser l’importation de cocaïne dans notre pays. Mais selon la ministre, “le PNS indique de nettes priorités accordées à l’encontre de la production de drogues de synthèse, de drogues issues de cultures locales mais surtout de trafic de cocaïne. Le plan d’action établi par la police fédérale forcera les polices locales à adapter ces priorités, en plus de l’engagement de douaniers pour Anvers”.

En 2009, quatre tonnes de cocaïne ont été saisies, pour 18 tonnes saisies en 2012.

Nicolas Franchomme
© La Dernière Heure 2013

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Drogue : la Villette sous étroite surveillance

Le trafic illégal de crack explose à Paris. Alors que l’an passé 3,1 kilos de cette drogue ont été saisis à Paris et en petite couronne, la police en a déjà récupéré 1,6 kilo pour le seul mois de janvier.

Cette dernière opère actuellement une surveillance étroite dans le 19e, où le bassin de la Villette et la place Stalingrad constituent une plaque tournante de ce trafic.

Depuis le 13 février, les forces de l’ordre y ont d’ailleurs installé la 2e Zone de sécurité prioritaire (ZSP) de la capitale, afin de démanteler le trafic de ce stupéfiant. «Il y a un fort sentiment d’insécurité», explique la préfecture, qui entend également lutter sur place contre «la dépossession d’une partie des espaces publics et privés (halls d’immeubles, parkings) où consommateurs et trafiquants se regroupent et stagnent».

Vendu sous forme de «cailloux» pour quelques dizaines d’euros, le crack provoque des lésions cérébrales irréversibles et une forte accoutumance.
Source : http://www.directmatin.fr/

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Un médicament dérivé du cannabis à l'étude

La potentielle modification du décret interdisant l'usage thérapeutique de la résine fait craindre à certains une avancée vers la dépénalisation.

La ministre de la Santé Marisol Touraine souhaite que l'Agence du médicament (ANSM) puisse étudier le dossier d'un spray à base de dérivés du cannabis, le Sativex (Bayer). "L'indication thérapeutique de ce médicament concerne des douleurs et contractures sévères et résistantes de certains patients atteints de sclérose en plaques", précise-t-on au ministère.

Déjà disponible dans la plupart des pays européens pour soulager certains patients atteints de sclérose en plaques, le Sativex est également utilisé dans des formes avancées de cancer.
Premier pas vers la dépénalisation ?

"Il s'agit là d'un médicament", et "la ministre rappelle à nouveau sa plus ferme opposition à la dépénalisation du cannabis", souligne-t-on au ministère, alors que Serge Lebigot, président de l'association des Parents contre la drogue, estime dans Valeurs actuelles que "la mise sur le marché du cannabis à but thérapeutique n'est que la première étape vers la dépénalisation".

Pour qu'un dossier de demande d'autorisation de mise sur le marché puisse être déposé auprès de l'ANSM, la modification du décret interdisant l'utilisation des dérivés de cannabis à visée thérapeutique est nécessaire.
Source : AFP

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mercredi 27 février 2013

La marijuana synthétique : c'est le vide juridique au Canada


 Une enquête de Radio-Canada révèle que la vente d'un produit présenté comme étant de l'encens à base d'herbe, et qui procure des effets similaires à ceux de la marijuana, n'est pas encadrée au Canada. Aux États-Unis, cette substance fait l'objet d'un encadrement draconien de la part des autorités.

Il est mentionné explicitement sur l'emballage de ce produit, en vente partout au Canada, qu'il n'est pas destiné à la consommation humaine, mais des journalistes de Radio-Canada ont découvert que des employés de plusieurs magasins où il est commercialisé suggèrent qu'il est tout à fait possible de le fumer.

Aux États-Unis, des fabricants de produits similaires ont fait l'objet de poursuites judiciaires et une grande majorité des États américains ont décidé de les bannir.
En juillet dernier, l'agence responsable de l'administration de la politique antidrogue aux États-Unis (DEA) a mené une opération d'envergure nationale, intitulée « Log Jam », contre les cannabinoïdes synthétiques.
Des agents de police ont fait des descentes dans 109 villes américaines ce qui a conduit à l'arrestation de 90 personnes.
Un total de 4,8 millions de paquets de cannabinoïdes synthétiques, et assez de produits chimiques pour fabriquer l'équivalent de 13,6 millions de sachets, ont été saisies. Les policiers américains ont aussi mis la main sur 36 millions de dollars en liquide.

La police canadienne dans la brume
Les services de police canadiens ne font pas preuve d'autant de diligence que leurs collègues américains, quand cela en vient au substitut à la marijuana.
La police de Calgary a mené une série de raids en 2011 contre les commerçants qui vendent ce produit, mais aucune accusation n'a été portée.
Différentes administrations policières à travers le pays se demandent actuellement si elles devraient sévir.
Un porte-parole de la police de Winnipeg a déclaré dans un premier temps à Radio-Canda que le produit était tout à fait légal, avant de reconnaître, à la suite des questions des journalistes, que les autorités étaient inquiètes et qu'elles allaient s'intéresser de plus près au statut de ce produit.
La police de Windsor en Ontario a décidé qu'elle irait procéder, dans les prochains jours, à des vérifications dans des dépanneurs.
Un enquêteur de la police de Windsor, John McQuire, affirme que des échantillons ont été envoyés à Santé Canada et que leur analyse a révélé qu'il s'agissait de cannabinoïdes synthétiques.
« La possession et la vente de ce produit sont donc illégales », croit M. McQuire.

Des fabricants sur la sellette
Le paquet testé à Windsor est commercialisé par « The Izms » et le directeur général de l'entreprise, Adam Wookey, maintient que « le produit est légal, car ses ingrédients le sont ».
« Les ingrédients actifs sont des cannabinoïdes synthétiques dont la structure chimique n'a rien à voir avec la THC [la substance active dans le cannabis]. C'est pourquoi ils ne peuvent pas être considérés comme une préparation synthétique similaire et de ce fait être illégaux. Je trouve cela douteux de vouloir réglementer le produit à cause de ses effets pharmacologiques », s'est défendu M. Wookey.
Il a expliqué que, si l'on se basait seulement sur les effets pharmacologiques, le café et la cocaïne seraient considérés comme étant « similaires ». Il croit que si l'on applique ce raisonnement à des vitamines ou d'autres stimulants, il y en a beaucoup qui deviendraient illégaux.
D'autres entreprises commercialisent ce produit sous le nom de Pink Tiger, Spice, de Happy Shaman, K2 grape Xtrem, Projetc 420, Fusion Atomic green et Kick Ass White Rabbit.
Les encens à l'herbe sont vendus dans des sachets en aluminium, entre 12 $ et 16 $ le gramme.

Un problème pris au sérieux aux États-Unis
De l'autre côté de la frontière, la question des cannabinoïdes synthétiques est beaucoup mieux documentée.
Selon le Réseau de prévention de l'abus de stupéfiants, 11 436 Américains se sont rendus aux urgences en 2010 à cause de ce substitut à la marijuana.
Plus tôt en février, le Centre américain de contrôle des maladies a publié une mise en garde après que 16 usagers de marijuana synthétique de six États différents ont souffert de lésions aux reins.
« Le personnel soignant, les employés des centres antipoison et les médecins devraient être conscients des effets de ces produits sur les reins ou d'autres effets secondaires inhabituels », détaille le centre dans un rapport.

Drame personnel, vie brisée
Le substitut à la marijuana a eu des répercussions funestes sur la vie de Karen Dobson. Max, le fils de cette résidente de l'Illinois, est mort après avoir inhalé cette substance synthétique en 2011.
Une demi-heure avant le drame, le jeune homme a appelé son frère aîné pour lui dire que son coeur battait très fort et qu'il commençait à avoir peur.
Faisant fi de son état, Max, 19 ans, est quand même monté à bord de son véhicule et a pris la route. Sa mère raconte qu'il aurait conduit comme un maniaque dans les rues de Aurora, en Illinois.
La voiture avait atteint la vitesse de 160 km/h au moment où elle est entrée dans une voie sans issues. Max n'a pas eu le temps de freiner, la voiture s'est envolée à plus de 25 mètres dans les airs, avant de s'écraser sur une maison, créant des dommages évalués à 100 000 $. Le jeune homme est mort sur le coup.
« Ce n'était pas un enfant à problème », se lamente sa mère qui a décidé de passer à l'action quand elle a appris que son fils s'était rendu « dans un centre commercial où un vendeur l'a incité à acheter ce produit ».
Mme Dobner a créé une fondation qui porte le nom de son fils. Grâce à son lobbying auprès du gouvernement de l'Illinois, elle croit que les lois de cet état sont parmi les plus strictes aux États-Unis.
« Ils [les jeunes] pensent que comme ces produits sont vendus en magasin, ils ne sont pas dangereux », regrette Mme Dobner qui reste persuadée que si les jeunes consomment des cannabinoïdes synthétiques, c'est parce qu'ils ne veulent pas commettre quelque chose d'illégal.

Une zone grise légale au Canada

Il semblerait que les cannabinoïdes synthétiques bénéficient d'un vide juridique au Canada.

