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vendredi 31 octobre 2014

Le projet pilote des «cannabis club» démarre

Le Conseil municipal a adopté la création d'un groupe de travail chargé d'élaborer un projet de consommation régulée de cannabis dans la ville fédérale.

En ville de Berne, il pourrait bientôt être possible de fumer un joint en toute légalité, dans des lieux baptisés «cannabis clubs». Venu d'Espagne, ce concept séduit de nombreuses villes en Suisse. A l'image de la capitale, Zurich, Bâle, Genève ou encore Winterthour (ZH) souhaitent le tester. Jeudi, Berne a donc fait un pas dans cette direction, avec l'annonce de la création d'un groupe de travail, chargé d'élaborer un projet-pilote.

«Pour moi, le but n'est clairement pas d'inciter à la consommation. Mais les chiffres sont clairs. En Suisse, environ 400'000 personnes fument des joints», déclare la conseillère municipale Franziska Teuscher (Les Verts), directrice des affaires sociales de la ville, qui surveillera l'avancée des discussions.

Contrôler la qualité du produit

Pour la politicienne, une chose est sûre: «Il faudra faire de la prévention aussi à l'intérieur de ces clubs. Je suis certaine que ces lieux permettront une meilleure protection de la jeunesse et que la qualité des produits pourra être contrôlée.» Les mineurs en seront exclus et le groupe de travail étudiera la possibilité de mettre en place un service de conseil spécialisé.

Franziska Teuscher imagine une phase concrète du projet d'ici à fin 2015. Et Berne ne travaille pas seule: «Nous sommes en contact avec Bâle, Zurich et Genève. Il est important que nous fassions bloc face à la Confédération.

L'OFSP critique

Les villes se heurtent en effet à une farouche résistance de l'administration fédérale. Dans sa prise de position en août dernier, l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) a clairement fait savoir que, selon lui, les cannabis clubs ne sont pas compatibles avec la Loi fédérale sur les stupéfiants. Le Conseil fédéral préfère, lui, attendre que la Commission fédérale pour les questions liées aux drogues rédige son rapport. Sur ce sujet, la Conseillère municipale reste évasive: «Il est vrai que la loi nous laisse peu de marge de manœuvre. Nous étudions comment nous pouvons faire pour ne pas être en porte-à-faux», affirme-t-elle.

«Extrêmement naïf»

«Je suis étonné que la ville passe outre l'avis de l'OFSP», s'insurge pour sa part le député cantonal et directeur de la division prévention de la Croix-Bleue Ruedi Löffel (PEV). «Elle parle de protection de la jeunesse, mais ne dit pas comment elle compte s'y prendre.» En outre, il estime que l'idée que les cannabis clubs vont faire reculer le marché noir est une illusion: «C'est naïf de croire cela», conclut-il.

L'UDC zurichoise monte au créneau

A Zurich, outre les cannabis clubs, l'idée d'une libéralisation de toutes les drogues refait surface. Elle est portée par Michael Herzig, responsable depuis cet été de la prévention de la consommation de stupéfiants pour la ville.

Le débat divise les parlementaires locaux, mais pour l'UDC, cela ne fait aucun pli. «Les dangers de la prise de drogue sont minimisés aujourd'hui et la répression est toujours moindre. Une libéralisation n'aurait d'effet que d'augmenter le nombre de consommateurs et c'est le grand public qui paiera la facture», s'insurge Mauro Tuena, chef du groupe parlementaire UDC de la ville de Zurich dans les colonnes de la «NZZ».

Il explique que son parti s'attaquera à tout projet d'assouplissement, y compris celui des cannabis clubs. «Nous utiliserons toutes les voies de droit et n'excluons pas de lancer une initiative populaire», précise-t-il.

Pour rappel, le 30 novembre 2008, la population suisse a refusé de légaliser le cannabis en votation populaire (63,3%). Le même jour, il a décidé d'ancrer dans la loi la politique des quatre piliers en matière de drogues (répression, prévention, traitement et réduction des risques) et de renforcer les sanctions pour la vente de stupéfiants aux enfants et adolescents, par 68% des voix.
Source : Cliquez ici

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Le cannabis médical, un enjeu électoral en Floride

Durant ce scrutin de mi-mandat aux États-Unis, en plus de pourvoir des centaines de postes de députés, de sénateurs et de gouverneurs, les électeurs sont invités à répondre à des dizaines de questions référendaires partout au pays.

En Floride, c'est le référendum sur la légalisation de la marijuana à des fins thérapeutiques qui suscite le plus de débat.

Le camp du oui cite des statistiques du ministère de la Santé pour affirmer que l'autorisation de l'usage du cannabis aux patients atteints d'alzheimer, de cancer, de douleurs chroniques, ou encore du VIH/Sida, soulagerait plus de 400 000 Floridiens.


Ben Pollara est le porte-parole de la campagne United for care qui a obtenu la tenue de ce référendum, en récoltant des centaines de milliers de signatures en Floride.

  • « De nombreux Floridiens malades se procurent illégalement de la marijuana pour ne pas souffrir, ou au contraire, souffrent en silence parce qu'ils ne veulent pas enfreindre la loi. Ou encore, ils choisissent de quitter la Floride pour l'un des 23 États américains et le District de Columbia, où le cannabis est permis à des fins thérapeutiques. » — Ben Pollara, porte-parole de la campagne United For Care
 
Les partisans du cannabis médical disent que cela donnera une option aux médecins et aux patients. Mais parmi les opposants, il y a l'Association médicale de la Floride, qui craint des conséquences imprévues et des risques pour la santé publique.

 Le gouverneur républicain sortant, Rick Scott, photographié ici lors d'une étape de sa campagne de réélection le 22 octobre à Miami, s'oppose à la légalisation du cannabis médical au nom de la protection des familles et en évoquant les dommages causés par la dépendance à l'alcool et aux drogues.
Pour l'instant, seule l'utilisation d'extraits de cannabis à faible teneur en THC, donc sans effet euphorisant, est autorisée en Floride, pour soulager par exemple les enfants épileptiques.

En attendant, certains se préparent au cas où le oui l'emporte, dans ce petit local d'un secteur industriel de la ville de Boca Raton, à une heure de route de Miami.



Sheridan Rafer enseigne la culture de la marijuana à l'institut qu'il a créé cette année. L'une des diverses institutions du genre à voir le jour en Floride.



Pour l'instant, on y trouve des tentes dans lesquelles poussent des fines herbes et des plants de tomates.


Le fondateur dit qu'il veut faire profiter de son expérience de la culture de la marijuana, acquise dans d'autres États, pour venir en aide aux malades. Un des étudiants avoue toutefois être aussi attiré par la perspective de profits, car le marché du cannabis est très lucratif.


Mais des serres et des boutiques de cannabis, c'est exactement ce qu'on ne veut pas voir arriver à Liberty City, un quartier défavorisé de Miami.

T. Willard Fair, le président du groupe de défense des droits civiques du Grand Miami, affirme que des secteurs du quartier sont déjà régulièrement secoués par des fusillades qui impliquent souvent, selon lui, des gens mêlés à la marijuana. Il estime que l'argument thérapeutique ne tient pas.
  • « C'est un écran de fumée qui met en jeu l'empathie envers ceux qui ont une maladie légitime et qui sont soulagés. Je n'argumenterai pas les cas de ces personnes. Si c'était seulement pour eux, j'appuierais la loi sans problème. Mais la présente loi est tellement large et pleine de lacunes qu'elle permettrait aux gens qui feignent une maladie de s'en procurer également, et cela m'effraie beaucoup. » — T. William Fair, président du groupe de défense des droits civiques du Grand Miami



Il espère que ce référendum sur le cannabis médical va inciter les électeurs conservateurs à se rendre massivement aux urnes. La campagne du non, qui a reçu un don de 4 millions de dollars d'un riche républicain, soupçonne d'ailleurs le camp du oui - qui a aussi reçu la même somme d'un avocat démocrate - d'utiliser cet enjeu pour mobiliser les jeunes, peu enclins à voter.

Et donc, de donner un coup de pouce au candidat démocrate au poste de gouverneur, Charlie Crist, favorable à la légalisation. Ici, le 23 octobre durant un événement de campagne dans le comté de Broward.