Selon la Gendarmerie Royal du Canada, tous les cannabinoïdes synthétiques ne figurent pas sur la liste des produits interdits par la Loi réglementant certaines drogues et autres substances.

Bien que la structure chimique de ces produits les rapproche de la THC, la GRC a constaté qu'ils provoquaient une réaction différente dans le corps humain.

« C'est là-dessus que les importateurs et les usagers jouent pour affirmer que le produit n'est pas réglementé », note le sergent Ken Cornell, un expert du Programme de déclaration des détournements de produits chimiques à la GRC.

« Ce qui complique la situation, c'est que les services de police sont au courant que certains produits synthétiques sont déclarés légaux et d'autres pas », précise M.Cornell.

Santé Canada affirme que fumer des cannabinoïdes synthétiques peut créer des symptômes allant de la perte de connaissance aux hallucinations, en passant par la psychose.

Santé Canada considère que s'ils procurent les mêmes effets que la marijuana, ces substances devraient être contrôlées.
Source : http://www.radio-canada.ca
Complement Video : http://www.radio-canada.ca/widgets/mediaconsole/medianet/6608690

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L’Afrique de l’ouest goûte aux drogues de synthèse

La région ouest africaine, déjà fortement affectée par le trafic de cocaïne, voit le développement d’autres variétés de drogue, notamment la méthamphétamine, selon des organisations internationales qui travaillent sur le sujet.

« La cocaïne n'est pas la seule drogue illicite qui déstabilise la région. L'émergence de la production de méthamphétamine et son trafic présentent une évolution inquiétante », souligne un rapport sur lequel ont travaillé la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao) et l’organisation des nations unies contre le crime et la drogue (Onudc).

Selon ce rapport « deux laboratoires de méthamphétamine ont été détectés au Nigeria, et environ 3.000 passeurs de méthamphétamine ont voyagé de l'Afrique de l'Ouest vers l'Asie de l'Est en 2010, transportant l'équivalent de 360 millions de dollars de drogue ».

Selon l’encyclopédie en ligne Wikipédia, « la méthamphétamine est une drogue de synthèse psycho-stimulante hautement addictive lorsque prise au-delà des dosages médicinaux ».

 La production de cette nouvelle variété s’accompagne aussi d’une augmentation des saisies d’héroïne, dans la région, selon le rapport intitulé : « criminalité transnationale organisée en Afrique de l’ouest ». 

Par contre, le trafic de cocaïne, qui jusqu’à présent constituait la grande menace, est en baisse en Afrique de l’Ouest. Après avoir atteint 47 tonnes en 2007, le flux transitant dans la sous-région est tombé à 18 tonnes en 2010, selon l’ONUDC.

 En 2011, la Banque mondiale a estimé la valeur marchande de la cocaïne ayant circulé dans la région à 6,8 milliards de dollars. Cependant le rapport reproche aux Etats membres de la Cedeao, l’inexistence de données fiables, concernant le trafic de drogue.

Sur ce point le président de la commission de la Cedeao, Kadré Ouédraogo, a annoncé lors du lancement du rapport à Abidjan la mise en place d’un réseau  épidémiologique ouest-africain (Wendu, sigle en anglais) destiné à « mobiliser les Etats membres pour la fourniture de données fiables propres à permettre de mieux évaluer et analyser la problématique du trafic de drogue et de la toxicomanie dans l’espace » sous-régional.

Avec les nombreuses crises qui y sévissent, au plan socio-politique, l’Afrique de l’ouest offre un terrain très favorable aux trafics en tous genres.
Source : http://www.ouestaf.com

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Chine : démantèlement d'un réseau de fabrication de drogue au Hunan

La police a récemment démantelé un réseau de fabrication de drogue dans la province centrale du Hunan, arrêtant 14 suspects originaires de Chine et de l'étranger, a-t-on appris mercredi de sources officielles.

Parmi les suspects, trois viennent de Hong Kong, et un autre du Mexique, a fait savoir le Bureau provincial de la Sécurité publique du Hunan lors d'une conférence de presse régulière.

Les personnes arrêtées sont suspectées d'avoir établi, en janvier 2012, une usine de fabrication de drogue déguisée en élevage de porcs dans un village montagneux du district de Guiyang.

Durant cette opération menée en septembre 2012, la police du Hunan, en coopération avec celle de la province voisine du Guangdong, a saisi 218,35 kg de cristaux de méthamphétamine, 901,9 kg de méthamphétamine liquide, 160 kg de caféine, 19,8 tonnes de produits chimiques utilisés dans la production de drogue et 100 millions de yuans (15,9 millions de dollars) d'équipements.
Source : http://french.china.org.cn

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[Reportage] Addict - Crack

Addict : épisode 1/4 : Crack

Un américain sur dix souffre de problèmes de drogue, abusant de cocaïne, héroïne ou crack. Mais quel est le prix de ces addictions ? Grâce à des effets visuels de pointe, cette série propose un voyage à travers les artères et les muscles du corps humain, révélant l'impact des drogues sur l'organisme. Des caméras ont suivi ces hommes et ces femmes dans leur examen psychologique et médical. Pourquoi consomment-ils ? Les dommages causés sont-ils irréversibles ? A la fin, ils devront prendre une décision cruciale. Entrer en cure de désintoxication ou continuer l'usage de drogue. Eric, 27 ans, est le père d'un garçon de 4 ans, qu'il ne voit presque jamais en raison de son addiction au crack. Ses amis craignent qu'en continuant à ce rythme, il n'atteigne pas ses 30 ans. Eric parviendra-t-il à s'en sortir ?

Genre : Documentaire - Culture Infos
Pays : Grande-Bretagne
Année de réalisation : 2012 | Durée : 55 mn
Attention scènes difficiles : déconseillé aux moins de 16 ans
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Cannabis thérapeutique: un malade du sida se fait applaudir au parlement européen

Il y a plus d’un an, nous vous parlions de Jako et de son combat contre le sida depuis 30 piges. Dame justice venait alors de l’épargner alors qu’il avait été arrêté en possession de 415g d’herbe de cannabis, “son traitement”. Ce mois-ci, c’est au Parlement européen qu’il a été applaudi, après avoir raconté son histoire.



Geoffrey Le Guilcher   
Source : http://www.lesinrocks.com

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mardi 26 février 2013

Le Cannabis Social Club perquisitionné : « La police s'est trompée d'ordinateur »

Les membres de l'asso clandestine peuvent continuer à planer tranquillement !
Interview : Décapité le mouvement des Cannabis Social Club ? Son boss Dominique Broque assure que non puisque la police a tout pris « mais s’est trompée d’ordinateur » lors d’une perquisition jeudi.


Dominique Broc a eu la chance de voir la police sonner à sa porte, jeudi 21 février à 7h50. Objet de cette visite matinale : une perquisition approfondie de son home sweet home et une mise en garde à vue. Après une nuit au poste, le porte-parole des Cannabis Social Clubs a été relâché mais il devra passer en jugement le 8 avril prochain, au tribunal correctionnel de Tours, pour « usage et détention illicite de cannabis et refus de prélèvement d’ADN ».

Les Cannabis Social Clubs regroupent des particuliers qui cultivent et partagent leurs plants. Ils prônent un usage modéré et régulé du cannabis et s’opposent au trafic. Les CSC avaient prévu de déposer un statut très officiel d’association le 4 mars, à la préfecture d’Indre-et-Loire, malgré la pénalisation de leur activité. Dominique Broc avait prévenu qu’en l’absence de réaction policière, plus de 400 Cannabis Social Clubs se déclareraient dans sa foulée, dans la France toute entière. Objectif : déclencher un grand mouvement social demandant la fin de la prohibition.

Mais patatras, le week-end dernier, les autorités sont bel-et-bien intervenues. De quoi remettre en cause la stratégie du mouvement ? D’autant plus que si le Cannabis Social Club revendique toujours 400 cellules membres, il n’en apporte pas la moindre preuve. Le 1er décembre, en marge de leur AG, un membre actif de l’association clandestine confiait même qu’il n’y avait pour le moment que 3 clubs officiellement constitués.
 
Quelle est la véritable raison de votre garde à vue ?

C’est à cause du procureur de la République qui n’a pas apprécié notre médiatisation. On le voit bien dans le chef d’inculpation : il me reproche à la date du 19 janvier, d’avoir fait de la provocation à l’usage. Il faut savoir que le 19 janvier, la Nouvelle République a publié à Tours une Une sur le cannabis en Touraine. Quand on ouvrait le journal, il y avait deux pages qui nous étaient consacrées et où, vraiment, on nous avait bien présentés. Un article magnifiquement fait par La Nouvelle République. La garde à vue est directement liée à cet article. Il y a eu une réaction des lecteurs qui se sont montrés tous favorables au CSC. Et quelques jours plus tard, la Nouvelle République en a remis une petite couche avec un article « votre avis nous intéresse ». Ca a fait le buzz.

Le procureur de la République, monsieur Varin s’est en offusqué dans les colonnes du journal. J’avais répondu à la radio que j’étais à la disposition de monsieur Varin, que s’il voulait vraiment m’entendre, on pourrait discuter. Si c’était qu’une question d’ignorance sur le sujet, on pouvait très bien en discuter, il n’était pas obligé de m’avoir en audience.

    Quand on ouvrait le journal, il y avait deux pages qui nous étaient consacrées et où, vraiment, on nous avait bien présentés. Un article magnifiquement fait par La Nouvelle République.

Comment s’est passée la perquisition de votre domicile ?

Ils sont arrivés jeudi matin un peu avant 8h. Quand j’ai vu que c’était les gendarmes, je n’étais pas surpris. Je m’attendais à ce qu’ils viennent. Tout de suite, je les ai accueillis avec le sourire, il n’y a pas eu de soucis. C’est le « vous » qui a été utilisé dans les deux sens. Donc un respect de chaque côté. Ils m’ont notifié ma garde à vue tout de suite, la minute après qui a suivi leur entrée. On a entamé la perquisition qui s’est bien passée. On a été directement dans l’espace culture. On est resté un moment là. Puis ils ont commencé à faire le tour des objets de la maison. Là, ils ont un petit peu dérapé dans la mesure où ils m’ont pris tout ce qui me concernait, tout ce qui avait une feuille de cannabis dessus, des revues, tous les journaux qui avaient traité de nous… Tout ça, c’est légal, mais ils les ont quand même saisis.

Ensuite ils se sont attaqués à mon matériel informatique, ordinateur, clés USB, même celles qui n’étaient pas à moi et que les gens avaient oubliées. Tout ça, c’est parti. Et ils ont pris des disques durs qui étaient sur mon bureau, qui n’avaient absolument rien à voir avec le cannabis. C’était personnel, avec des vidéos des enfants. Puis ils se sont attaqués aux vaporisateurs. Il y avait une table avec plein de vaporisateurs Volcano et un autre petit vapo personnel qui me servait surtout pour convertir les gens à ne plus fumer et plutôt vaporiser. Donc ça me servait aussi de prévention et de réduction des risques… A 11h, j’étais à la gendarmerie à côté de chez moi, à Montbazon. Il y a eu 4 ou 5 auditions pendant la journée. Elles se sont toutes bien passées.

 Il y avait une table avec plein de vaporisateurs Volcano et un autre petit vapo personnel

Beaucoup de matériel a été saisi : à combien s’élèvent les pertes ?

Je n’ai pas encore vraiment chiffré les pertes. Mais bon, ça s’élève quand même à plus de 2.000 euros, c’est sûr. Sans compter les vaporisateurs et tout le reste, l’ordinateur, le téléphone portable, que je pense pouvoir récupérer. J’entends bien tout récupérer, même les lampes. On va voir ça avec mon avocat. C’est du matériel vendu en toute légalité, j’ai payé une TVA dessus, donc il n’y a aucune raison. Vu la façon dont ils ont tout démonté, il y a beaucoup de matériel que je ne pourrai pas réutiliser tel quel. On va demander sa restitution ou son remboursement. Mais on ne va pas en rester là.

Sinon, il y avait 126 plants. C’est en tout cas ce qu’ils ont dit. Mais moi je précise que sur ces 126 plants, une cinquantaine était des petites boutures à peine enracinées. Donc des plantes qui font à peu près 3 centimètres. Dans le lot fumable, il y avait une récolte possible, avec quelques AK-47 (variété hybride de cannabis, ndlr). J’attendais le weekend pour les récolter, des médias devaient venir. On pouvait attendre jusqu’à samedi.

Les pertes s’élèvent à plus de 2.000 euros, sans compter les vaporisateurs et tout le reste…

La police a-t-elle mis la main sur la liste des membres cultivateurs ?

Absolument pas. Ils se sont trompés d’ordinateur. Ils l’ont laissée sur la table.

Donc n’y a-t-il pas des risques pour les membres de se faire arrêter ?

Ah bas des risques, il y en a ! Sur mon ordinateur, il y a des fichiers qui sont croisés quand même. Mais les risques, les gars, ils s’en fichent. Ils savent très bien que le contrat individuel qu’ils ont signé stipule qu’ils adhèrent totalement aux bases politiques du CSCF (Cannabis Social Club Français, ndlr) et au code de conduite. C’est-à-dire l’appel à la désobéissance civile. Et ils acceptent de fait qu’on utilise le contrat individuel et leur carte d’identité pour les dénoncer. Chez nous, les référents du CSCF ont la possibilité de remettre les listes.


Vous expliquiez que s’il n’y avait aucune réponse policière à votre activisme, tous les CSC de France se déclareraient en préfecture. Ca ne semble plus d’actualité avec cette garde à vue…


Non ! On s’y attendait quand même. Quand on est exposé comme ça médiatiquement, on s’attend à une réaction. C’était prévu. Et même mieux que ça, ça a galvanisé les troupes en fait. On a eu un soutien sans précédent. L’effet Streisand dans toute sa splendeur. J’ai des médias du monde entier qui vont être présents à Tours le 8 avril. Il va y avoir masse de médias et foule de gens. Ça va être une première pour la ville. Je précise bien que je ne suis pas derrière cet élan de solidarité. Il est venu tout seul. Les gens m’appellent, ça n’arrête pas.

Cette garde à vue ne change rien. La fédération des Cannabis Social Clubs a toujours prévu de se déclarer le 4 mars, il n’y a absolument rien de changé. Au contraire, on est plus motivés que jamais. Et le 25 mars on dépose les clubs. Il y en a plus de 400 en France au total. On va faire une formation la semaine prochaine pour tous les référents pour qu’ils puissent eux-mêmes les valider à raison d’une cinquantaine par jour.
Source : http://www.streetpress.com

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[Reportage] Tabou - Les Drogues

Chaque société a ses propres rituels et ses codes de conduite. Nous plongeons dans le monde étrange des pratiques culturelles à travers le monde.

Qu’est-ce qui pousse quelqu’un à implanter des crochets dans le dos d’un autre individu dans le but de le suspendre ou à mettre ses mains dans des gants remplis de fourmis géantes dont la piqûre est intolérable ?
Dans certaines communautés à travers le monde, ces pratiques sont le profond reflet des croyances traditionnelles ou des choix délibérés de mode de vie. Mais pour des personnes n’appartenant pas à ces cultures, ces rituels peuvent sembler grotesques, dangereux ou Tabous.
Nous vous emmenons au-delà de vos frontières culturelles pour vous faire explorer les rituels et coutumes qui sont acceptables dans certains groupes mais interdites, illégales ou inadmissibles dans d’autres.
Traversant la frontière entres les pratiques modernes et les anciennes croyances, cette série présente une mosaïque des modes de vie et des valeurs humaines.
Écoutez certains des anthropologues et sociologues les plus respectés du monde entier décrypter un large éventail de cultures. Découvrez des rites initiatiques, des modes de vie uniques, des modifications corporelles, des changements de sexe et des quêtes spirituelles testant les limites du corps humain.

Tabou - Les drogues

L'acceptation des drogues dans la société est une problématique culturelle. Autrefois largement consommées, les drogues sont désormais illégales dans la plupart des pays, à quelques exceptions près.

Genre : Documentaire - Culture Infos
Date de sortie : 2008 | Durée : 52 mn
déconseillé aux moins de 10 ans
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[Insolite] Il met le feu en tentant de fabriquer du haschich



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Recherche testeurs pour drogue en tout genre

« Amis » producteurs, importateurs, dealers, réjouissez vous, « Auto Support des Usagers de la Drogue » travaille pour vous !

On aura tout vu, tout lu, tout entendu !!

Après l’instauration des salles de shoot, les aficionados des drogues en tout genre, proposent de tester pour VOUS les effets psychédéliques  et hallucinatoires de tous les produits qui vous font voir la « Vie en Rose ».

Vous n’allez pas me croire, mais le magazine de l’Association « Auto support des usagers de la Drogue » (l’ASUD) annonce que, pour  « fêter » son 50ième N°, il a décidé de tester les drogues, toutes les drogues....

Curieuse, je me suis renseignée, sur le sérieux de cette annonce.

Cette revue éditée par l'association ASUD,  paraît régulièrement depuis 1992.

Elle informe les consommateurs de produits illicites et leur donne la parole.

Sa diffusion se fait sur abonnement directement auprès d'ASUD.

Dans chaque journal figurent les adresses des associations et établissements qui la distribuent gratuitement à leurs usagers.

J’enrage quand je pense que ce sont  nos impôts  qui financent cette démarche.

L’Asud est subventionnée directement par la Direction de la Santé, et autres organismes qui en dépendent, dont les laboratoires qui fabriquent le Subutex. C’est 230 mille euros qui ont été versés en 2009, (depuis impossible de trouver les montants alloués de 2009 à 2012).

 Oui mais quelles drogues me direz vous ?

 Oh, mais, les testeurs  commencent en douceur, en notant soigneusement  les effets de la caféine, de la noix de muscade ( ??) ou encore…de la banane séchée.( ??)

Jusque là, tout va bien… ils sont encore capables de faire le rapport eux mêmes.

Alcool et tabac sont aussi au menu.