Charlie Crist est actuellement au coude-à-coude dans les sondages avec son adversaire républicain. Pour l'emporter, le oui au cannabis médical en Floride devra au moins obtenir 60 % du vote.

Source : Cliquez ici

 

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Cannabis : quels pays autorisent la culture à usage médical ?


Le Chili est devenu mercredi 29 octobre le premier pays d'Amérique latine à cultiver du cannabis à des fins thérapeutiques, les premières graines ayant été mises à germer.

CHILI. "C'est la première culture médicinale (de cannabis) autorisée en Amérique latine", s'est félicitée, lors de la cérémonie de lancement de l'initiative, Ana Maria Gazmuri, présidente de la Fondation Daya, qui promeut l'usage thérapeutique de la marijuana.

Essai clinique sur 200 patients atteints d'un cancer

Après la germination des graines, les plants les plus solides seront mis en terre dans un terrain appartenant à la municipalité de La Florida, au sud de Santiago. Le lieu exact n'a pas été communiqué et de fortes mesures de sécurité sont prévues avec une clôture électrique doublée d'une autre de fil barbelé autour du champ en question.

CANCER. La première récolte est attendue pour avril, puis un mois plus tard la distribution gratuite d'une huile d'extraits de cannabis à quelque 200 patients atteints d'un cancer, sélectionnés pour le programme. Ces derniers feront l'objet d'une étude clinique pour vérifier les résultats thérapeutiques du traitement.
Au Chili, où la marijuana est encore considérée comme une drogue dure par la législation, le gouvernement s'est engagé à la classer en drogue douce - ce qui réduirait les peines pour trafic et faciliterait son usage thérapeutique -, tandis que le premier Parlement prévoit d'analyser un projet de loi pour dépénaliser la culture de cannabis pour son usage personnel.

 INFOGRAPHIE : Comment le cannabis agit sur le cerveau


L'Uruguay précurseur, mais la loi n'est pas encore appliquée

LÉGALITÉ. La législation évolue dans de nombreux pays sur l'usage thérapeutique de la marijuana, qui soulage notamment les patients souffrant de cancer et de sclérose en plaque.

L'Uruguay s'est fait connaître comme le premier pays au monde, depuis décembre 2013, à légaliser la culture et la vente de marijuana sous le contrôle de l'État, mais la loi n'a pas encore été mise en œuvre.

EXCEPTIONS. En juillet dernier, la justice allemande a autorisé plusieurs patients à cultiver du cannabis à des fins thérapeutiques, pour peu qu'ils justifient leur requête au cas par cas. Et en septembre dernier, le gouvernement italien a autorisé l'armée à cultiver du cannabis afin de produire localement des médicaments pour traiter la douleur et la sclérose en plaque moins chers que ceux d'importation. Mais la culture personnelle reste strictement interdite dans toute la péninsule, même sur avis médical.

Aucune culture thérapeutique de marijuana n'est tolérée dans les autres pays. Certains autorisent toutefois l'utilisation thérapeutique du cannabis sous forme de médicaments : Allemagne, Belgique, Suisse, Israël et plusieurs états des Etats-Unis (comme l'état de New York) ou du Canada. Aux Pays-Bas, on peut se procurer en pharmacie, sur ordonnance, du cannabis naturel et des cannabinoïdes de synthèse.


VIDEO : Cannabis à usage médical : un inhalateur de poche


FRANCE

En France, un seul médicament dérivé du cannabis, le Sativex, sera commercialisé en 2015. Il sera vendu à des patients souffrant de sclérose en plaques.
Retrouvez ci-dessous le dossier qu'a consacré Sciences et Avenir sur le cannabis thérapeutique dans son numéro de mars 2014 (N°805).


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jeudi 30 octobre 2014

Quand les journaux de Floride se prononcent contre la legalisation ...

Les plus grands journaux de la Floride se sont prononcés contre la marijuana médicale pour des raisons incroyablement stupides

Un nombre un peu surprenant de journaux des plus importants et des plus influents de la Floride se sont prononcés contre la marijuana médicale. Le Orlando Sentinel, le Tampa Bay Times, et le Florida Times-Union ne sont que quelques-uns. Aucun de ces éditoriaux dénigre en fait l'idée de la marijuana médicale , Ils sont cool avec ça, en théorie.

Ils pensent simplement que cela devrait être une question décidée par l'Assemblée législative de la Floride et que l'amendement est trop vague et provoquera une sorte d'abus. Quel genre d'abus ? Personne ne sait , les éditoriaux se montrent très vague à ce sujet.

Bien sûr, cela ne tient pas compte de deux points essentiels:

1. Il est impossible que l'Assemblée législative de la Floride, dans sa forme actuelle contrôlée par les Républicains de se mettre d'accord sur la question de la legalisation d'ou l'appel aux votes.

2. Les Floridiens fume déjà des tonnes et des tonnes et des tonnes de marijuana et cela ne changera pas.
Source Internal : cannabis-infos
Complement : Cliquez ici

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Petites idées de costumes cannabique pour Halloween?


Halloween c'est aujourd'hui . Avez-vous votre costume ?
Nous avons parcouru l'Internet pour trouver de grands costumes pour les amateurs de cannabis. Voici nos premiers choix (avec les descriptions des vendeurs sur les produits)
si il est trop tard pour cette année : pensez y l'année prochaine ....


Maitre Blunt 

«Ce costume adulte unique confortablement comme il est livré avec une grande tunique de cigare de couleur brune avec deux grands trous pour les bras et un grand cou coupé!
 
Comprend:
Tunique Feuille de Blunt
Collier de Feuilles 
Taille: standard  

 Maître Blunt via StateFairSeasons.com




 Le roi Du Bang 

"Comprenant une seule pièce tunique mousse bong et un bol rempli, la tenue est sûr de soulever n'importe qui s affaissement esprits.
 
Chaussures, pantalon, chemise et cannabis non inclus :).
Contient : une tunique en une seule pièce.
Une taille adapte à  la plupart des adultes. "

 Le roi du Bangi par Costumes4Less.com





 
 Infirmière Cannabique 


Aidez besoins médicaux de votre patient avec cette ensemble cinq pièces infirmière 

Anita Reefer  est un costume qui comprend un uniforme d'infirmière blanc avec des touches de vert et de gravures croisées , un chapeau...
 
Tissu: 100% Polyester
* La fille n'est pas fournie avec l'ensemble :) 

 infirmière Cannabique via Yandy.com




 Ganja Man 

Ce sera 4h20 toute la nuit quand vous portez notre costume Ganja Man .  Ce costume convient à presque tout le monde, quelle que soit la taille . Succès Garanti dans votre Party !!
 
Comprend:
Costume Feuille Ganja
Bandes de cheville
Panneau legalize it 

Ganja Man ​​via Caufields.com


Ceci est un drôle de costume et unique super-héros qui saura mettre l'ambiance qu'il se doit  !
 
Comprend:
Masque vert avec emblème de la feuille dans le centre
Longue cape extensible verte
Grand emblème de  feuille à l'arrière de la cape
Pull avec feuille au milieu et bracelets  

Weed Man chez : HalloweenCostumes.com  







 

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Après le Colorado et Washington, trois autres États pourraient légaliser le cannabis

L’Oregon, Washington, D.C., et l’Alaska pourraient être les trois prochains États à légaliser la marijuana pour usage récréatif, emboîtant le pas au Colorado et à Washington.
 
Les résidents de la capitale fédérale américaine, de l’Alaska et de l’Oregon tiendront des référendums sur la légalisation de la marijuana la semaine prochaine.

Ce vote survient deux ans après que les électeurs du Colorado et de Washington eurent voté oui, devenant ainsi les deux premiers États à légaliser et contrôler le marché du cannabis pour usage récréatif.
Si les résidents de Washington, D.C., votent oui, chaque adulte pourra posséder jusqu’à 57 grammes et cultiver six plants de cannabis à la maison.

En Oregon, la nouvelle loi permettrait de posséder jusqu’à 227 grammes et quatre plants de cannabis.
En Alaska, les adultes pourraient posséder 28 grammes et six plants.