 Pour le tabac, je suppose que c’est sur une longue période que l’on peut juger des dégâts survenus… (poumons encrassés, bronchite chronique et emphysème  constaté)

Quant à l’alcool, je doute fort, qu’après une ingestion de quelques litres de Whiskies et autres alcools forts, le testeur soit capable d’écrire deux mots à la suite.

Là, où la moutarde me monte au nez, là, où le ciel me tombe sur la tête, c’est quand le magazine annonce triomphalement que toutes les drogues interdites ont été consommées, et testées :
le cannabis, (bientôt légalisé…), les champignons hallucinogènes, la cocaïne, l’héroïne, le GHB (surnommé « la drogue du violeur »), la kétamine (un puissant anesthésiant vétérinaire), l’opium, le LSD, la Méthadone et le Subutex (drogues de substitution prescrites sur ordonnance).

Pour plus d’informations sur les effets, les symptômes, et les conséquences, de la prise de Drogues dures, je vous donne rendez vous ICI

Qui sont les testeurs ?

 Sont-ce des drogués volontaires, ou des dirigeants de l’ASUD ?

À quand, les ghettos réservés aux drogués ?

Les salles de shoot, « la  Bachelot »,  les a imaginées, « la Touraine » les a ouvertes.

Les tests, l’Asud s’en est chargé !

« ET LA PRÉVENTION « BORDEL » !!
Une pensée particulière pour Serge Lebigot, le Président  de « Parents contre la Drogue » qui se bat depuis des années pour informer les jeunes et leurs parents sur ces poisons dévastateurs que sont les Drogues en tout genre…


Source : http://www.come4news.com

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Afrique de l’Ouest: drogue, armes et piraterie menacent la sécurité (ONU)

Le trafic d’armes et de drogue ainsi que la piraterie maritime accentuent les menaces sur la sécurité en Afrique de l’Ouest, actuellement en guerre contre les jihadistes au Mali, selon un rapport de l’ONU publié lundi.

"Le trafic de cocaïne a accentué l’instabilité en Guinée-Bissau, le trafic d’armes à feu a nourri la rébellion dans le nord du Mali, la piraterie maritime menace le commerce dans le golfe de Guinée", alerte ce rapport qui fait le point sur les menaces régionales pour l’année 2012.

"Tous ces exemples montrent que la criminalité transnationale organisée a pris des proportions telles qu’elle constitue désormais une véritable menace pour la sécurité en Afrique de l’Ouest", poursuit le document.

Selon des estimations, "entre 10 et 20.000 armes" pourraient "avoir fait l’objet d’un trafic" entre les arsenaux libyens et le Mali l’an dernier, selon la même source. La ville de Gao (Nord malien) est notamment citée comme une plaque tournante du trafic d’armes au Sahel.

Le nord du Mali est tombé en 2012 aux mains de rebelles touareg du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) - dont de nombreux éléments étaient revenus lourdement armés de Libye après la chute du défunt Mouammar Kadhafi pour lequel ils avaient combattu
et de groupes armés islamistes alliés à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).

Les jihadistes ont ensuite évincé de la région le MNLA, avant d’être eux-mêmes délogés des grandes villes depuis janvier dernier par les troupes franco-africaines.

Pierre Lapaque, représentant régional de l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (UNODC), a expliqué devant la presse à Abidjan que le volume du trafic de cocaïne transitant par l’Afrique de l’Ouest en provenance d’Amérique latine était passé de 18 tonnes en 2010 à quelque 25 tonnes, d’après des estimations.

S’agissant du trafic de faux médicaments, "on estime que 10% au moins de l’ensemble des médicaments essentiels qui circulent en Afrique de l’Ouest sont frauduleux", a-t-il souligné.

La multiplication de ces menaces résulte de la faiblesse de l’Etat de droit qui rend la région "vulnérable" aux diverses contrebandes, selon le rapport, qui appelle à renforcer la lutte contre la corruption.
Source : http://www.pressafrik.com

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lundi 25 février 2013

Le caïd mexicain Joaquin «El Chapo» Guzman est-il mort?

Les autorités guatémaltèques poursuivaient vendredi le ratissage d'une zone frontalière avec le Mexique où, selon des témoignages sur place, le chef du cartel mexicain de Sinaloala, «El Chapo», aurait été tué jeudi au cours d'une fusillade, mais le ministre guatémaltèque de l'Intérieur, Mauricio Lopez, a déclaré qu'on n'avait aucune preuve de sa mort.

«Il n'y a aucune preuve et on n'a rien découvert qui nous permet de dire que cela s'est produit ou non», a précisé le ministre au cours d'une conférence de presse improvisée.

Dans la nuit de jeudi à vendredi, M. Lopez lui-même avait pourtant confirmé que Joaquin «El Chapo» Guzman avait trouvé la mort au cours d'un affrontement entre bandes de narcotrafiquants.


«Nous poursuivrons les opérations de recherche pendant la journée de vendredi et nous les reprendrons éventuellement samedi en fonction des informations recueillies», a ajouté le ministre.

Les versions contradictoires sur la mort du narcotrafiquant ont coïncidé avec la visite jeudi au Guatemala du nouveau chef du Commandement Sud des États-Unis, le général John Kelly, venu évaluer avec le président Otto Perez des questions de sécurité incluant la lutte contre le trafic de drogue.

«El Chapo», qui s'est évadé d'une prison mexicaine en 2001, est le narcotrafiquant le plus recherché par les États-Unis, en plus d'être considéré par la revue Forbes comme le délinquant le plus riche de la planète.
Source : http://www.lapresse.ca
Reportage sur les cartels mexicains :  https://cannabis-infos.com/2013/02/reportage-narco-bling.html

Exemple de la violence des Zetas envers ces ennemis [EXTREME !!!]
pour ceux qui on le coeur bien accrochés [decapitation a la tronçonneuse] par le cartel des Zetas 
Voir ici :  http://www.mundonarco.info/2011/11/video-decapitan-con-una-sierra-dos.html

Philosopher Seeds récompensé à la 1ère Dégustation Hivernale de Marihuana de l’Association Cannabique M.F.


L’essor des Associations cannabiques

Le secteur du cannabis, et le monde qui l’entoure, sont parfois perçus comme dominés par la désorganisation et la nonchalance, un concept pourtant bien loin de la réalité. Pour preuve, il suffit d’observer le nombre croissant d’associations cannabiques, qui se multiplient de toutes parts, pour démontrer que les usagers de cette plante cherchent à organiser une régulation, une tranquillité, et de l’ordre.
Ceci se traduit dans les faits par une transparence maximale de la part de ces associations qui perfectionnent sans cesse leur organisation, tant au niveau logistique que législatif.

1ère Dégustation Hivernale de Cannabis à l’Association Cannabique M.F.

Un exemple concret de ces structures est l’association M.F. de Miranda de Ebro, à Burgos, qui bien qu’étant encore assez récent en tant que Club, fait preuve de beaucoup de sérieux et bénéficie d’une grande expérience dans le monde du cannabis. Ainsi vient de s’achever la première Dégustation Hivernale organisée par l’A.C.M.F. à laquelle nous avons pu participer avec la banque de graines Philosopher Seeds, avec autant de plaisir que d’honneur.

Catégories de la dégustation de cannabis:

Une fois les échantillons présentés, ils sont jugés selon leur mode de culture, et répartis dans les catégories suivantes. Aussi, une section était réservée pour les extractions de résine avec une catégorie spécifique, permettant de concourir tout aussi bien aux passionnés de l’ice-o-lator qu’aux experts du BHO.
Dans chaque catégorie, les 3 meilleurs produits ont été retenus:
  • Intérieur:
Dancehall de Reggae Seeds
Jack El Futero de Philosopher Seeds
Black Bomb Philosopher Seeds
  • Extérieur:
1º Diesel de Dinafem
BCN Diesel de Kannabia Seeds
3º Big Light de Biohazard Seeds
  • Hydro:
1º Blue Mistic de Royal Queen Seeds
2º Jack Flash de Sensi Seeds
3º Critical de Advanced Seeds
  • Résines:
California Hash Plant de Dinafem
2º Y Griega de Medical Seeds
3º G13xHash Plant de Sensi Seeds

Philosopher Seeds récompensé à la Dégustation Cannabique

Black Bomb
Black Bomb
Nous sommes vraiment ravis, car les membres de l’A.C.M.F. nous ont accueilli avec beaucoup d’attention et de gentillesse, allant jusqu’à décerner les et prix de la catégorie Intérieur aux variétés Jack El Frutero et Black Bomb, remplissant nos coeurs d’allégresse. Merci beaucoup!
Ces variétés font partie de la catégorie Test Line de Philosopher Seeds, ce qui, en plus des récompenses et de tant d’émotions, nous permet également de revenir de cette célébration avec de nouvelles informations qui sont précieuses à nos yeux.