Selon le New York Times, le résultat de ces trois référendums pourrait déterminer si une vague nationale de légalisation déferlera sur le pays dans les prochains mois.

«Un changement dans le paysage politique a affaibli la lutte contre la marijuana», écrit le quotidien, mentionnant entre autres le sénateur Rand Paul, républicain du Kentucky, qui soutient la décriminalisation de la marijuana.

Investissements majeurs
Les campagnes pro-légalisation en Oregon et en Alaska sont financées en grande partie par des organisations nationales comme le Marijuana Policy Project, un groupe basé à Washington, D.C.
En Alaska, les partisans de la légalisation ont amassé 867 000 $ pour leur campagne comparativement à 97 000 $ pour les opposants, indique le New York Times.
En Oregon, la campagne pro-légalisation a été financée par la Drug Policy Alliance, un organisme basé à New York et soutenu par le milliardaire George Soros, qui a investi 780 000 $.

Toujours illégal
Le cannabis est toujours illégal selon la loi fédérale, mais 23 États en permettent la vente à des fins thérapeutiques.
La Floride, l’Ohio et la Pennsylvanie pourraient s’ajouter au lot.
Washington, D.C., a aussi décriminalisé la possession de cannabis. Ce n’est passible que d’une amende depuis le mois de juillet.
Au Colorado et dans l’État de Washington, où les premières boutiques de cannabis ont ouvert leurs portes cette année, il est possible d’acheter jusqu'à 28 grammes, mais il est interdit de fumer dans les endroits publics.
Source : Cliquez ici 
Voir aussi : Oregon , Washington Dc , Alaska

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Première en Amérique latine: le Chili autorise le cannabis thérapeutique


Le Chili est devenu mercredi le premier pays d'Amérique latine à cultiver du cannabis à des fins thérapeutiques, les premières graines ayant été mises à germer avant d'être bientôt plantées sur un terrain municipal.

"C'est la première culture médicinale (de cannabis) autorisée en Amérique latine", s'est félicitée, lors de la cérémonie de lancement de l'initiative, Ana Maria Gazmuri, présidente de la Fondation Daya, qui promeut l'usage thérapeutique de la marijuana.

"C'est un moment historique pour le soulagement de ceux qui souffrent", a-t-elle ajouté.
Arès la germination des graines, les plants les plus solides seront mis en terre dans un terrain appartenant à la municipalité de La Florida, au sud de Santiago. Le lieu exact n'a pas été communiqué et de fortes mesures de sécurité sont prévues avec une clôture électrique doublée d'une autre de fil barbelé autour du champ en question.

La première récolte est attendue pour avril, puis un mois plus tard la distribution gratuite d'une huile d'extraits de cannabis à quelque 200 patients malades de cancer, sélectionnés pour le programme. Ces derniers feront l'objet d'une étude clinique pour vérifier les résultats thérapeutiques du traitement.

Pour ce projet, la mairie de Florida a obtenu le 8 septembre une autorisation de l'Etat de cultiver 425 plants uniquement pour un usage médicinal. Cette autorisation a crée la polémique au Chili où la marijuana est encore considérée comme une drogue dure par la législation.

Une précédente autorisation similaire, donnée en 2011 par les services de l'agriculture à une entreprise privée, avait par la suite été révoquée par l'Institut de santé publique (ISP).

Le gouvernement de la présidente socialiste Michelle Bachelet s'est engagé à classer la marijuana en drogue douce - ce qui réduirait les peines pour trafic et faciliterait son usage thérapeutique -, tandis que le premier Parlement prévoit d'analyser un projet de loi pour dépénaliser la culture de cannabis pour son usage personnel.

Alors que la région est considérée comme la principale productrice de cocaïne, l'Uruguay s'est fait connaître comme le premier pays au monde, depuis décembre 2013, à légaliser la culture et la vente de marijuana sous le contrôle de l'Etat, mais la loi n'a pas encore été mise en oeuvre.
 AFP

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Sarkozy veut retirer leur appartement aux trafiquants de drogues


Le candidat à la présidence de l'UMP a avancé ce mercredi l'idée de retirer leur appartement aux trafiquants de drogue dans les quartiers.

Ce mercredi 29 octobre, Nicolas Sarkozy a révélé l'un de ses souhaits : celui de retirer leur appartement aux trafiquants de drogue dans les quartiers.

Concernant les trafics de drogue "qui minent les quartiers à Marseille mais aussi dans beaucoup d'autres villes françaises, je propose une solution : quand un trafiquant est pris sur le fait et convaincu de trafic, on doit lui retirer l'appartement où lui et sa famille vivent, organisent leur activité délictuelle et terrorisent l'ensemble de l'immeuble", a-t-il affirmé lors d'un entretien avec des lecteurs de La Provence.

  •     Ce sont souvent des familles tentaculaires et quand ce n'est pas le frère, c'est l'autre.
Nicolas Sarkozy
"Ce sont souvent des familles tentaculaires et quand ce n'est pas le frère, c'est l'autre. Or les gens qui n'ont rien à se reprocher ne veulent plus avoir à baisser la tête en rentrant chez eux", a ajouté l'ex-président, qui a également affirmé qu'il fallait "reprendre le plan de construction de nouvelles prisons" qu'il avait lancé pendant son quinquennat.
  •     La réponse ne comporte qu'un seul nom : la prison. Car, quand ils sont en prison, ils ne sont pas dans les quartiers à vous pourrir la vie.
    Nicolas Sarkozy

"50 % des actes de délinquance sont le fait de 5 % des délinquants. Ce sont toujours les mêmes qui agissent (...) Ce sont eux qui sont au coeur des trafics. Or la réponse ne comporte qu'un seul nom: la prison. Car, quand ils sont en prison, ils ne sont pas dans les quartiers à vous pourrir la vie", a-t-il ajouté.

  •     Tant que les noyaux durs de la délinquance penseront qu'ils bénéficient d'une impunité, ça ne pourra pas marcher.
    Nicolas Sarkozy

"Quand je pense que Madame Taubira trouve que les magistrats les incarcèrent trop souvent ! Tant que les noyaux durs de la délinquance penseront qu'ils bénéficient d'une impunité, ça ne pourra pas marcher", s'est-il également exclamé.

Il a par ailleurs affirmé qu'"en 2003-2004, (il avait) fait scandale en créant le fichier des empreintes génétiques pour tous les délinquants sexuels, y compris les exhibitionnistes. Or, un peu plus de deux ans plus tard, le fichier compte près de 3 millions d'empreintes et on élucide un viol sur deux".
Source : Cliquez ici

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[Recette] Comment faire de l'huile d'olive au cannabis

Le beurre de cannabis n'est pas la seule façon de mettre de belles têtes dans vos aliments. Une alternative bien plus saine est de préparer de l'huile d'olive au cannabis. 

Au cours de la dernière décennie, la technologie derrière les extraits et concentrés de cannabis a fait des avancées majeures. En dépassant de loin les anciens extraits du passé, la technologie au CO2 supercritique est actuellement au sommet de la pureté et de la puissance, en permettant une huile pure et propre. L'extraction au butane produit également de merveilleux concentrés, et l'équipement est significativement plus abordable qu'une installation au CO2, mais avec le butane viennent des risques pour le producteur et le consommateur si l'extraction n'est pas réalisée correctement. Cependant, parmi toutes les nouvelles techniques d'extraction high-tech, l'une des plus anciennes et des plus efficaces des méthodes d'extraction a été reléguée au second plan : l'huile d'olive. D'accord, l'huile d'olive ne peut être fumée. Mais quand il s'agit de consommables, peu de choses dépassent la simplicité de l'huile d'olive.

Assez étonnamment, a découvert que l'huile d'olive était le solvant le plus efficace pour une extraction de l'ensemble du spectre du cannabis, avec l'éthanol. Ils ont découvert que l'huile d'olive et l'éthanol extraient tous les cannabinoïdes et terpènes très efficacement. Cependant, l'huile d'olive ne prend qu'une très faible quantité de chlorophylle, ce qui est un avantage majeur sur l'éthanol. En conclusion, l'étude a découvert que « l'huile d'olive [est] le choix optimal pour la préparation d'huiles de Cannabis pour une automédication. L'huile d'olive est bon marché, elle n'est ni inflammable ni toxique, et l'huile n'a besoin d'être chauffée qu'au point d'ébullition de l'eau ». Un inconvénient cependant, est que l'huile d'olive ne peut être concentrée. Ceci rend l'ingestion de grandes quantités plus difficile, mais dans la plupart des cas la puissance est plus que suffisante.

Quand il s'agit de préparer des aliments au cannabis, le plus grand problème rencontré est l'infusion : comment trouver un moyen efficace d'incorporer le cannabis dans les aliments sans abîmer ni le cannabis ni le repas. Beaucoup de personnes choisissent le beurre de cannabis en raison de sa polyvalence et de sa facilité d'utilisation. Cependant, le beurre ne va pas avec tous les plats. Dans certains cas, l'huile d'olive au cannabis est le meilleur choix. Le grand avantage de l'huile d'olive au cannabis est qu'elle est non seulement bonne pour la santé mais en plus elle peut être utilisée pour presque tous les plats salés que vous pourriez imaginer !

Voici ce qu'il vous faut :

- De l'huile d'olive vierge
- Du cannabis, finement moulu

- Une passoire à mailles fines
- Un broyeur (mixeur, moulin à café, etc.)
- Casserole, mijoteuse, bain-marie, etc.
Instructions :
1. Broyez le cannabis. Vous pouvez inclure soit les chutes de coupe soit les fleurs, ou même les deux : à vous de choisir.
2. Mesurez l'huile et le cannabis. En général, un ratio de 2:1 entre l'huile et le cannabis (en volume) est un bon point de départ. Sinon, remplissez simplement un récipient avec de l'herbe et versez de l'huile jusqu'à ce que toute l'herbe soit plongée dedans.
3. Laissez l'huile mijoter au bain-marie, en ne la laissant jamais bouillir et en remuant constamment. Si vous voyez des bulles commencer à se former dans l'huile, diminuez le feu et enlevez le mélange du feu pour le laisser refroidir un petit peu.
4.  Laissez l'huile refroidir quelques heures et vous pouvez ensuite filtrer l'huile et la conserver. Sa durée de conservation est d'au moins deux mois, durée qui s'allonge en cas de réfrigération.

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mercredi 29 octobre 2014

Jeff Merkley de l'Oregon est le premier sénateur a déclarer qu'il votera oui à la légalisation

Le sénateur américain de l'Oregon Jeff Merkley, dit qu'il va certainement voter pour légaliser des quantités limitées de marijuana dans l'Oregon la semaine prochaine. Merkley raconte au Talking Points Memo qu'il est fatigué de voir le gaspillage des ressources sur un échec perpétuel de la guerre sur le cannabis.

"Je pense que les gens des deux côtés de l'argument font une bonne affaire», a déclaré Merkley. "Et il est préoccupé par une série de nouveaux produits , et nous ne disposons pas d'une véritable feuille de route du Colorado et Washington mais je suis pour l'équilibre dans les dépenses d'argent de notre système de justice pénale dans les mauvaises choses et contre cela : Je me penche en faveur de cette mesure de vote ".

Selon TPM, Merkley est le premier sénateur américain à admettre ouvertement à voter pour le cannabis récréatif ou médical , et il à apparemment pas mal de chances de réélection, soit selon le journal Politico.

Source internal : cannabis-infos

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Le président Mujica est sur le départ ; est-ce aussi le cas de la légalisation du cannabis en Uruguay ?

Dimanche dernier, le 26 octobre 2014, l’Uruguay a vécu une journée d’élections qui fut teintée par les adieux imminents du président Mujica à son peuple.

Le « président le plus pauvre du monde », comme il a été appelé par la BBC, s’est rendu à son bureau de vote dans sa New Beetle bleue clair. Une habitude pour cet homme qui reste fidèle à ses principes, même lorsque le protocole prévoit d’autres règles. Un geste représentatif du reste de sa carrière.

 Son mandat se termine officiellement en mars prochain, bien qu’il ne parte pas immédiatement. Le toujours actuel président de l’Uruguay donc, aspire à obtenir un siège au sénat une fois les élections législatives passées (et devrait l’obtenir, d’après l’opinion globale), et serait alors en poste durant la première étape du nouveau gouvernement. Son but dans cette opération est de forger des relations, conseiller les nouveaux pouvoirs en place, et pourquoi pas, s’assurer que tout se déroulera comme prévu.

Le fait que Pepe Mujica est l’un des leaders les plus appréciés en Amérique Latine n’est pas un secret, mais comme souvent, « nul n’est prophète en son pays ». L’Uruguay l’apprécie mais pas suffisamment pour lui donner les rênes du pays pour un mandat supplémentaire. Certains citoyens pensent que sa générosité pourrait être forcée. Le fait qu’un président renonce à 90% de son salaire est perçu comme possiblement opportuniste, et rejeter le confort d’un palace présidentiel serait, d’après ces mêmes opposants, un choix de dément plutôt que de leader. Cela ne pourrait être plus éloigné de la réalité, puisque cet homme a subi personnellement les conséquences cruelles de la dictature. Un homme dont la vie reflète les aléas de son cœur, aussi simplement que cela.

Des accomplissements louables

En dehors de son mode de vie, M. Mujica a bouleversé son pays en seulement 5 ans. Il a mis l’Uruguay sur le devant de la scène, ce pour les meilleures raisons possibles.

En dehors de son mode de vie, M. Mujica a bouleversé son pays en seulement 5 ans. Il a mis l’Uruguay sur le devant de la scène, ce pour les meilleures raisons possibles.

 Il a décriminalisé l’avortement, alors que son prédécesseur Tabaré Vazquez avait posé son veto sur la question durant son mandat sans aucune pitié. Il a également mis en place une loi en 2013 en faveur des couples homosexuels, un fait quasi-inconcevable en Amérique Latine, sachant qu’avant cela les unions homosexuelles n’étaient possibles qu’en Argentine. Il s’est aussi mis d’accord avec le président Obama pour accueillir 6 détenus de la prison de Guantanamo, indiquant que quiconque refuserait une telle chose serait qualifiable d’ « âme corrompue et lâche ». Est-il besoin d’en dire plus ?

Mujica, mesdames et messieurs, a aussi mis en place la première loi via laquelle le gouvernement régulera la consommation, la culture et la production de cannabis. Un évènement qui a certainement impacté la politique des drogues en Amérique Latine, et partout dans le monde.
Durant les dernières élections, le Frente Amplio, le parti de Mujica, a obtenu la majorité en Chambre des Députés, un objectif jugé difficile mais finalement accompli. Mais il existe toujours des doutes.

Le monde entier est en attente quant à ce qui va suivre une fois le président militant hors de l’équation. Le projet continuera-t-il son bonhomme de chemin ou est-il condamné à être étouffé ? Seul le temps nous en dira plus, et nous restons en alerte. Quoi qu’il arrive, Mujica tient toujours une place spéciale dans les cœurs, et restera cet homme qui a démarré le combat en tant que gladiateur, et en ressort en tant qu’empereur. Sa couronne toutefois n’est pas faite de laurier … mais de chanvre.
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L'apomorphine qui a soigné Burroughs, un traitement contre Alzheimer

Nul doute que la lecture des livres de William Burroughs puisse présenter des vertus curatives. Des scientifiques ont choisi de s'intéresser aux expérimentations du romancier protéiforme et multi-drogues pour soigner des maladies comme Alzheimer, Parkinson et d'autres neuro-dégénératives. Le mystère du cerveau reste entier, mais les soins à lui apporter se multiplient donc.

Neuroscientifiques, et fans de Burroughs, une voie royale pour la recherche de solutions médicales improbables, destinées à soigner les corps. Junkie, certes, mais gourou de la contre-culture, William Burroughs publia en 1953 The Naked Lunch, roman absolument fou, relatant un parcours peuplé de drogues et d'hallucinations. L'écrivain partit également en voyage en Amérique du Sud, pour trouver une plante ancestrale, dont les chamans produisent un breuvage, l'ayahuasca, ou yagé.