Caractéristiques des variétés Philosopher Seeds récompensées

  • Black Bomb:
Black Bomb prête pour la dégustation
Black Bomb prête pour la dégustation
Croisement de deux plantes de cannabis au potentiel médicinal très prononcé, la Black Domina (100% Indica) avec la Somango (75% Indica/25% Sativa), qui présente une structure totalement Indica, formant des têtes très compactes et chargées de résine. On remarquera son goût intense, accompagné de réminiscences de fruits rappelant la mangue mûre. Son effet est des plus relaxant et utile pour apaiser la douleur, écrasant, purement Indica.
  • Génétique: Black Domina x Somango.
  • Temps de floraison: 50/60 jours.
  • Récolte en extérieur: mi Septembre
  • Production: Moyenne-Haute
  • Sexe: Féminisées
  • Pensée pour l’utilisation médicinale
Proposée dans la catégorie Test Line sous le nom de Black Somango, cette variété a récemment rejoint le catalogue de Philosopher Seeds:  il s’agit de la première Test Line commercialisée chez Alchimia, suite aux retours d’expérience très positifs et unanimes des cultivateurs l’ayant testée avec nous. L’équipe de Philosopher Seeds remercie au passage toutes les personnes qui d’une manière ou d’une autre, ont apporté des informations, photographies…
  • Jack El Frutero:
Hybride au caractère 50% Indica 50% Sativa, réellement équilibré, à la croissance vigoureuse avec une tendance à produire des ramifications en nombre et des feuilles de grande taille. L’allure de cette variété dépendra du phénotype, mais s’agissant d’un hybride il s’agira d’une plante grande, dense, formant une multitude de têtes compactes mais volumineuses, pouvant offrir jusqu’à 500 grammes par mètre carré dans des conditions idéales (qualité du substrat, engraissage, culture hydro ou aéroponique…).
En résumé, une plante proposant un large éventail de goûts et d’odeur qu’il est difficile à décrire, très fruité, qui complète parfaitement ses autres qualités.
  • Génétique: Respect#13 x Ripper#1
  • Temps de floraison en intérieur: 60-65 jours
  • Récolte en extérieur: 1-15 Octobre
  • Production: Moyenne-Haute
  • Sexe: Féminisées
Affiche de la 1ère Dégustation hivernale de l'A.C.M.F.
Affiche de la 1ère Dégustation hivernale de l’A.C.M.F.

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[Reportage] Inside - Haschich


Inside - Haschich

Ce document suit le parcours d'une des drogues les plus prisées de la planète, le haschich, depuis sa production dans les montagnes du rif marocain jusqu'à sa consommation dans les rues d'Europe. Entretemps, les passeurs et les douaniers se seront livrés à un véritable jeu du chat et de la souris dans le détroit de Gibraltar. En fin de parcours, en Grande-Bretagne, dealers et clients sont prêts à risquer la prison pour le meilleur haschich d'Europe. Aux Pays-Bas, des Américains viennent fumer dans les coffee shops d'Amsterdam.

Genre : Documentaire - Culture Infos
Pays : Etats-Unis
Nationalité : américain
Date de sortie : 2011 | Durée : 52 mn
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Italie : Les élections et la question du cannabis

« Nous sommes à la veille des élections en Italie, et bien plus qu’en France la question du cannabis - “drogue légère” selon la terminologie transalpine - occupe les débats de manière récurrente.

Bien sûr, les radicaux de Panella ont toujours leur légalisation au programme, depuis toujours, mais les sondages ne leur sont guère favorables en ce moment. Plus imposant est le populiste Grillo du MouVement Cinq Etoiles (avec un V majuscule signifiant Va te faire enc…), crédité de 12 à 18%, qui pourrait faire donc mieux que le “professore” Monti, dernier premier ministre d’un gouvernement “technique”.

Candidat plus “sérieux” mais hélas atteignant au mieux 5% dans les sondages, Ingroia, ancien juge anti-mafia à Palerme, soutenu par les communistes et par l’Italie des valeurs, a lui aussi mis la légalisation du cannabis à son programme, entre autres pour lutter contre la mafia (soutenu aussi par Saviano, l’auteur de Gomorra). Il a dans ses listes la sœur de Stefano Cucchi, mort en garde à vue sous les coups des carabiniers après avoir été arrêté pour consommation de cocaïne, un meurtre qui avait été scandaleusement couvert par le gouvernement Berlusconi avec un cynisme glaçant. Cette dernière répète à l’envi que cette loi est criminelle.

Mais la surprise vient du candidat du Parti démocrate Bersani, en tête des sondages, qui vient de prendre parti, sans doute sous la pression des candidats cités ci-dessus, pour un changement profond de la loi dans une lettre envoyée au “communautés thérapeutiques”, dans laquelle il déclare entre autres que la loi actuelle est “inutilement répressive et même contreproductive”, et prône donc l’abrogation de l’actuelle loi Fini-Giovanardi (Fini est un ex-fasciste). Et ses dernières propositions en la matière se rapprochent du modèle portugais, n’allant pas jusqu’à parler de légalisation, mais de simple dépénalisation, sans les sanctions administratives actuelles, mais avec un suivi social obligatoire. Certaines personnalités de son parti ou de sa coalition prônent aussi avec vigueur la légalisation-dépénalisation (avec des nuances), tel Marino, qui s’était présenté aux primaires du Parti démocrate pour ces élections, qui va jusqu’à déclarer que fumer des joints “fait du bien, pour l’humeur et au système nerveux central”, ou Furfaro (Sinistra, Ecologia Libertà, de la coalition Bersani), qui veut légaliser dans sa région après les élections. Mis bout à bout, cela fait une majorité politique pour la dépénalisation “réelle” du cannabis, et même de l’autoproduction. Cela intervient après deux décisions spectaculaires de la Cour de cassation, qui avait déclaré que cultiver sur son balcon une petite plante de marijuana ne pouvait être assimilé au délit de production en vue de trafic, de même que, dans une autre décision, partager un joint entre amis ne pouvait être considéré comme cession, passible de six ans d’incarcération, abolissant ainsi les dispositions de la loi en vigueur contre l’usage en groupe.

Mais le coup de grâce attendu devrait venir de la Cour constitutionnelle saisie sur la loi actuelle par une cour d’appel de Rome, qui conteste la constitutionnalité de cette loi qui ne distingue pas les “drogues légères” et les “drogues lourdes”, qui met dans le même sac des drogues de nature différente et aux effets sans rapport entre eux. On peut discuter du bien-fondé de veste opposition, certes, mais c’est actuellement la pierre angulaire de cette contestation juridique à Rome.

Avant la loi Fini-Giovanardi, il y avait en effet en Italie une distinction nette entre “drogues légères” et “drogues lourdes”, qui offrait une vraie dépénalisation de l’usage et de la détention en vue d’usage du cannabis suite à un référendum populaire.

Une chose paraît sûre au moins, la loi Fini-Giovanerdi vit ses dernières heures. »
Source : http://cannabissansfrontieres.org/

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Dominique Broc des Cannabis Social Clubs jugé prochainement



L’intense campagne médiatique du porte-parole des Cannabis Social Clubs (CSC), dont le point d’orgue a été le dossier de Libération du samedi 16 février, a fini par faire réagir les autorités. Dominique Broc a été placé en garde à vue du 19 au 22 février, et il devra comparaître devant le tribunal correctionnel de Tours le 8 avril prochain.

Comme le précise le communiqué des Amis du Cannabis Social Clubs :

    « Dominique Broc n’a jamais cherché à faire mystère de ses activités. Partisan de la transparence, il ne s’est jamais réfugié dans les troisièmes sous-sols pour cultiver. [...] Les CSC relèvent d’une forme pacifique de désobéissance civile, de celle prônée pour faire reconnaître les droits qui semblent juste de revendiquer. »

Dominique se préparait à une réaction répressive, il a entamé une grève de la faim en garde à vue, comme il l’avait annoncé en cas d’arrestation. Il veut engager le bras de fer avec le gouvernement si la négociation n’est pas possible. Il se sent porté par le peuple de l’herbe, qui lui manifeste déjà beaucoup de solidarité sur Internet.

Des saisies ciblées pour effrayer

D’après une interview téléphonique de Dominique Broc (à partir de 20’) réalisée par Farid Ghehioueche, interviewé en décembre dernier par Rue89 à propos des CSC, l’initiative viendrait du procureur Marin de Tours, qui a fait intervenir la gendarmerie. Il avait annoncé son intention de ne pas laisser faire les CSC dans une interview récente au journal local.

Le cannabis, le matériel de culture, le téléphone, l’appareil photo, l’ordinateur, les disques durs et les clefs USB, mais aussi tous les livres, revues, tracts et dossiers traitant de drogues ont été saisis, y compris des journaux d’Asud (auto-support des usagers de drogues).

Les enquêteurs vont sans doute fouiller cette masse d’informations pour établir une cartographie et des listes de participants à cette mouvance semi-clandestine. Toujours dans l’interview téléphonique, Dominique précise :

    « Il y a des gens qui veulent être jugés avec moi, cela ne sera pas possible. [...] dans le procès verbal, on voit bien qu’ils ont dissociés le cas des Cannabis Social Clubs, pour l’instant ce n’est que moi. »

Il est assez logique que la justice ne veulent pas valider l’existence d’une association dont l’objet est de fait illégal. L’objectif est de tuer le projet dans l’œuf, pas de multiplier inutilement les martyrs.