Cette boisson rituelle est devenue un phénomène de mode, de par ses propriétés hallucinogènes, au point que des touristes se ruent en Colombie pour expérimenter cette nouvelle sensation. Décrit comme « le shot ultime » par Burroughs, qui écrivait à Allen Ginsberg, l'écrivain raconte : « Je suis resté en délire durant quatre heures. Le vieux salaud qui a préparé cette mixture est spécialisé dans l'empoisonnement des gringos. »

Mais ce voyage a accéléré la toxicomanie de Burroughs qui, en 1956, décide de partir de faire soigner dans un établissement de Londres. Le docteur John Dent, franc-tireur médical – et secrétaire de la société britannique pour l'étude de la toxicomanie – décide de le traiter. Avec de l'apomorphine, un dérivé non-narcotique de la morphine. Cette solution avait été appliquée par le bon docteur Dent, pour le traitement des alcooliques, dès 1918. Ses premières conclusions sur cette solution avaient d'ailleurs été publiées en 1931 dans le British Journal of Inebriety.

Il écrivait : « L'apomorphine agit sur le cerveau pour normaliser la circulation sanguine de façon à ce que le système enzymatique de la dépendance soit détruit. » Or, la recette semble avoir fonctionné avec Burroughs, dont l'addiction sera nettement diminuée, et scientifiquement démontrée. Sauf que, pour diverses raisons, pas nécessairement bonnes, la découverte de Dent ne sera pas pleinement adoptée.

Soigner les toxicomanes et les maladies neuro-dégénératives

Aujourd'hui, Andrew Lees, fan des œuvres de Burroughs, s'est lancé dans l'analyse des interactions entre l'apomorphine et la dépendance. Professeur au National Hospital for Neurology and Neurosurgery de Londres, il a publié un ouvrage sur Alzheimer, et a signé plusieurs articles sur le traitement de cette maladie ou celle de Parkinson. Inspiré par les travaux de Dent, et son interaction avec Burroughs, Lees et ses collègues ont également planché aux applications de l'apomorphine pour les soins des maladies neuro-dégénératives.

Si Burroughs évoquait notamment l'effet du traitement sur sa libido, le professeur souligne que l'apomorphine est exempte d'effets narcotiques, et libère la dopamine. Procédant à l'auto-expérimentation, Lees insiste sur la corrélation entre la lutte contre l'addiction, mais également la stimulation du cerveau. Selon lui, on pourrait même disposer de solutions alternatives pour les soins comme la buprénorphine et la méthadone qui interviennent dans les soins de dépendance à l'héroïne.

Comme il le souligne, « l'apomorphine n'a jamais été pleinement expérimentée dans la voie préconisée par Burroughs ». Et représenterait alors une solution inédite pour soigner tout à la fois les toxicomanes, et les personnes souffrant de maladies neuro-dégénératives.
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mardi 28 octobre 2014

Des dispensaires de West Hollywood Los Angeles investits par la D.E.A

Voici un rappel que la guerre contre le cannabis médical est bel et bien encore vivant et ceci même dans l'état ou tout a commencé : la Californie.

La semaine dernière, les agents de la US Drug Enforcement Administration ont investits des dispensaires de la région West Hollywood Los angeles . On croyait en avoir fini avec ce genre d'actions policière mais a première vue non ....

Source Internal : cannabis Infos
Voir l'article du L.A Weekly sur les faits : Cliquez ici 

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L'industrie du cannabis aux etats unis rapporterait l'equivalent du PIB de la Jordanie

À présent, il est de notoriété publique que l'industrie de la marijuana, à la fois médicale et de loisirs, est une machine de plusieurs milliards de dollars que rien ne vas arreter.Le budget des dépenses d'etats, de consultants indépendants pour les économistes de Harvard , le PIP , la valeur à court terme de l'industrie represente actuellement de 1,5 milliards de dollars et pourrais passer à plus de 50 milliards de dollars.

Ce vendredi, le Washington Post a publié un article qui valorise une industrie de la marijuana légalisée par le gouvernement fédéral à 35 milliards de dollars en 2020. Franchement, cela semble faible, alors que le marché noir est aujourd'hui estimée à jusqu'à 150 milliards de dollars.

Le graphique ci-dessous montre à quel point le cannabis est vraiment une industrie de masse par apport aux recettes de la National Football League , Les journaux....

Si les régulateurs fédéraux ont renversé l'interrupteur sur la légalisation de la marijuana,et l'aider à émerger rapidement en faisant d'elle une industrie qui pèse plus que le PIB de la Jordanie . Elle ferait plus de trois fois la taille des recettes annuelle de la NFL, ( à méditer nos cher ministres et toute la cliqua ...

Le marché légal de la marijuana représente une opportunité de marchés très diversifiés. Pour les gouvernements, les propriétaires d'entreprises et aux consommateurs, l'occasion pour tout est plus que bénéfique.
A bon entendeur messieur les politiciens !!!!

Source Internal : cannabis-infos

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Spice : un cannabis de synthèse qui tue

Au moins 25 personnes sont mortes et 700 personnes hospitalisées, début octobre, après avoir consommé du « Spice », un cannabis de synthèse. 

 Haro sur la drogue de synthèse en Russie. Au moins 25 personnes ont perdu la vie début octobre après avoir fumé du « Spice », un cannabis de synthèse qui a également envoyé 700 personnes à l’hôpital dans le même temps. Cette drogue s’apparente à une version bon marché du cannabis, vendue sur Internet.

Comme le précise le Washington Post, cette drogue est constituée de substituts au cannabis, mais aussi de produits chimiques. Après avoir été fumé, ce produit peut « facilement entraîner un empoisonnement ou une détresse respiratoire ». Cette drogue est très fortement addicitve et ses effets particulièrement puissants. « Après une période d'euphorie, je suis tombé dans une vague de paranoïa », raconte un ancien consommateur à la chaîne RT (en anglais).

Le gouvernement semble en tout cas réagir avec fermeté après l’importante couverture médiatique qu’a reçu le produit et ses conséquences sur la société russe ces dernières semaines : le service russe de contrôle de la drogue a arrêté 90 suspects cette année, dans le cadre d’une lutte de plus en plus intense contre la vente de cette drogue. Les vendeurs risquent jusqu'à huit ans de prison si sa consommation provoque la mort d'un individu, ou si sa distribution est gérée par une organisation.

La course contre l’interdiction

Le produit n’est en tout cas pas nouveau puisque des articles de presse de 2009 dans l’Express et Libération l’évoquaient déjà en expliquant que les autorités européennes sanitaires étaient en alerte.

S’il n’a pas été tout à fait clairement établi pourquoi cette drogue avait entraîné dernièrement de si nombreux décès, on peut penser que c’est un changement de principe actif qui pourrait en être la cause. Il existe, en fait, une véritable course à l’interdiction entre les producteurs et le législateur. Quand ce dernier interdit une substance psychotrope, les fabricants de Spice et autres drogues de synthèse vendues sur Internet changent les ingrédients, remplaçant une substance tout juste interdite par une autre qui n’est pas encore sous le coup d’une interdiction. Or, certains cannabinoïdes de synthèse « peuvent avoir des effets bien plus puissants que les autres », expliquait Libération en 2009. Quand on ajoute à cela le fait que les teneurs en produits actifs peuvent varier selon le sachet de 1 à 10, on voit ici qu’il y a toutes les bases pour créer un accident sanitaire.
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lundi 27 octobre 2014

[Reportage] Spécial Pablo Escobar


Pablo Escobar : le roi de la cocaïne. Au début des années 1990, toutes les polices colombiennes, la DEA (Drug enforcement administration), la CIA, ainsi qu'une unité d'élite spécialement créée, étaient aux trousse d'Escobar. Retour sur cette chasse à l'homme, qui a nécessité le déploiement de moyens considérables, en compagnie de ceux qui l'ont vécue • Comme une trainée de poudre. En 2006, d'après les chiffres de la police, la quantité de cocaïne entrée en Europe a été dix fois plus élevée qu'en 1996. Pendant six mois, une équipe de journalistes a suivi des policiers et des militaires dans leur lutte contre le trafic de stupéfiants.

Culture Infos - Société
Durée : 117mn
Streaming :

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[Reportage] Lille : nouveaux défis pour la brigade des stups


A cause de sa proximité avec la Belgique et la Hollande, Lille est devenue une ville incontournable pour les dealers. Au sud de la ville, la brigade des stupéfiants lutte sans relâche pour ramener le calme dans des immeubles pris sous la coupe de trafiquants d'héroïne. Parallèlement, dans les anciens corons, des maisons ont été reconverties en serres géantes où pousse le cannabis en quantité industrielle. Enfin, dans les boîtes de nuit du centre-ville, ce sont l'ecstasy et la MDMA qui circulent massivement.

Genre : Culture Infos / Informations
Durée : 85 mn
Streaming : 
Pour ceux qui ne peuvent les lires a cause de la géorestriction : utilisez un proxi français ( cliquez : ici , ici ou ici )
Pire des cas téléchargement : Cliquez ici (SD) ou HD qualité : Cliquez ici

Part I

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Part II

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Chronique du temps présent : la guerre sans fin à la drogue

Faut-il continuer la guerre à la drogue ? Face à l’afflux de nouvelles substances, face aux drames des toxicomanes, les experts sont partagés.

Les États-Unis à eux seuls contribuent à la répression à hauteur de… 50 milliards de dollars par an, sans succès probants. « L’usage de drogues continue de faire de terribles ravages, entraînant la perte de précieuses vies humaines ou de nombreuses années de main-d’œuvre », estime le dernier rapport de l’ONUDC (Office des Nations unies contre la drogue et le crime).

Selon l’agence onusienne basée à Vienne, entre 162 millions et 324 millions de personnes dans le monde auraient consommé une drogue illicite en 2012, soit entre 3,5 % et 7,0 % de la population âgée de 15 à 64 ans.

Selon l’agence onusienne basée à Vienne, entre 162 millions et 324 millions de personnes dans le monde auraient consommé une drogue illicite en 2012, soit entre 3,5 % et 7,0 % de la population âgée de 15 à 64 ans. Une paille?!

Longtemps nerf de la guerre pour des mouvements de guérilla ou des organisations armées, la drogue est devenue une fin en soi. En clair, des groupes entretiennent la guerre pour justifier leurs opérations commerciales. Telles les FARC en Colombie, qui n’ont plus rien de révolutionnaires et forcent les paysans à cultiver la coca afin d’alimenter les labos de cocaïne. Au Pérou, désormais l’un des premiers producteurs de cette drogue, c’est le Sendero Luminoso, le Sentier Lumineux, organisation anciennement marxiste devenue criminelle, qui contraint les cultivateurs à semer la plante narcotique. « Je me suis reconverti dans le café, m’a confié dans les montagnes de Tarapoto, à mille kilomètres de Lima, Juan C., un cocalero de trente ans. Mais on a eu aussitôt sur le dos les guérilleros. J’ai pourtant continué à déplanter. Dans mon village, on se défend comme on peut et on a instauré un tour de garde. » Juan C. est persévérant : depuis, il dirige la petite coopérative de paysans du coin, forte d’une centaine de membres, et négocie le prix du café directement avec les Américains -153 dollars le quintal ce jour-là-, même si cela lui rapporte trois fois moins que la coca.

Plus grave, les nouvelles organisations terroristes se sont emparées du commerce de la dope. En Afrique, les cartels colombiens ont délibérément ciblé un pays, la Guinée-Bissau, afin de se s’en servir comme d’un hangar de stockage. Autorités, militaires et douaniers ont été soudoyés ou infiltrés. Résultat : au moins une dizaine de tonnes de cocaïne transitent chaque année par ce nouveau narco-État, expédiées par bateaux ou avions, lesquels atterrissent bien souvent dans l’archipel des Bijagos, au large de la capitale Bissao. Au nord, sur la route des consommateurs européens, AQMI (Al Qaida au Maghreb Islamique) a bondi sur l’occasion. Avec l’aide d’intermédiaires locaux, au Mali, au Niger et en Algérie notamment, les djihadistes contrôlent les pistes du trafic. Longtemps les autorités françaises ont négligé de s’intéresser à ce lien entre djihadisme et nouvelles routes de la dope. Avant de s’apercevoir et reconnaître, en 2012, que la poudre finançait aussi les réseaux fondamentalistes du Sahel. Pourtant, l’alerte était donnée depuis belle lurette : en novembre 2009, un Bœing 707 en provenance du Venezuela s’était abîmé en redécollant d’une piste clandestine près de Gao, au Mali. L’équipage, à la solde des cartels, avait survécu et s’était enfui. À bord de la carlingue incendiée par les pilotes, nulle trace de la cocaïne acheminée. Plusieurs tonnes au bas mot, à 30.000 euros le kilo… Ce n’est pas Vol 714 pour Sydney de Tintin mais Vol spécial coke pour le djihad. Un coup spectaculaire. Les enquêteurs internationaux, eux, estiment que nombre d’avions cargos sont passés entre les mailles du filet.

Verra-t-on prochainement les miliciens de Daesh, l’État islamique à l’œuvre en Syrie et en Irak, s’emparer de ce juteux commerce?? Tous les indicateurs sont au rouge. Les fondamentalistes ont déjà la haute main sur une partie de la production pétrolière en Syrie, qui lui rapporterait 800 millions de dollars par an. Et l’héroïne afghane transite entre autres par les anciennes routes de la Soie et celles du Levant, via l’Iran.

Convention par convention, résolution par résolution, au prix de maintes discordes, la communauté internationale tente d’enrayer le mal et d’endiguer le déferlement des poudres de la mort. Pendant ce temps, pour les barons de la drogue et les seigneurs de guerre, les affaires continuent.

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11 faits curieux sur le cannabis qui surprendront même les fumeurs invétérés

Dans le monde occidental, le cannabis est populaire depuis plus d'un demi-siècle. Un certain nombre d'Etats américains, européens et sud-américains ont même légalisé sa consommation et parfois également sa vente. Cependant, on ne sait pas encore beaucoup de choses sur cette « mauvaise herbe magique ».

Livescience a rassemblé 11 faits étranges sur la marijuana et sur le haschisch qui risquent de surprendre également les consommateurs chevronnés:

1. L'origine mythique
La découverte des vertus de la marijuana ne revient pas à la génération hippie. Il n’existe pas de véritable consensus scientifique sur qui a découvert en premier lieu les effets du cannabis en tant que substance psychédélique naturelle. Les véritables origines de la drogue restent un peu troubles.
Cependant, un certain nombre d’éléments semblent indiquer que cette plante a été utilisée pour la première fois en Asie, il y a quelques milliers d'années. Selon le Drug Enforcement Administration Museum à Arlington, dans l’Etat de Virginie, aux Etats-Unis, les plus anciennes références écrites sur le cannabis datent de 2727 av. J.-C., époque à laquelle « l’empereur chinois Shen Nung a découvert la substance et l’a utilisée en médecine ». Mais cette hypothèse est problématique. A supposer que Shen Nung ait bel et bien existé, il n’était pas l’empereur de Chine. Le premier empereur était Qin Shi Huang, unificateur de l'empire de Chine, né aux alentours de 260 av. J.-C. En outre, on ne sait pas vraiment comment Shen Nung aurait consigné ses expériences médicales sur le cannabis. En effet, les premiers caractères chinois datent de la dynastie Shang, entre 1200 et 1050 av. J.-C. Toutefois, on a retrouvé des fibres de chanvre comme ornementation sur des poteries taïwanaises, vieilles d'environ 10.000 ans. Il est donc probable que les premiers consommateurs de cannabis aient vécu dans cette région.

2. D'étranges manières d'utiliser le chanvre
Il est possible d’utiliser le chanvre autrement qu'en tant que drogue. Les fibres de cette plante peuvent être employées pour faire des cordes ou du textile. Les cordes de chanvre sont très solides. Des chercheurs de la California State University ont voulu savoir comment les habitants de l'île de Pâques avaient réussi à transporter leurs énormes statues, les moai. Les scientifiques ont pu démontrer qu’une équipe de 18 hommes munis de 3 cordes de chanvre fixées autour de la statue étaient en mesure de la déplacer de 100 mètres en moins d’une heure.