A l’époque de l’envoi des pétards au 577 députés, un petit livre « Cannabis, nous plaidons coupable » avait été écrit par les complices de Jean-Pierre Galland dans cette opération, et d’autres lettres de témoignage avaient aussi été envoyées au tribunal pour se dénoncer et demander à comparaître. Seul Galland avait été jugé et condamné. Bis repetita.

« Cette attaque vise à décapiter notre mouvement »

Dans sa stratégie Initiale, Dominique Broc prévoyait de déposer les statuts de la fédération des CCS le 4 mars. Si le 25 mars le gouvernement n’avait pas entamé des négociations, il appelait les 450 CSC à déposer en préfectures. Le communiqué de Cannabis Sans Frontières dénonce :

    « Cette attaque vise à décapiter notre mouvement, peut-être aussi pour démotiver certains éléments à quelques jours de la déclaration en préfecture de l’association fédérative des Cannabis Social Clubs Français. »

On peut effectivement se demander quelle sera la réaction des membres des CSC et des sympathisants de ce mouvement. Suivront-ils Dominique Broc dans sa volonté d’assumer ses actes jusqu’aux Assises ?

Il est plus facile de militer derrière son écran que dans la vraie vie. Iront-ils affronter le risque d’un procès maintenant qu’il n’est plus virtuel ? Les CSC ont l’intention de maintenir leur agenda, combien les suivront ?

Mobilisation le 8 avril

De cette réponse dépendra beaucoup la possibilité de politiser le procès de Dominique Broc. Il y aurait 200 000 cultivateurs de cannabis en France, et environ quatre millions d’usagers plus ou moins réguliers. L’exemple de Dominique leur donnera-t-il le courage de sortir des placards ? C’est l’occasion ou jamais.

Dans les prochains jours, les organisations d’usagers (dont Asud) et celles qui soutiennent la réforme de la politique des drogues vont devoir apporter une réponse collective à cette fin de non-recevoir répressive du gouvernement.

Même si nous ne partagions pas tous la même stratégie, nous devons être solidaires de Dominique Broc. Sa prise de risque très médiatisée a largement contribué à faire connaitre les revendications citoyennes des usagers de cannabis.

Nous partageons tous sa volonté de lutter contre les organisations criminelles qui contrôlent le marché et contre les produits frelatés qui circulent largement. Il est donc prévisible qu’une manifestation soit organisée le 8 avril devant le tribunal de Tours.
Source : http://blogs.rue89.com

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Cannabis: vers une légalisation contrôlée?

Deux ministres de l'actuel gouvernement, Cécile Duflot et Vincent Peillon, se sont déjà exprimés en faveur d'une légalisation ou d'une dépénalisation du cannabis. La première s'est ce faisant inscrite dans la droite ligne des revendications d'Europe Ecologie-Les Verts. Mais avant ces deux-là, qui ont été vite rappelés à l'ordre, c'est un socialiste, ancien ministre de l'Intérieur, Daniel Vaillant, qui s'était lui-même prononcé pour la dépénalisation.

Une société très morale... et très consommatrice

Cela dit, après avoir reculé sur le droit de vote des étrangers et sur le contrôle au faciès, après avoir peiné sur le mariage pour tous, après avoir repoussé aux calendes grecques la procréation médicalement assistée, on voit mal notre exécutif rouvrir une polémique sur un thème aussi brûlant, aussi "fumeux" diraient certains, pas très "moral" en tout cas, aux yeux d'une société aux idées globalement conservatrices.

Une société qui, nolens volens, n'en compte pourtant pas moins de 4 à 7 millions d'usagers, contre 800 000 dans un passé récent. 550 000 seraient même des usagers quotidiens. Face à quoi la seule politique publique a été celle d'une surenchère répressive, qui n'a pas contribué à la diminution du nombre de consommateurs, tout au contraire. Ni à celle des trafics.

Les coûts multiples de la surenchère répressive

Car si nos gouvernements, aussi bien de gauche que de droite, n'ont pas réussi à contrôler la consommation, ils n'ont pas davantage réussi à enrayer le développement de l'économie alternative mafieuse engendrée par la production et la vente illégales. Lorsqu'on sait que la production d'un kilo de cannabis revient à 1 000 euros et que le gramme est vendu entre 4 et 10 euros, on évalue aisément l'enjeu économique de ce trafic. Et l'Etat, dans cette affaire, est bien le grand perdant puisqu'il ne touche rien, par voie d'impôts ou de taxes, ni de la production ni de la vente des drogues illicites, tandis que la dépense publique liée à leur consommation, elle, s'élève à plus de 1 000 millions d'euros par an, dont une bonne partie directement liée à sa judiciarisation.

On ne dira rien de bien nouveau en rappelant que la prohibition, comme celle de l'alcool aux Etats-Unis dans les années 1920, crée d'abord des trafics en tous genres et induit des violences que la police échoue à contrecarrer. Et on n'apprendra rien à personne en signalant que la qualité du cannabis consommé clandestinement comporte des risques de santé publique graves et eux-mêmes coûteux pour la collectivité. Mais il faut bien y insister : la jeunesse est aujourd'hui la catégorie la plus exposée à cette consommation sauvage qui touche les écoles et les quartiers et met les adolescents en relation directe avec les réseaux.

Au-delà du tout répressif

A bien considérer toutes ces données, il ne paraît pas illégitime, loin s'en faut, de se poser la question d'une éventuelle légalisation contrôlée du cannabis, laquelle inclurait une déjudiciarisation de son usage. Est-ce à dire, comment certains se plaisent à le faire croire pour faire peur, que tout le monde pourrait tout à coup consommer, en tous lieux, à tout moment, à tout âge et en quelque quantité que ce soit, drogues douces et drogues dures ? Sûrement pas. Reste que ce fantasme de totale dissolution sociale, s'il sert les intérêts de la "morale" ordinaire, vise d'abord à empêcher toute réflexion collective sérieuse sur une question qui interpelle chacun de nous.

On n'a pas besoin d'être soi-même consommateur pour s'interroger sur les moyens de mieux contrôler la production, la vente et la consommation du cannabis, et de faire de l'Etat, en ce domaine, un acteur responsable et pas seulement répressif, associant à la légalisation contrôlée une politique réellement efficace de prévention et d'éducation, cette combinaison étant sans doute seule capable de nous protéger des dérives que nous constatons aujourd'hui, avec le passage du cannabis aux drogues dures.

Rappelons qu'il s'agit ici de la légalisation contrôlée et de la dépénalisation du seul cannabis. Et certes pas de toutes les drogues. Actuellement, l'augmentation de la délinquance et de la criminalité liées au trafic de drogue est une préoccupation constante des pouvoirs publics. Or, à la différence du tout répressif - qui s'attaque aux petits vendeurs et ne porte aucun coup décisif aux réseaux mafieux qui tiennent les rênes du trafic -, cette légalisation contrôlée et la dépénalisation qui lui serait associée auraient pour effet positifs majeurs d'asphyxier ces réseaux eux-mêmes, de soustraire le consommateur aux dangers impliqués par la clandestinité et de permettre une meilleure protection de la santé publique.

Réglementer, taxer, protéger et soigner


En omettant de l'encadrer, les Pays-Bas ont fait entrer les organisations criminelles dans la production du cannabis, ainsi que dans l'importation et la distribution dans un marché aux règles floues. Or il est possible à la fois de réglementer l'autoproduction et d'attribuer la production à des cultivateurs agréés. La création d'un éventuel monopole étatique de la production et de la distribution du cannabis est aussi une option qui mérite réflexion. Un tel monopole aurait également comme obligation de consacrer une partie de ses revenus au financement de campagnes de prévention appelant à la modération.

En cette période d'austérité, cette légalisation contrôlée serait susceptible de créer 20 000 emplois et de susciter au moins 1 milliard d'euros de taxes qui iraient alimenter les caisses de l'Etat. Cela non plus n'est pas négligeable. L'instauration de débits de cannabis à emporter ainsi que de lieux de consommation dont les licences seraient délivrées par l'Etat peut être clairement envisagée. On appliquerait évidemment là aux mineurs des règles comparables à celles qui encadrent la distribution de l'alcool. La consommation dans les lieux et les transports publics serait interdite. Et au nom de la santé publique, la troisième partie du Code de la santé publique deviendrait "Lutte contre le tabagisme, le dopage et le cannabisme".

Dans de nombreux pays de l'Union européenne ont été adoptés des dispositifs de prescription du cannabis sous une forme synthétique et naturelle pour des raisons thérapeutiques. Cela n'est pas le cas en France, où les malades peuvent parfois subir la répression et sont contraints de s'approvisionner au marché noir en passant par des réseaux. Cet aspect de la question n'est pas moins important. Il est impossible de l'éluder.