3. Chanvre versus marijuana
Les deux viennent de la même plante mais il y a une grande différence : le chanvre ne nous fait pas planer et donne mal à la tête. Des chercheurs de l'Université du Saskatchewan ont découvert une modification génétique qui permet aux plantes de cannabis (cannabis sativa) de produire une substance appelée acide tetrahydrocannabinolique (THCA), précurseur du tétrahydrocannabinol (THC), la substance psychoactive du cannabis. Les plantes de chanvre ne peuvent pas produire cette substance. En effet, il leur manque un gène capable de faire en sorte qu’une enzyme puisse produire du THCA. Toutefois, le chanvre produit de l’acide cannabidiolique (CBDA) en abondance, contrairement aux plants de marijuana. Ainsi, le chanvre est riche en CBDA non psychoactifs tandis qu’un plant de marijuana est plein de la substance psychoactive, THC. Consommé par l’homme, l’acide cannabidiolique a un effet contraire aux THC et peut être utilisée dans le domaine médical.

4. Un effet différent sur les hommes et les femmes
Selon une étude de 2014 publiée par la revue scientifique Drug and Alcohol Dependence, les hommes et les femmes ressentent différemment les effets de la marijuana. Grâce à des tests réalisés sur des rats, la psychologue Rebecca Craft de l'Université d'État de Washington, a montré que les rats femelles étaient plus sensibles aux effets analgésiques du cannabis. Les rats femelles développent rapidement une tolérance au produit et seraient en outre beaucoup plus sensibles aux effets de la drogue lors de l'ovulation, moment où leurs taux d'œstrogènes sont les plus élevés.

5. Cannabis et animaux domestiques
Selon l'Association américaine de vétérinaires, des propriétaires d’animaux domestiques administrent déjà du cannabis à leur chien ou leur chat pour des raisons médicales. Toutefois, il existe peu de recherches en ce qui concerne les effets du cannabis sur les animaux. Les vétérinaires estiment que les effets du cannabis sur les animaux disparaissent en général en quelques heures mais la drogue peut leur être fatal à fortes doses.



6. Le cannabis mauvais pour le cœur?
Pour certaines études, il y aurait un lien entre l'usage de cannabis et le risque de schizophrénie et de troubles psychotiques. Une étude française a montré que 2% des complications médicales consécutives à l'usage du cannabis concernaient des problèmes cardiaques. Une explication pourrait être que le cannabis augmente nos pulsations et notre tension, ce qui peut être fatal à un individu vulnérable à une insuffisance cardiaque.

7. Comment une variété de marijuana est-elle nommée?
Un amateur de vin pourra jeter son dévolu sur un pinot noir, un cépage sangiovese ou un carménère du Chili. Dans un coffee-shop, un fumeur de marijuana peut choisir parmi plusieurs variétés aux noms étranges tels que « Purple Haze » (brume violette),  « Northern Lights » (aurore boréale) ou encore « Skunk » (mouffette).
Cette nomenclature bizarre est issue d’une tradition séculaire entre les producteurs de marijuana qui date 197, selon laquelle celui qui a pu élaborer une variété précise (en croisant différentes plantes) choisit son nom. L’un des copropriétaires de DNA Genetics, une banque de graines de cannabis d’Amsterdam, avait expliqué au Los Angeles Times que ces noms sont souvent choisis lors de réunions « enfumées entre amis qui ressemblent à des séances de brainstorming ».

 
8. Le cannabis est partout dans l’air
En Italie, des scientifiques ont retrouvé des traces de fumée de marijuana dans l'air autour du Colisée et dans 7 autres villes. Aux côtés du cannabis, on a également découvert des traces de cocaïne, de nicotine et de caféine. Selon les chercheurs, ce type d'étude peut aider à se faire une meilleure idée de l'usage des drogues dans une ville donnée.



9. Des nouveau-nés testés positifs au cannabis
Un hôpital dans l'Etat américain de Caroline du Nord a constaté qu'énormément de bébés avaient des traces de cannabis dans leur urine. On a d'abord pensé que leurs mères fumeuses de marijuana étaient responsables, mais il est rapidement apparu qu'un ingrédient contenu dans le savon utilisé donnait souvent de faux résultats positifs aux tests de drogue. Des tests ont pu faire la distinction entre le savon et l'usage de cannabis par la mère.



10. L'empreinte écologique du cannabis
Bien que le cannabis a toujours été populaire dans les milieux écologistes et hippies, la manière dont cette drogue est produite actuellement est tout à fait mauvaise pour l'environnement. Cela vient du fait qu'elle est souvent cultivée à l'aide de lampes haute-pression. Ces dernières consomment des quantités phénoménales d'électricité. Pour produire un kilo de cannabis, on rejette autant de CO2 que pour parcourir les Etats-Unis cinq fois en voiture, selon un rapport du Lawrence Berkeley National Laboratory.


11. Cannabis versus hiboux
Même lorsque le cannabis est cultivé à l’extérieur , il occasionne souvent des dommages à l'environnement parce que les cultivateurs utilisent pour cela un bout de terrain dans un milieu naturel et utilisent de la mort-aux-rats pour préserver leurs cultures. En Californie, où l’on cultive énormément de cannabis dans la nature, une espèce de hiboux, la chouette tachetée du Nord, est menacée d'extinction car elle mange ce poison. Dans cet Etat, l’eau est aussi une ressource menacéepar ces cultures illégales. Les cultivateurs courent également des risques. Dans la petite ville albanaise de Lazarat, qui vit presqu'exclusivement de la culture du cannabis, l'hôpital local a dû soigner l'an passé 700 personnes tombées malades à cause d'un contact prolongé avec des plants de cannabis. Ces personnes présentaient des symptômes tels que des vomissements, des maux d'estomac et des battements cardiaques irréguliers, a indiqué le bureau de presse Reuters.

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dimanche 26 octobre 2014

Le cannabigérol (CBG) pourrait prévenir le cancer du côlon


Le GBC devrait être considéré dans la prévention du cancer colorectal et la guérison.», A conclu les chercheurs.

Un composé qui se trouve dans la marijuana pourrait aider à prévenir la progression du cancer du côlon, selon une nouvelle étude.

Une nouvelle étude, publiée par la revue Carcinogenesis Oxford et publiée en ligne par l'Institut national de la santé, a constaté que la non-psychotropes composé le cannabigerol dérivé du cannabis peut prévenir la progression des cellules cancéreuses formées dans le côlon.

"Le Cannabigérol (CBG) est un cannabinoïde non-psychotropes dérivé du cannabis qui interagit avec des cibles spécifiques impliquées dans la carcinogenèse [la création de cellules cancéreuses]", commence le résumé de l'étude. "Ici, nous avons examiné si le GBC protège contre la tumorigenèse du côlon."

Les chercheurs ont étudié l'effet du cannabigerol sur des cellules cancereuses du côlon, et ont constaté que "in vitro", la CBG a inhibé la croissance de tumeurs de xénogreffes ainsi que la carcinogenèse induite chimiquement du côlon. Le CBG entrave la progression du cancer du côlon in vitro et de manière sélective il inhibe la croissance de cellules cancéreuses colorectales. "

"Le GBC devrait être considéré dans la prévention du cancer colorectal et la guérison.», ont conclu les chercheurs.

Sources :
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25269802
http://norml.org/news/2014/10/09/study-administration-of-non-psychotropic-cannabinoid-halts-colon-cancer-progression
http://www.cannabispharmacyjournal.com/2014/10/09/cannabis-compound-may-prevent-colon-cancer/


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samedi 25 octobre 2014

Comment réaliser un séchage et un curing correct de votre cannabis

Procéder au séchage et au curing du cannabis sont des étapes cruciales si vous voulez obtenir les meilleures têtes possibles. Le curing permet d'améliorer le parfum et la puissance des têtes, les affinant vers la perfection. 

Un séchage et un curing adéquats peuvent faire toute la différence avec l'herbe de basse qualité disponible au marché noir. La plupart du temps, l'herbe bon marché n'a pas été soumise à un séchage et un curing appropriés, car le cultivateur s'est concentré sur un cycle de production rapide plutôt que d'essayer d'obtenir la meilleure qualité possible. Dans beaucoup de cas, cette façon de penser est facilitée par le fait que les consommateurs qui s'approvisionnent auprès des dealers de rue ne connaissent pas la différence. On peut s'apercevoir que le cultivateur a privilégié l'aspect financier quand l'herbe semble sèche à l'extérieur mais qu'elle est humide et dure à brûler à l'intérieur.