Se hâter lentement

La légalisation contrôlée du cannabis et la dépénalisation afférente de son usage prendront sans doute du temps. Une sensibilisation - de nos concitoyens, des parlementaires, de l'exécutif - à la réalité des problèmes s'impose, loin des vains tabous et des interdits contreproductifs. J'ai choisi pour ma part de me hâter lentement. J'ai lancé au Sénat un groupe informel de réflexion et de concertation. Le sujet est difficile et toutes les questions difficiles seront posées. L'objectif n'en est pas moins clair : l'élaboration, à l'avenir, d'un canevas législatif à la fois progressiste, efficace et utile.
Source : http://www.huffingtonpost.fr/

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dimanche 24 février 2013

[Reportage] Narco Bling

 Narco Bling

Partez avec Mariana van Zeller à la découverte de la plus grande organisation criminelle au Mexique, le Cartel de Sinaloa, tout aussi riche et extravagant que violent et cruel. A la tête de l’organisation se trouve Joaquín El Chapo Guzmán, l’un des hommes les plus recherchés au monde, mais aussi l’un des plus riches et des plus puissants. Découvrez comment cette organisation devint une puissance économique estimée à pas moins de 40 milliards de dollars par an.

Durée : 55min.
Genre : Docu-info – Découverte
Année de réalisation : 2012
Téléchargement : Cliquez ici 


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Cocaïne, cannabis, caféine ou calva : ils se dopent pour bosser

Comment travailler plus pour gagner plus ou ne pas se faire virer ? Comment ingurgiter une tonne de cours en deux semaines avant les partiels ? Comment supporter un boulot merdique et répétitif ou des enfants déchaînés dans une classe difficile ?
Les drogues légales et illicites sont souvent utilisées pour supporter la charge du travail. Florilège de témoignages et de chiffres inquiétants, secteur par secteur.
1 : Au restaurant : « Mon personnel magouille pour payer sa coke »

Un soir, j’attendais un pote dans la brasserie où il travaillait. Connaissant le patron, il me convie à sa table pour partager une bouteille de champ’, déjà bien mûr et couineur.
« J’ai six brasseries touristiques avec service en continu de 11 heures à minuit, mon personnel magouille la caisse pour se payer de la coke.
Avant, c’était tranquille, le toubib prescrivait des amphétamines pour tenir le rythme. Maintenant qu’il n’y en a plus, ils ont besoin de beaucoup plus d’argent. C’est la merde. »
Effectivement, mon copain trichait sur les tickets et consacrait ses pourliches à la coke. J’ai connu le monde de la brasserie/traiteur sous speed dans mes premiers boulots au début des années 80 : calva dans les cafés, ballons de blanc à la volée et grosse dose de Captagon.
Certains ajoutaient une injection de Palfium pour masquer leurs douleurs chroniques ou gazer plus, une sorte de pot belge. Les anciens évoquaient souvent les cafetières du personnel d’antan chargées au « Tonton » (Maxiton) ou au « Lili » (Lidépran) par le patron.
Aujourd’hui, d’après le baromètre santé INPES 2010, 9,2% des salariés du secteur hébergement/restauration ont expérimenté la coke, et 7,9% le speed. C’est bien plus que mon secteur information/communication à la réputation poudrée (6,9% et 5,5%) ou que la moyenne nationale (3,8% et 3,3%).
2 : L’architecte : « Je claque 1 600 € en produit chaque mois »

Christian (tous les prénoms de ce texte ont été modifiés), 40 ans, est architecte et fêtard. Il utilisait la coke en série de minilignes pour éliminer la fatigue et stimuler l’intellect pendant la phase finale de conception de ses projets, avant leur présentation, la fameuse « charrette » de trois, quatre jours ou plus.
En temps normal, c’était plutôt bières et pétards, parfois dès la pause déjeuner.
« La bonne haze et la bière, c’est stimulant mais t’as une sale gueule, les yeux rouges, l’odeur qui grille et t’es rétamé pour longtemps si tu dépasses la dose, pas très pro. »
C’est un cocktail classique dans le bâtiment. Ivresse dans l’année : 33%. Cannabis dans l’année : 13%. Du coup, il a commencé à prendre de la coke tout le temps, de la dose homéopathique dans la matinée à l’autoroute dans les soirées.
« Je gagne entre 6 000 et 10 000 euros par mois, j’en claque au moins 1 600 en produit, 40 grammes à 400 euros les 10, le caillou-test fait presque 1 gramme (soit une pureté d’environ 60-70%). »
Aux dernières nouvelles, il avait calmé sa consommation après un séjour dans une fameuse clinique suisse au bord d’un lac.
3 : L’enseignant : « Je suis devenu un excellent prof en fumant du shit »

Les profs sont soumis à un stress énorme, surtout dans les ZEP. J’en connais un wagon qui fument joint sur joint le soir pour évacuer, et parfois même avant les cours. Henry, 50 ans, prof de techno, doit sa carrière à cette substance :
« Après une phase alcoolique, à boire de la bière le matin pour ne plus trembler autant d’addiction que de trouille, je suis devenu un excellent prof en fumant 300 à 400 euros de shit par mois pendant dix ans.
J’étais tout le temps sous l’effet du produit pour supporter la pression, pourtant je suis maintenant un référent dans mon académie. »

Couverture du journal du numéro 51 du journal d’Asud
Le cannabis est bien une problématique pour toute l’Education nationale, Vincent Peillon est tout à fait légitime sur le sujet.
« Mon dealer est tombé, je ne me voyais pas aller à la cité ou demander à mes élèves.
J’ai arrêté sans trop de peine, mais j’ai beaucoup plus de douleurs, de stress et d’insomnie, surtout sans Valium, et je rebois un peu d’alcool. »
Alors, prendre du cannabis peut-il être considéré comme du dopage, au boulot ou à l’école ?
Au lycée, je fuyais systématiquement les cours pour aller boire des bières et jouer au flipper si je n’avais pas fumé avant.
Certes, la concentration est moins bonne et la mémorisation aussi, donc difficile de parler de dopage. Mais c’est aussi mieux que pas de performance du tout...
4 : Le chanteur : « La cocaïne, j’en prends pour travailler »

« The show must go on »
Le secteur artistique est le plus gros consommateur de cannabis (17% dans l’année) et de coke (9,8% d’expérimentateurs). Est-ce du dopage ? Laissons Johnny Halliday répondre :
« Je fais un métier qui repose sur l’angoisse. On commence par un verre pour se donner confiance, on finit par la bouteille. La drogue, c’est la même chose. » (Le Monde, 7 juillet 1991)
Dans une nouvelle interview au Monde du 7 janvier 1998, Johnny avoue :
« La cocaïne, j’en ai pris en tombant du lit. Maintenant, j’en prends pour travailler, relancer la machine. Je n’en suis pas fier, c’est ainsi, c’est tout. »
En voilà au moins un qui n’a pas pris de la coke à l’insu de son plein gré. Dans la même interview, il qualifiait le cannabis de carburant de base de ses musiciens. Elvis les aurait tous balancés au Narcotics et à Nixon, pourtant il était lui-même pété aux doses d’un cheval de course préparé à l’ancienne.
Vente à l’abattage
5 : Le vendeur de voitures : « Il faut “planter” vite et bien »

En 2011, Rue89 avait publié des témoignages et des analyses sur ce sujet. Je connais très bien le Paul de l’article, et ses potes encore dans la vente en grandes surfaces. L’usage du speed, issu des teufs, est toujours très important, surtout lorsqu’arrive une période de bourre comme les soldes, une grosse promo ou Noël.
Pareil pour la coke chez les vendeurs de bagnoles. Fabien, 37 ans, raconte :
« Dans les derniers jours de la prime à la casse ou d’une grosse action promo, c’est de la folie, il y a dix clients qui attendent pour essayer des caisses ou signer des contrats, la concurrence est rude, il y a plein de garages dans la zone commerciale, il faut “planter” vite et bien.
Je suis toujours enrhumé ces jours-là. En fait, je crame un gramme de C avec mon spray nasal. »

« Des patients à 15 gélules de caféine par jour »

Dans un sondage Ifop réalisé en 2006, à la question « Que prenez-vous pour tenir le coup au travail dans les moments difficiles ? », les salariés sont 3% à déclarer cannabis, haschich ou cocaïne, 10% recourent à des antidépresseurs, 12% à des somnifères, 56% à des stimulants sur-vitaminés et/ou caféinés.
Dans un article du Monde du 13 avril 2012, le docteur Hautefeuille note également l’usage de DHEA, créatine, méthamphétamine, mais aussi de produits licites comme le Guronsan ou la caféine.
« J’ai vu des patients qui prenaient 12 à 15 gélules de caféine par jour, avec l’équivalent de 4 à 5 expressos dans une gélule. Et les effets secondaires sont importants : tremblements, nausées, tachycardie. »
La consommation de produits stimulants peut alors être couplée à des produits anxiolytiques ou hypnotiques, comme le constate dans le même article François Beck, de l’INPES :
« [Il faut en prendre] pour la descente, ou pour trouver le sommeil parce que la journée a été stressante et que l’on a besoin de “performer” le lendemain ».
6 : L’assistante : « Je tape dans la réserve de champagne »

Drogues d’assistante de direction
Le recoupement du sondage Ifop avec les chiffres de l’INPES donne une image de l’usage croisé d’alcool et de benzos (10%). La consommation d’alcool sur le lieu de travail (hors repas et pots) concerne 16% des actifs occupés (19% des hommes et 10% des femmes).
J’ai souvent entendu des femmes soumises à une grosse pression, entre le téléphone, les mails, les autres employés et le patron stressé, avouer un ou deux petits verres en douce et un demi Lexomil pour finir la journée plus détendue et efficace.
Françoise, 33 ans, assistante du DG d’une entreprise du CAC 40 :
« J’aime bien le champagne et le Lexo, je tape régulièrement dans la réserve pour les beaux contrats et les pots.
Cela te fait des bulles dans la tête, tout paraît plus léger, j’ai la tchatche pour affronter la stagiaire débile perdue dans un dossier, le directeur commercial qui veut me coincer aux chiottes, mon boss qui a trouvé ma minuscule erreur du jour et va criser. »

La consommation augmente avec la crise économique

Toujours d’après l’INPES, en 2010, plus du tiers des fumeurs de tabac réguliers, 9,3% des consommateurs d’alcool et 13% des consommateurs de cannabis déclarent avoir augmenté leurs consommations au cours des douze derniers mois, du fait de problèmes liés à leur travail ou à leur situation professionnelle.
De nombreuses professions soumises à de fortes exigences de résultats connaissent une augmentation du « poly-usage » pour contrer le stress et les coups de surchauffe, comme les marins-pêcheurs (beaucoup de speedball, d’après des amis bretons), les traders, les avocats d’affaires.
Agnès, collaboratrice d’un cabinet d’affaires parisien explique dans Swaps (numéro 56) :
« Nous travaillons dans un milieu où tout le monde picole car c’est très masculin et toléré. [...] Quant à la cocaïne, effectivement, elle est très répandue dans le métier. Elle permet de rester en forme et pour certains, de faire comme s’ils avaient une vraie vie, alors qu’ils passent leurs jours et leurs nuits au bureau. »
Aucun milieu professionnel n’est décidément épargné par la recherche de performance et de résistance à la pression.
Source : http://blogs.rue89.com

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Recours constitutionnel des Clubs Compassion

(Ottawa) Des Clubs Compassion de Montréal sont engagés dans une nouvelle bataille constitutionnelle. La Presse a appris que 4 des quelque 38 personnes arrêtées lors de raids policiers de juin 2010 ont demandé aux tribunaux d'invalider des dispositions de la loi sur les drogues et le règlement sur la marijuana médicale.

Marc-Boris St-Maurice et Charles Michael McKenzie, qui géraient le Centre Compassion du boulevard Saint-Laurent à Montréal, ont déposé à la Cour supérieure en janvier un «Avis d'intention de soulever l'inconstitutionnalité» du règlement fédéral sur la marijuana médicale et de certaines dispositions la Loi règlementant certaines drogues et autres substances.

Ces procédures s'ajoutent à celles déposées quelques semaines plus tôt par deux administratrices d'un autre groupe, le Club Compassion de la rue Papineau. Marianita Hamel et Geneviève Simon-Potvin affirment elles aussi que ces règles sont contraires à la Charte canadienne des droits et libertés, et demandent qu'elles soient déclarées inconstitutionnelles.

«Le Programme d'accès à la marijuana à des fins médicales ne remplit pas sa mission tant les démarches d'obtention de l'exemption sont laborieuses, et donc que les malades n'ont pas accès à leur médication, les privant ainsi de leur droit à la vie, la sécurité et la liberté», peut-on lire dans la requête de Mmes Hamel et Simon-Potvin.

«En privant les malades de centres de distribution de cannabis à des fins médicales, se trouvent violés leur droit à la vie, la sécurité et la liberté, en contravention aux principes de justice fondamentale, ainsi que leur droit à l'égalité.»

Le gouvernement fédéral est intervenu dans le dossier depuis le dépôt de ces avis, dont le volet constitutionnel risque d'être regroupé en un seul dossier. On peut s'attendre à ce que ces procédures durent plusieurs années.

Une quinzaine de plaidoyers

Le 3 juin 2010, les forces policières ont arrêté près d'une quarantaine de personnes dans quatre Clubs Compassion de Montréal et un de Québec. Les accusations déposées incluaient la possession et le trafic de cannabis. À l'époque, les gens de l'industrie avaient accusé les pratiques trop permissives du centre Culture 420, à Lachine, d'avoir attiré l'oeil des policiers.

Près de trois ans après la rafle, une quinzaine de personnes ont plaidé coupable et ont reçu une absolution assortie d'un don de charité. En tout, une vingtaine d'accusés restent dans l'engrenage judiciaire, dont les quatre coaccusés du centre de Québec.

Les dispensaires ou Clubs Compassion distribuent du cannabis thérapeutique à des personnes atteintes de divers troubles de santé. En règle générale, ils exigent une note du médecin qui recommande ce moyen de traitement.

La pratique n'est pas légale au Canada, mais elle est souvent tolérée par la police ou les gouvernements. Il arrive que des perquisitions soient tout de même menées, comme celles de 2010. Auxquels cas, il n'est pas rare de voir la constitutionnalité des règles sur la marijuana contestée.

C'est d'ailleurs ce que l'un des accusés, Marc-Boris St-Maurice, a fait au début des années 2000. Le fondateur du Bloc Pot et du Parti marijuana s'était fait accuser avec un collègue de possession et de trafic de marijuana, en lien avec les opérations du même Club.

Le juge Gilles Cadieux, de la Cour supérieure, avait tranché que l'absence de source légale d'approvisionnement en marijuana brimait certains droits constitutionnels. Mais il avait préféré ordonner un arrêt des procédures plutôt que d'invalider les règles en vigueur.

À noter que ces nouvelles procédures en inconstitutionnalités s'appliquent au règlement tel qu'il était en vigueur lors des arrestations. Ottawa prévoit adopter un nouveau règlement sur la marijuana médicale ce printemps. La distribution de cannabis dans des Clubs Compassion ou les dispensaires devrait toutefois demeurer interdite en vertu des nouvelles règles.
Source : http://www.lapresse.ca

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[Reportage] Inside - La guerre de la drogue


Inside - La guerre de la drogue

Les villes de Phoenix, dans l'Etat américain de l'Arizona, et de Juarez, au Mexique, sont reliées par plus de 700 kilomètres d'autoroutes. Tandis que la drogue prend la direction des Etats-Unis au nord, l'argent et les armes cheminent vers le Mexique, au sud. De part et d'autre de la frontière, les affrontements font rage entre les puissants cartels de la drogue et les forces de l'ordre. A Phoenix, le nombre d'enlèvements crapuleux est parmi les plus élévés du monde. A Juarez, la réalité est encore plus sordide, la ville ayant totalisé 800 meurtres en 2008.

Genre
: Documentaire - Culture Infos
Pays : Etats-Unis
Nationalité : américain
Date de sortie : 2009 | Durée : 50 mn

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Trafic de drogue et insécurité, défis pour la stabilité des Caraïbes

Le président haïtien Michel Martelly a appelé ses partenaires des Caraïbes à renforcer la coopération pour lutter contre la criminalité et le trafic de drogue qui menacent la stabilité économique et politique, à l'ouverture lundi d'un sommet régional.

Haïti accueille à Port au Prince le 24e sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de la Communauté de la Caraïbe (Caricom).

"La souveraineté de nos pays est parfois violée par des acteurs non-étatiques puissants qui se consacrent au trafic illicite des stupéfiants et qui utilisent nos territoires comme points de transit mettant en péril nos systèmes économiques et provoquant des perturbations socio-politiques", a dénoncé M. Martelly lors du discours inaugural du sommet.

Haïti avec ses 10,5 millions d'habitants --soit la moitié de la population des pays de la région, tous anglophones-- exerce pour la première fois la présidence tournante de ce mécanisme d'intégration régionale depuis son admission provisoire en 1997 puis officiellement en 2002.

Le président haïtien a d'autre part, rencontré lundi le ministre de la Justice américain et abordé la question des expulsions de citoyens des Caraïbes incarcérés aux Etats-Unis.

"Nous avons eu de discussions ouvertes et franches. Les Etats-Unis veulent établir de bonnes relations avec les pays de la Caricom pour s'assurer de la sécurité des peuples de la région et du peuple américain", a déclaré Eric Holder lors d'un point de presse.

M. Martelly qui mise sur ce sommet pour "envoyer une autre image d'Haïti au monde", a plaidé pour plus d'ouverture afin de faciliter la circulation des biens et la mobilité des personnes dans la communauté.

"Haïti est une opportunité pour la Caraïbe malgré ses difficultés. Nous représentons un marché de près de 10 millions d'habitants. Notre économie a besoin d'être soutenue par des investissements".

Il a également promis à ses collègues d'harmoniser les lois haïtiennes aux normes de la région et de mettre son pays en règle avec le régime du commerce, des biens et services.

Le sommet des pays des Caraïbes se poursuit mardi à Port-au-Prince, seul pays francophone de la communauté, qui demande l'adoption du français comme langue officielle de l'organisation.

© 2013 AFP
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