La première étape est le séchage du cannabis. Cette étape élimine beaucoup de l'eau contenue dans la tête, ce qui la rend plus facile et bien plus agréable à brûler et à fumer.

Le séchage

Le processus de séchage est assez simple, mais il prend du temps.
Premièrement, il faut un endroit sombre. La lumière dégrade le THC, il faut donc sécher le cannabis dans une pièce sombre, pour s'assurer que la puissance ne soit pas négativement impactée.
Suspendez les tiges des plants de cannabis, après manucure, la tête en bas, de manière à ce que le haut des plants soit face au sol. De plus, assurez-vous que les plants ne se touchent pas. Ceci permet de garantir une bonne circulation de l'air autour de chaque plant, maximisant ainsi la surface d'échange et empêchant les moisissures.

La température de la pièce devrait être maintenue autour de 20 degrés Celsius pour les 3 premiers jours, puis réduite à 17-18 degrés. Ceci permet d'évaporer beaucoup de l'eau en excédent, mais permet également d'évaporer d'autres composés présents dans la plante. Le processus entier prend entre 10 et 20 jours.
Pendant que l'herbe est en train de sécher, il faut maintenir une humidité relative de 50 pour cent. Ceci permet d'encourager l'eau à quitter le cannabis à une vitesse décente, dans faire sécher l'herbe trop rapidement. Un hygromètre peut être utilisé pour mesurer l'humidité de la pièce, et la ventilation, des humidificateurs et des absorbeurs d'humidité peuvent être utilisés pour contrôler l'humidité.

Tout en maintenant une humidité relative stable, il est également important de garantir une ventilation adéquate. Fournir de l'air frais minimise les risques de moisissures. Il faut noter cependant que le cannabis fraîchement coupé est très odorant, surtout pendant les premiers jours de séchage. Il vous faut donc prendre des mesures appropriées si vous ne voulez pas attirer l'attention : faire sécher dans un endroit discret, où dans votre espace de culture en faisant marcher le filtre à air. Votre espace de culture est l'endroit idéal pour le séchage, le seul inconvénient est que comme vous devez maintenir l'obscurité, vous ne pouvez pas simultanément utiliser la pièce pour la culture.

Vous saurez que votre herbe est correctement séchée quand les tiges sont faciles à briser. Quand vous les pliez, elles doivent se rompre immédiatement. Si elles se plient, elles ont probablement d'un peu plus de temps.
Le processus peut être ennuyant à la longue, c'est compréhensible, mais quoi qu'il en soit, n'essayez pas de l'accélérer avec des moyens extérieurs, comme un sèche-cheveux ou un micro-onde. Ces moyens font plus de mal que de bien en termes de qualité du produit final, car ce n'est pas que l'eau qui s'évapore. La chlorophylle, le composé organique qui permet aux plantes de transformer les rayons du soleil en énergie, s'évapore également de la plante, mais à un rythme beaucoup plus lent. Si le cannabis est séché trop rapidement, la chlorophylle n'a pas le temps de s'évaporer correctement des têtes. La chlorophylle contient du magnésium et, si elle n'est pas correctement éliminée de l'herbe, elle peut provoquer un goût très rude et amer.


Le curing

 

Une fois que les têtes sont correctement séchées, c'est le moment de passer à l'étape suivante : le curing. Même s'il est possible de rencontrer de l'herbe correctement séchée vendue dans la rue, le cannabis ayant subi un curing adéquat est bien plus difficile à obtenir. C'est tout un art qui peut s'avérer assez difficile à maîtriser, mais avec de la pratique, il peut réellement améliorer la qualité générale de l'herbe. Le curing donne aux têtes le coup de pinceau final qui révèle les meilleurs effets et goûts possibles.

Le processus du curing permet principalement deux choses. Premièrement, il donne le temps aux bactéries de décomposer la chlorophylle restante. Comme mentionné précédemment, la chlorophylle contient du magnésium, ce qui peut donner un goût peu agréable. En donnant le temps et l'environnement adéquat aux bactéries pour décomposer toute la chlorophylle restante, on améliore considérablement le goût et la sensation finale.

Deuxièmement, le curing de l'herbe permet un contrôle total du niveau précis d'humidité. Plus le cannabis est sec, plus il est fort et facile à brûler. Cependant, le revers de la médaille est que, plus il est sec, plus il est cassant et plus il perd de son parfum. Un maître du curing arrive à déterminer le point exact d'équilibre d'humidité, sait quand il faut passer les têtes du séchage au curing et sait comment mener le curing jusqu'au point idéal.

Il existe plusieurs techniques de curing qui ont prouvé leur valeur avec le temps. Ce qui suit est une méthode qui semble offrir les meilleurs résultats.

Le processus du curing peut prendre entre 2 semaines et 2 ans, toutefois, pour la plupart des têtes un curing satisfaisant sera atteint après 2 à 3 mois.

Premièrement, il vous faut des pots en verre étanches, ceux avec un joint en caoutchouc et un mécanisme de fermeture étanche sont les plus appropriés. Remplissez sans tasser chaque pot aux 2/3 de sa capacité avec des têtes. Ceci permet de garantir qu'il y a assez d'air pour que les bactéries restent en vie, tout en permettant à l'air de circuler efficacement autour de l'herbe. Si les têtes sont trop tassés, des problèmes de contrôle d’humidité et de moisissure peuvent surgir.

Conservez les pots à l'obscurité et au frais pour éviter que la lumière ne décompose le THC.
Ouvrez le couvercle des pots tous les jours un court moment pendant les 2 premières semaines. Ceci permet de vérifier l'absence de moisissure sur les têtes, de les faire tourner et bouger un peu pour assurer une circulation de l'air homogène, contrôler les niveaux d'humidité et réapprovisionner les bactéries en air frais.
Essayez de sentir l'odeur à chaque fois que vous ouvrez les pots. Si la première odeur à s'échapper sent l'ammoniaque, ou le foin humide, alors il y a trop d'humidité dans le pot, et les bactéries sont mortes : le curing est un échec et il doit être abandonné.

Si vous arrivez à dépasser les deux premières semaines sans avoir cette odeur d'ammoniaque, alors la tentative de curing a de bonnes chances de réussir. Vous pouvez alors ouvrir les pots moins souvent, mais surveillez régulièrement les têtes pour vérifier la moisissure.

Les bénéfices du curing peuvent être ressentis après seulement deux semaines et les meilleurs résultats sont obtenus en laissant les têtes pendant au moins 4 semaines, mais le processus de curing peut continuer pendant jusqu'à 2 ans ! Certains connaisseurs ne fumeront que de l'herbe ayant subi un curing d'au moins un an !

Conseils pour le curing

Comme mentionné précédemment, le curing est un moyen de contrôler l'humidité. Comme le curing peut s'avérer assez difficile à maîtriser, il est facile de se retrouver avec de l'herbe trop sèche à son goût. Dans cette situation, il existe quelques solutions pour « réhydrater » son cannabis.

Premièrement, il est possible d'ajouter du cannabis frais dans les pots. Comme ce nouveau cannabis continue à sécher, l'humidité qu'il dégage dans l'air du pot va équilibrer le reste de l'herbe, en y ajoutant un peu plus d'humidité pour en restaurer l'arôme et le goût.

Deuxièmement, certains cultivateurs de cannabis aiment rajouter des tranches de fruits, comme de l'orange, si leur herbe est un peu trop sèche. Ceci fonctionne sur le même principe que la première méthode, mais peut également ajouter un peu de son parfum à l'herbe. Faites vos propres expériences et découvrez ce qui marche le mieux pour vous !
Le processus du séchage, et tout particulièrement du curing, peut être difficile au début, mais l'attente vaut le coup. Avec le temps, il est possible de régler la qualité de l'herbe très précisément. Un curing correct est ce qui sépare une herbe de qualité connaisseur d'une herbe standard : une fois qu'on y a goutté, impossible de faire marche arrière.
Source : zamnesia.fr

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